J'ai aussi eu une enfance très heureuse, je dois dire.
J'ai vécu dès mon plus jeune âge dans un poulailler d'une hauteur d' 1 mètre 20 avec bassin à eau tempérée, grande surface et très bien agencé, où après la puberté je suis vite devenu le coq dominant. Cela a forgé mon goût pour la polygamie et l'amour libre (et évidemment j'accepte la polyandrie réciproque !), ainsi qu'une certaine liberté du gland et ouverture d'esprit envers la gente emplumée.
Après cette adolescence heureuse, ça s'est un peu gâté suite à l'arrivée des cochons, oies et dindons dans la ferme, qui m'ont quotidiennement sodomisé, très vigoureusement - moi le mâle dominant du poulailler - durant quelques années jusqu'à ma majorité et mon émancipation. Pourtant, malgré quelques séquelles d'incontinence, je ne regrette rien de ces années d'humiliation: je les considère comme une juste compensation, justice universelle oblige, des heureuses années précédentes à me taper la plus belle volaille et me branler pendant qu'elles sont à la ponte.
Avec mes couilles de pas loin de 40 kilos chacune à la grosse louche, je suis fier d'annoncer être l'heureux papa d'un bon millier de poussins dont une partie fait peut-être des études universitaires s'ils ont échappé au pot-au-feu. Quant à mes rejetons cuits en oeuf à la coque ou au plat, aucun regret à avoir: ils n'ont nullement souffert durant la cuisson ou la friture. Leur vie fut brève, mais intense.
Au prochain racontage de life dans le forum, faites-moi signe par MP, j'adore moi aussi raconter ma véritable vie à moi (moi moi MOI !!)