Yes ! Ce sera beaucoup mieux pour moi aussi. Avant d'entrer dans le vif du sujet, je vais me défouler un peu. Tu comprendras mieux pourquoi tu as l'impression que je ne bouge pas une oreille, ou que je néglige tes commentaires, que tu te répètes parce que tu penses que je ne comprends rien !!!
Car, sur wikipédia, être obligé de travailler en mode syntaxe-wiki que tu n'utilises pas, écrire/rédiger/citer/corriger/fermer les accolades {{ }}, parenthèses (que je n'ai pas sur le clavier de mon portable, ouvrir les parenthèses droites sans oublier de les fermer [[ ]] chercher le signe qui manque | Nom1 = Dawkins ... oups pas le droit de mettre une majuscule aux noms de balises, donc à Nom1 faut écrire nom, ne pas le trouver le signe-syntaxe qui manque à l'appel, chercher à nouveau, ainsi de suite ad nauseam c'est énormément-plus-que-vachement-chi-ant
EXEMPLE à scruter :
== {{marron|Bases scientifiques - Biologie, génétique, mathématiques}} ==
[[File:Structure-ADN.svg|thumb|Structure-ADN]]
{{vert|La percée scientifique des travaux du généticien britannique [[William Donald Hamilton]] ouvre la voie à la possibilité d'une sociobiologie en tant que nouvelle science. Les réflexions et publications de Hamilton procurent en effet la base scientifique et le coup d'envoi indissociables de la sociobiologie.}}
=== {{vert|Altruisme et niveaux de sélection}} ===
{{marron|Depuis les années 1960, en particulier, scientifiques et philosophes de la science débattent sur la question de savoir comment, le cas échéant, opère la sélection au niveau du groupe{{note|texte= Ever since Darwin created his theory of evolution in the nineteenth century, and especially since the nineteen sixties, scientists and philosophers of science have been intensely debating whether and how selection occurs at the level of the group. Ndt. Interprétation libre|groupe=trad}}{{,}}
<ref>{{Article |langue = anglais | prénom1 = Ayelet | nom1 = Shavit | titre=Altruism and Group Selection | périodique = Internet Encyclopedia of Philosophy| année = 2008|passage=Introduction}} Consulté le 2015-08-05 {{plume}}</ref>}}
=== {{vert|Valeurs de sélection ou d'adaptation}} ===
{{vert|En 1964, le [[Biologiste|biologiste]] [[Royaume-Uni|britannique]] [[William Donald Hamilton]] propose une solution au problème de l'altruisme. Il publie, à cet effet, un article intitulé « ''L'évolution générale du comportement social{{trad|en|The General Evolution of Social Behavior}}'' » dans la « Revue de biologie théorique{{trad|en|Journal of Theoretical Biology}} {{,}}<ref>{{Article |langue=anglais |prénom1=William Donald|nom1=Hamilton |titre = The General Evolution of Social Behavior |périodique = Journal of Theoretical Biology |numéro = 17 |passage = 1-52 |année = 1964 | url =
http://www.uvm.edu/~pdodds/files/papers ... n1964a.pdf Hamilton 1964}}</ref> {{,}}<ref group=note>Problématique de l'altruisme dans la théorie de l'évolution des espèces. Pourquoi existe-t-il des comportements [[altruisme|altruistes]] dans la nature, alors que de tels comportements sont désavantageux ? L'explication réside dans ''l'aptitude darwinienne globale'' des gènes, en anglais ''inclusive fitness'', basée sur le principe de « [[sélection de parentèle]] », ''kin selection'' en anglais. Les espèces comptent des individus portés aux comportements de coopération avec leurs parents biologiques car, par hypothèse, ce dévouement favorise la propagation de leurs propres gènes. </ref> Depuis, son hypothèse est retenue et porte le nom de « [[sélection_de_parentèle|Loi de Hamilton]] ».}}
=== {{vert|Sélection de parentèle }} ===
{{Article court|sélection_de_parentèle {{!}} Sélection de parentèle}}
Le premier résultat théorique d'importance concernant l'équation de Hamilton est obtenu et publié en 1970 par le biologiste américain George R. Price{{sfn|Price|1970|p=520-521}}. Le concept de « sélection de parentèle » est ensuite retenu et clarifié par Wilson dans son ouvrage « ''Sociobiology: The New Synthesis'' ». La première confirmation expérimentale est réalisée et publiée en 1976 dans la Revue « Science » par les biologistes américains [[Robert Trivers]] et [[Hope Hare]]. Le nom de « sélection de parentèle » est associé à l'hypothèse de Hamilton pour la première fois par [[John Maynard Smith]] <ref>{{article |langue=en |prénom1 = John Maynard |nom1=Smith |lien auteur1=John Maynard Smith|année= 1964 |titre= Group selection and kin selection |lien périodique = Nature (journal)|périodique = Nature |volume = 201 |numéro = 4924 |passage=1145–1147}}</ref>.}}
=== {{vert|Équation de Hamilton}} ===
{{vert|En 1968, le [[Génétique des populations|généticien des populations]] [[George R. Price]] (1922-1975) découvre les avancées du [[Évolution (biologie)|biologiste de l'évolution]] [[William Donald Hamilton]]. En faisant appel aux outils mathématiques développés par le généticien [[Royaume-Uni|britannique]] [[w:en:Alan_Robertson_(geneticist)|Alan Robertson]] (1920-1989) sur l'étude de la covariance en biologie de l'évolution, Price démontre que l'équation de Hamilton peut être déduite de la [[sélection de groupe]]. Dit autrement, certains comportements malveillants intra-spécifiques seraient sélectionnés naturellement dans les grandes populations. Ainsi, l'altruisme décroît de la famille immédiate vers le groupe chez les animaux sociaux pour devenir de l'agression systématique entre individus de groupes différents. Il publie sa conclusion en 1970 dans [[Nature|la revue scientifique Nature]]<ref>* {{Article|langue=anglais|prénom1=George R.|nom1=Price|titre = Selection and covariance |périodique = Nature|numéro = 227|passage = 520-521|année = 1970}}</ref>.
Dans le numéro suivant, D.W. Hamilton publie un article dans lequel il démontre la puissance explicative de son modèle <ref>* {{Article|langue=anglais|prénom1=William Donald|nom1=Hamilton|titre = Selfish and spiteful behaviour in an evolutionary model|périodique = Nature|numéro = 228|passage = 1218-1219|année = 1970}}</ref>.}}
=== {{marron| Valeur sélective}} ===
{{Article détaillé|Valeur sélective|sélection naturelle|sélection de parentèle|valeur sélective inclusive|valeur adaptative}} {{Article connexe|Sélection naturelle#Apparition d'adaptations biologiques complexes{{!}}Adaptations biologiques complexes}} {{vert|La valeur sélective est un concept central en biologie de l'évolution des espèces par sélection naturelle, et se décline diversement : valeur sélective inclusive, valeur adaptative, sélections diverses, niveaux variés, etc. Par conséquent, elle appert fondamentale en sociobiologie/sociologie.}}<br />
{{citation début}}{{vert|La valeur sélective inclusive, ou adaptation inclusive, est une théorie selon laquelle le succès génétique d'un individu serait généré par les comportements altuistes et coopératifs. La théorie de l'adaptation inclusive, ou valeur sélective inclusive, soutient que l'altruisme entre organismes qui partagent un pourcentage donné de gènes favorise la transmission de ces gènes aux générations subséquentes. De sorte que, un acte altruiste qui favorise la survie d'un proche apparenté ou autre individu augmente l'adaptation génétique à la fois de l'organisme récipiendaire et de l'organisme auteur/donateur de l'acte altruiste. La propagation de gènes partagés/communs était considéré comme un processus sousjacent à l'évolution de l'eusocialité - comportement de coopération caractérisé par la division du travail et l'intégration rencontrées dans certaines espèces animales, principalement chez les insectes sociaux}}{{note|texte = inclusive fitness, theory in evolutionary biology in which an organism’s genetic success is believed to be derived from cooperation and altruistic behaviour. ... the theory suggests that altruism among organisms who share a given percentage of genes enables those genes to be passed on to subsequent generations. In this way, an altruistic act that supports the survival of a relative or other individual theoretically enhances the genetic fitness of both the recipient of the act and the altruistic organism. The propagation of shared genes was believed to be an underlying mechanism for the evolution of eusociality (cooperative behaviour characterized by division of labour and group integration that is found in certain species of animals, mainly social insects)|groupe=trad}}{{,}}<ref>{{Ouvrage = Encyclopaedia Britannica| langue = anglais| titre = Inclusive fitness - Biology | prénom1 = Kara nom1 = Rogers | année = 20103 </ref>. {{fin citation}}{{vert|Dans l'exemple suivant, le point de vue exprimé par Jean-Olivier Irisson, biologiste spécialisé, indiquerait la force explicative et donc l'intérêt de la notion de valeur sélective applicables aux interrelations entre sociobiologie et sociologie}} : {{citation début}}{{vert|La stratégie bourgeois est une stratégie mixte qui consiste à se comporter en faucon si l’on possède la ressource et de se comporter en colombe lorsqu’on ne la possède pas. On considère ici que les bourgeois possèdent la ressource une fois sur deux. Nous pouvons remarquer que, lorsque les bourgeois sont établis dans la population, ils constituent une stratégie évolutivement stable. Ce type de stratégie permet d’expliquer l’apparition de conventions sociales ou de la territorialité dans les populations.}}<ref>{{vert|{{Article|langue = français| prénom1 = Jean-Olivier |nom1 = risson| titre = La notion de valeur sélective et son intérêt| passage = 10| périodique = Syllabus. Université Pierre et Marie Curie| année = 2014| format = pdf| lieu = Paris 6| url =
http://www.obs-vlfr.fr/~irisson/teachin ... itness.pdf pdf Consulté le 2015-08-07 {{plume}} </ref>{{fin citation}}
Et les robots-sapeurs, voleurs, nettoyeurs, errants
...Ouach ouach ouach
Et ça, seulement pour une petite section/chapitre environ 5 % de l'article !!!!!