Citation:
La mort cellulaire, OK. Mais c'est un processus aussi utilisé pour la croissance, par exemple pour se séparer d'une feuille, qu'elle fane, puis se détache facilement et sans trace de la tige. Quand peut-on dire que la mort cellulaire n'est plus une étape calculée, mais le signe de la dégénérescence incontrôlée ?
Je ne sais pas.
Mais c'est une bonne question. Je t'encourage à persévérer dans tes recherches.
Citation:
Je ne trouve vraiment pas grand chose sur l'activité électrique des plantes, les expériences dans ce domaine semblent au stade embryonnaire, et peut-être naïvement, par similitude avec les animaux, j'ai tendance à penser que là est la réponse. Comme pour les animaux, la prise est débranchée, le courant ne passe plus, et le cap de non-retour est franchi. Mais ce n'est que pure supputation.
Je ne sais pas.
Pas sûr qu'il y ait un équivalent à l'EEG plat chez les plantes, justement parce qu'elles n'ont pas de cerveau. Mais qui sait ?
Les botanistes parlent parfois de plante fraîche ou pas fraîche, vu je suppose que la question - déjà compliquée chez les bestioles - , ne doit pas être plus facile à trancher chez les plantes.
La mort, mort à jamais, ou pas encore entièrement mort mort, pfiuuu... ça me semble compliqué. Je dirais que si tous les tissus finissent de renvoyer leurs constituants dans la biosphère, c'est le signe que c'est cuit-cuit. Mais ça ne répond pas à la question, j'en suis conscient.

Sincèrement navré de t'avoir "tant" aidé.