Je me suis dit que mon drôle de texte sur Jack London avait du tomber comme un cheveu sur la soupe. Peut – être.
Genre « qu'est-ce qu'il nous les casse avec ses pseudo référence littéraires cet abruti ? »
Au delà de la dénonciation de l'exploitation animale – qui n'a rien à envier à l'esclavage.
Au delà , aussi , de la tendresse que j'ai pour cet écrivain.
Je m'explique.
Je vais être chiant. Très très chiant !
Et je vais – je le sais déjà – rater ma démo.... Tant pis :
Je me souviens vaguement que concernant le racisme j'avais évoqué le fait que selon l'époque sa perception pouvait être différente . Ca m'avait pas convaincu ! En fait mon verbiage signifiait seulement que la proportion d'humains conscient de l'horreur de cette « pratique » était moindre ( peut être que je m'avance...) qu'aujourd'hui. De par la diffusion plus hasardeuse, plus élitiste des idées.
Cependant les exemples ne manquent pas de voix qui se sont élevées – loin dans le temps parfois – contre le racisme, le sexisme, la maltraitance animale, etc.
Concernant l'animal , Jack London ( à cheval* entre le 19 et le 20ème ) est un de ces « précurseurs ».Et j'aime à imaginer que beaucoup de ses contemporains ont aimé – sincèrement - ses livres. Sans doute. Le cœur (chœur?) des hommes de l'époque n'était pas différent de celui de ceux d'aujourd'hui.
J'aimerais aussi qu'il redevienne à la mode...
Reste - pour une explication peut être ? - la grande masse protoplasmique** des incertains. Qui vont et viennent au gré des courants d'air idéologiques ou de la mode. Et qui fabriquent – sans le savoir – les salles d'attente, les cirques modernes, les salons de beauté de nos sociétés.
Un rien peut les faire changer de direction. De forme. Avec plus ou moins de clairvoyance, plus ou moins de sincérité, de...générosité.
Un rien ...Je vais me faire lyncher ! Malvenu d'appeler « un rien » ce qui est en train de faire bouger l'Afrique du nord.
Pourtant ce n'est pas d'aujourd'hui que L'Afrique en est là.
Qu'est-ce qui les a décidés ?
Et – enfin – pourquoi ces grandes idées « libertaires » que j'évoquais plus haut ne sont elles pas abordées ?
C'est trop tôt ? On n'en est encore pas là ? Ventre affamé n'a qu'une oreille ?
Certes. Je veux bien l'admettre. Dommage pourtant...C'aurait eu une de ces gueule...
Ah... Je me prend à imaginer Jack London aujourd'hui.
Sûr qu'il serait devenu quelque chose comme … Brigitte Bardot. Au moins !
*Chassez le naturel...
**Je voudrais pas qu'on s'imagine que je veuille me placer au dessus de la mêlée ( Ou alors juste par moment – lors de mes crises, fréquentes, de vanité). Je suis, un peu, parfois, ici ou là, de cette monstrueuse amibe (juste par moment – lors de mes crises, fréquentes, de vanité).
Oh ! J'oubliais :
Citation:
GEOVATHANKULL :
Ca existe pas les éditions de Playboy pour 3me âge ?
JEUNE CON ! VA !