Oui, c'est le cas de le dire.
Salut poupounette gothic en susucre sucré-salé. Ca boume ?
Dans ce topic-ci, tu t'es proposée en exégète du symbolisme. Ce qui est très cool mais ne fut guère convaincant. Dans le forum Top-Couillons, tu avais fait pareil il y a peu, au sujet de l'intention de sacrifice d'Isaac par son gentil papounet Abraham :
http://forums.topchretien.com/viewtopic ... 04&t=57194Ataraxia a écrit:
Ca va ptet être une optique qui va moins t'intéresser mais on a passé plusieurs semaines sur ce texte et voilà ce qui est ressorti de l'analyse :
Lieux:
Isaac est placé sur l’autel par-dessus le bois, ainsi il ne peut être plus proche de Dieu car il va être sacrifié. Le sacrifice est une destruction comme un acte de foi c’est-à-dire une manière de dire que la vie appartient à Dieu.
Abraham vient d’une société où l’on sacrifie le fils ainé (il s’agit d’une société polythéiste). Il s’attend donc à ce qu’on lui demande la mise à mort d’Isaac. En hébreu, le verbe qu’on a appelé « sacrifier » signifie « proche de Dieu ». Donc, on peut interpréter les paroles de deux manières : « Rend Isaac proche de Moi (=Dieu) » ou « Sacrifie-Moi (=Dieu) Isaac ». Abraham a donc compris ce qu’il voulait comprendre c’est-à-dire la pratique de son époque (= mise à mort de l’enfant premier né). Il a prêté une intention à Dieu qui n’était pas la bonne. Le croyant est celui qui prête à Dieu une parole.
Quand Abraham dit aux serviteurs de s’asseoir avec l’âne (= monde matériel, il s’agit d’un jeu de mot âne-économie). Les serviteurs s’assoient donc avec celui-ci et étudient et donc ils ne voient donc rien de ce qui se passe vers le haut car il n’est pas donné à tous de « s’élever » (encore jeu de mot « Demeurez avec l’âne = asseyez-vous = étudiez »).
Contexte:
Avec un seul morceau d’un texte, on peut faire dire ce qu’on veut. Il est donc important d’être attentif au contexte.
Ce que Jésus dit au début de son enseignement n’est pas la même chose à la fin, il suppose qu’on sait ce qu’il a dis précédemment et il se base sur cela.
Pour comprendre un texte, il faut le remettre dans son contexte (lire les titres des passages qui précèdent et qui suivent).
Le texte Genèse 22 nous y oblige car il y est dit « après ces évènements ». Il faut donc relire ce qui s’est passé au chapitre 21 : rencontre entre Abraham et le roi de la région Abimelek, discussion au bord d’un puits (le puits est important = lieu idéal pour toutes sortes de rencontres romantiques). Abimelek et Abraham discutent et concluent une alliance. Le nom d’Abimelek (« ab » = le père, « I » = mon, « melek » = roi) signifie « mon père c’est le roi ». C’est comme si Abraham avait dit au roi que c’est son père alors qu’en bon monothéiste il aurait dû dire cela de Dieu. C’est comme s’il avait renoncé à l’alliance avec Dieu en faisant alliance avec le roi (polythéiste) et cette alliance n’engage pas uniquement Abraham mais toute sa descendance.
Voilà, ça peut toujours servir, en tout cas moi ces explications me conviennent...
Bin dieu, plusieurs semaines d'analyse (en groupe ?) pour en sortir ça ?
Dis voir, ton école c'est un institut ou la foire aux cancres ? Bé, ça explique bien des choses, poupée...
Il est évident que cet holocauste demandé par dieu est la mise à l'épreuve de la foi d'Abraham en son dieu. C'est aussi la démonstration même de l'aliénation et totale immoralité de ta religion de merde, où un gars est prêt à sacrifier la chair de sa chair, son fils, parce qu'une entité métaphysique le lui a demandé. Vous êtes des monstruosités qui glorifiez une des plus grandes transgressions et immoralités qui soient, l'infanticide, le sacrifice d'un enfant, pour une cause quelle qu'elle soit. Des ordures engendrées par une bible immorale, louant des ordures bibliques, voilà ce que sont les chrétiens.
Tu dis :
Citation:
<< Le sacrifice est une destruction comme un acte de foi c’est-à-dire une manière de dire que la vie appartient à Dieu. Abraham vient d’une société où l’on sacrifie le fils ainé (il s’agit d’une société polythéiste) >>
1. Pas très élégant de mettre sournoisement le sacrifice du "fils aîné" sur le compte d'une
pratique des polythéistes...
2. Pas très glorieux de plaider "
le fils aîné" alors que le fls aîné d'Abraham était
Ismaël, et non Isaac. Z'êtes trop fortiches dans ton école de cancres...
3. Pas très exégétique non plus de renommer et redéfinir un sacrifice à ta sauce grand guignol.
Dieu avait ordonné à Abraham de faire un
holocauste (comme dans le texte) car c'est
le nom juif de cette pratique juive (cf :
sacrifice chez les juifs, où la victime était entièrement consumée par le feu).
4. Pas cool non plus de prétendre, toujours aussi sournoisement, que les polythéistes pratiqueraient le sacrifice de leurs premiers nés. Et surtout aussi aveuglément, sans résistance aucune. Sans aucune source ni référence historique de ta part, rien, à part tes préjugés de bonne chrétienne ethnocentriste ?
Renseigne-toi ! Informe-toi, documente-toi, future prof de frenchie :
La plupart des sociétés à "
sacrifices humains", sacrifiaient(ent) avant tout les ennemis, des prisonniers, ou des membres d'autres tribus. Très rarement leurs propres enfants. Et lorsque cela arrive(ait), certes cela arrive(ait) parfois - les aztèques p.e. et les Incas l'ont eu fait, et même jusqu'à récemment des malgaches, et certaines peuplades à l'heure actuelle, épisodiquement et pour des raisons tout autres que "premier-né" -, les parents de ces futurs destinés à l'immolation, déjà ne le font(aisaient) pas eux-mêmes (*) et souvent résistent(aient) contre leur mauvais sort (c'est documenté notamment dans certains récits de polynésiens qui avaient caché leurs enfants pour leur éviter la mort) - car ils avaient sans doute encore un peu de dignité et d'humanité (*) - bien plus de dignité en tous les cas que cette maquerelle monstrueuse d'Abraham, père et pute des pseudo-monothéismes modernes à nombreuses mi-divinités, qui allait le faire de ses propres mains, comme ordonné - en homme plein d'amour... pour le dieu qui lui ordonne de sacrifier son enfant.
Putain ! (*) Si le crime d'infanticide est une horreur dans tous les cas ; l'homme s'est créé des habitus pour mieux l'assumer : ex. lorsque le crime est collectif, avec raison invoquée (coupable de diablerie, par malformation ou autre particularité "porte-malheur", etc.) et commis sans auteur défini, ou par un ensemble de bourreaux extérieurs, ce crime est mieux assumé. Assumé par tout un groupe social.
C'est une donnée anthropologique bien connue. Ce qui n'est pas le cas de la description d'infanticide rituel commis par Abraham sur son propre soi-disant premier-né...
De plus,si tu ouvrais un peu ta bible, tu constaterais que les références aux sacrifices dédiés à Moloch par ex., ne précisent rien sur le "premier né", mais plutôt (entre autres) celle-ci :
Exode 13:1 : L'Eternel parla à Moïse, et dit 13:2 Consacre-moi tout premier-né, tout premier-né parmi les enfants d'Israël, tant des hommes que des animaux : il m'appartient. Amusant ? Oui ? Non ? Très amusant, car on est ici bien après Abraham (genèse), déjà dans le chapitre Exode, où l'Eternel (le dieu des monothéistes, non ?) demande à Moïse TOUT premier-né.
Tu disais quoi sur Abraham et le polythéisme ?
Citation:
<< En hébreu, le verbe qu’on a appelé « sacrifier » signifie « proche de Dieu ». >>
Pouf pouf pouf.
Non. Le terme offrande (qui peut inclure les cadeaux et les sacrifices) en hébreu se dit
Korban ,
le don, qui a comme racine "
rapprocher", "
ce qui est rapproché de".
Et NON encore, car dans genèse 22, c'est le mot
holocauste qui est utilisé, qui désigne comme déjà dit "
immolation, sacrifice par le feu" :
Holocauste se dit olah en hébreu (du verbe alah, comme "
monter" - car la fumée (de la victime cramée) monte vers le ciel... ) , zispèce d'exégète d'opérette.
Citation:
<< Donc, on peut interpréter les paroles de deux manières : « Rend Isaac proche de Moi (=Dieu) » ou « Sacrifie-Moi (=Dieu) Isaac ». Abraham a donc compris ce qu’il voulait comprendre c’est-à-dire la pratique de son époque (= mise à mort de l’enfant premier né). Il a prêté une intention à Dieu qui n’était pas la bonne. Le croyant est celui qui prête à Dieu une parole. >>
Arf arf arf arf, non reine de l'exégèse papier cul, non. Pas du tout.
D'abord, le croyant est
celui qui croit. Point. Ensuite, ton interprétation bouffonnière est strictement n'importe kwak, réfutée par le texte lui-même, par ex : "
L'ange dit : N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien ; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique" et encore :
"(18) Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix"....
Le premier travail d'une analyse de texte, c'est de lire le texte, chérie. arf
Ton Abraham biblique n'était pas un malentendant ni mécomprenant, mais un pieu connard obéissant qui était prêt à tuer son propre fils : non seulement dieu confirme qu'il voulait par cet holocauste éprouver la foi et/ou obéissance, la crainte de dieu par Abraham, mais le terme utilisé par dieu est bien Holocauste, qui signifie bien "
sacrifice, offrande [égorgée] et consumée par le feu", un rituel tout ce qu'il y a de plus commun, et qu'Abraham comprit parfaitement.
Le fait est aussi qu'à l' "époque" d'Abraham, les 10 commandements et les lois hébraïques qui interdiront l'immolation rituelle d'humains, n'avaient supposément pas encore été pondues ni "révélées".
Dieu n'avait donc (bibliquement) pas encore interdit d'immoler des enfants, et Abraham avait donc compris l'ordre que dieu lui avait donné,
car il était bien explicite. Et tout dans genèse 22 confirme, y compris les dires et actions de dieu ou de ses divinités messagères, qu'Abraham avait bien compris le sublime ordre divin qu'il se devait d'exécuter.
Tu ne fais pas de l'exégèse ici, mais
du plus pur détournement de texte.
Par ailleurs, ils ne sont pas si dupes sur Top Corniauds à ce sujet (excepté Yoda qui a trouvé ton exégèse intéressante... sic) , car eux, esclaves du KRST qui l'assument, glorifient justement cette foi et obéissance immense de ce pourri d'Abraham par ce passage genèse 22, qui n'a de sens que si Abraham avait vraiment voulu obéir à un ordre de dieu d'égorger puis brûler son fils Isaac.
Ils (les enflures esclaves sur Top-Corniaud) ont donc pour la plupart bien compris ce texte, mais en glorifient sa teneur "de vraie foi"... Une claire et exemplaire incitation à l'intégrisme, à la foi aveugle et criminelle, mais qu'ils glorifient (pour la plupart)...
Je te passe tes autres stupidités, absolues stupidités dignes d'une mauvaise BD, dont notamment tes conneries sur le puits et l'âne, qui tout au plus confortent soit que tu es une ânesse avec A majuscule parmi les Bourrins B majuscule de ta classe, soit que ta principale activité durant tes cours est de te récurer le nez.
Si je t'ai détaillé cet exemple d'exégèse (un peu HS mais pas tant que ça) de ton cru (de toi et de la fine équipe d'abrutis de ta fac catholique ??), que tu dis te convenir, c'est pour qu'à l'avenir - dans ce forum-ci du moins - les croa croa évitent de nous prendre pour de bonnes poires et/ou des insuffisants mentaux, avec autant de légèreté que tu le fis dans tes précédents posts sur
Jésus et ton symbolisme, tellement épuré de détails inutiles qu'il n'en reste même pas de carcasse, rascasse !
Genèse 22 :
1 Après ces choses, Dieu mit Abraham à l'épreuve, et lui dit : Abraham ! Et il répondit : Me voici ! 2 Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t'en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l'une des montagnes que je te dirai. 3 Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l'holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit. 4 Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit le lieu de loin. 5 Et Abraham dit à ses serviteurs : Restez ici avec l'âne ; moi et le jeune homme, nous irons jusque-là pour adorer, et nous reviendrons auprès de vous. 6 Abraham prit le bois pour l'holocauste, le chargea sur son fils Isaac, et porta dans sa main le feu et le couteau. Et ils marchèrent tous deux ensemble. 7 Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit : Mon père ! Et il répondit : Me voici, mon fils ! Isaac reprit : Voici le feu et le bois ; mais où est l'agneau pour l'holocauste ? 8 Abraham répondit : Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l'agneau pour l'holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble. 9 Lorsqu'ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. 10 Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils. 11 Alors l'ange du Seigneur l'appela des cieux, et dit : Abraham ! Abraham ! Et il répondit : Me voici ! 12 L'ange dit : N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien ; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique. 13 Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils. 14 Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova-Jiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : À la montagne du Seigneur il sera pourvu. 15 L'ange du Seigneur appela une seconde fois Abraham des cieux, 16 et dit : Je le jure par moi-même, parole du Seigneur ! parce que tu as fait cela, et que tu n'as pas refusé ton fils, ton unique, 17 je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer ; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. 18 Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix. 19 Abraham étant retourné vers ses serviteurs, ils se levèrent et s'en allèrent ensemble à Beer-Schéba ; car Abraham demeurait à Beer-Schéba.