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MessagePosté: 12 Juil 2015, 20:54 
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Tu confirmes donc et que cette émotion (indéfinie, la surprise peut-être ?) suivie de la décision mi-volontaire de freiner, est considérée dysfonctionnelle en relation à la décision du tribunal qui a emmené la conductrice en prison ?
Confirmes-tu aussi que c'est une réflexion/déduction sociologique formelle, c-à-dire que le concept d'émotion incapacitante ou sociale dysfonctionnelle, en sociologie, implique et conçoit ce genre de liens "logico-déductifs" ?

:hein:

_________________
"Je veux qu'on me prenne pour un con car j'en suis un, qu'on me parle simplement pour que je capte bien car je suis idiot: si on me regarde et qu'on me parle sans égards, c'est déjà me considérer à peu près normal et pas uniquement comme un handicapé physique ou un déficient mental."


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MessagePosté: 12 Juil 2015, 21:15 
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Citation:
Paracosboy interroge :
Tu confirmes donc et que cette émotion (indéfinie, la surprise peut-être ?) suivie de la décision mi-volontaire de freiner, est considérée dysfonctionnelle en relation à la décision du tribunal qui a emmené la conductrice en prison ?

Non, non, non, non. Je ne confirme pas encore quoique ce soit.
On dit dans un article de presse, que Madame de 25 ans adore les animaux - Non, ce n'était pas la surprise mais une émotion contradictoire permis-interdit, ou amour versus importance premier, second, troisième rang ? ... Moi, j'aurais fait la même chose (mauvaise décision socialement parlant peu importe le résultat social), ou causé un accident en sortant immédiatement de ma voie. L'émotion ressentie devant les animaux que j'aime à la folie aurait pris le pas sur toute autre considération.

La logique, les liens hypothético-déductifs, l'hypothèse et la science (Poincarré) pragmatiques, à droite à gauche, la sociologie n'arpente pas ces territoires ni même ne les porte à l'attention.(économie, peut-être)

Quant aux émotions (non encore définies) Pensons à l'École de Palo Alto. Experts en la matière. Peut-être dépassés aujourd'hui, je ne sais pas.
Il y a Jean Piaget in Le développement moral chez l'enfant *****
Hubert Van Gijseghem : L'enfant mis à nu. La recherche de la vérité
et La psychanalyse, cette imposture *****
Mais nul n'est abordé en socio. (1994 et avant, Universités de Montréal et UQAM)
Les débats se situeraient en psychosociologie (Moscovici, et al).
Et en sciences juridiques : droit public versus droit privé
Mais après ces études de longue haleine en sociologie, j'ai tout envoyé promené. Je le confirme sur un très très vieux début de blog

Je ne parviendrai jamais, il me semble, à m'exprimer avec autant de clarté que toi.

Citation:
Paracosboy s'exprime
Si je peux me permettre, j'aimerais aussi savoir si telle décision de freiner, est considérée indécidable (dysfonctionnelle/fonctionnelle) jusqu'au moment de la décision du juge. Car à ce moment-là, c'est le juge qui décide si une émotion est dysfonctionnnelle ou pas, et cela ne dépend donc ni de concepts scientifiques ni d'un quelconque substrat biologique ni même psychologique de la conductrice, mais du jugement d'un tribunal. Si un concept sociologique est une décision de tribunal, c'est comme la beauté superlative du coran décrétée par des "savants" de l'islam, hein... J'aimerais bien savoir si tu parles sciences ou décrets, entités biologiques-psychologiques, ou décision d'un tribunal, quelle qu'elle soit.

Indécidable justement. Dans un ordre d'idée analogue au Choix de Sophie
Fonctionnel/dysfonctionnel jusqu'au moment de la décision du juge ? Non, du tout.
Je parle de beaucoup trop d'éléments de catégories différentes en même temps, Oui.
Opposition sciences/décrets ? C'est-à-dire ?
Entités biologiques/psychologiques ? Assurément
Décision d'un tribunal, quelle qu'elle soit, Absolument

la scène à voir et revoir pour tamiser au mieux le sujet Génétique des émotions Qui parle de quoi à qui => http://www.wat.tv/video/choix-sophie-h1ry_2fgqp_.html

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Marie


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MessagePosté: 12 Juil 2015, 23:31 
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Quand je pense qu'on interdit de rouler bourré... L'amour des canards sur autoroute devrait être aussi interdit !

C'est bien votre truc, mais moi ça ne me renseigne pas trop. Par exemple, lorsque je suis tendu, fatigué, anxieux ou contrarié, je peux me sentir tellement mal et vlan je fais une crise de panique, tellement que je ne peux plus conduire sur l'autoroute par exemple (milieu fermé, réglementé) de peur de faire un malaise, faut que je sorte au péage le plus prés ou que je m'arrête sur une aire de repos le temps de récupérer ou de m'envoyer un cachet. Est-ce une émotion invalidante ?


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MessagePosté: 12 Juil 2015, 23:40 
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Jean Peuplut a écrit:
Est-ce une émotion invalidante ?

Ch'ai pas, au lieu de t'arrêter, accélère pour voir ?

Sinon je confirme ton pb de panique est génétique. Je viens à l'instant d'enfiler une blouse blanche : tu peux donc avoir totale confiance en mon diagnostique professionnel.
Et si t'arrêtait les cachets, il se passerait quoi ?


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MessagePosté: 12 Juil 2015, 23:58 
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Citation:
Jean Peuplut : Est-ce une émotion invalidante ?

Ben oui, c'est certain. De mon point de vue, je précise.
Je les appelle troubles émotifs. États mentaux problématiques. Je rejette : maladie mentale si les émotions sont essentiellement impliquées. Si non, je n'embarque pas dans les piétinements psy. Par contre, je suis favorable à la médication appropriée. :chaise: La société aime pas, mais pas du tout du tout du tout. 90% contre les '' médicaments de l'âme ". Rawbrol aussi, on dirait. En abrégé, j'aborde la question d'un point de vue ordinaire. Humaniste. Avec des informations pouvant répondre à des tonnes de questions, complexes, l'état des connaissances en psy et cie.
Mon point de vue est d'orientation psychosociale , incluant une forte propension pou le partage des connaissances honnêtes.
Mais c'est peut-être une maladie génétique ? Mentale ? Un maillon faible ? Je l'ignore et je voudrais en discuter en toute liberté si le sujet intéresse bien entendu.

Citation:
Paracosboy demande à Marie
J'aimerais bien savoir si tes réflexions (soulignées en rouge) sont issues de "réflexions ou conclusions sociologiques" formelles, ou si ces espèces de dysfonctionenment ou/non au pro rata de la décision d'un tribunal, sont une réflexion qui t'est propre.


Rawbrol, imagine-toi donc que je ne saisis pas la question, je veux dire, ce qu'il veut dire par là :lol: :hey:
Comme je la comprends, c'est le propos d'une de mes recherches formelles publiées mais non accessible en librairie commerciale ni en article scientifique.
Jean Peuplut, tu me vouvoies maintenant ? C'est contre mon étiquette.

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Marie


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 00:11 
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mariebernard a écrit:
Rawbrol, imagine-toi donc que je ne saisis pas la question, je veux dire, ce qu'il veut dire par là :lol: :hey:

Il te demande de confirmer s'il faut en passer par la parole d'un juge (qui n'est donc pas un sociologue professionnel) pour valider des thèses de sociologie.


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 01:22 
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:hein: Ça s'obscurcit mon vieux. J'ai l'esprit dans la grisaille. Plaidoyer de non culpabilité pour raison d'aliénation mentale - Cour criminelle du Canada :fire2:
Impasse en vue. De quoi on parle au juste ? De la crédibilité de mes propos ? C'est ma conclusion. Faites bien d'en parler, les amis. Car je n'ai pas encore été jugée Je suis sur le banc de Kafka, en état de métamorphose

Une expérience me revient à l'esprit. Le lien avec le propos de ce topic sera peut-être difficile à faire, trop ténu. On verra bien.
J'ai été appelée à témoigner en cour criminelle à titre d'expert. J'en reviens pas de passer pour un expert (en matière d'inceste et de contraintes,). C'est très choquant à mes yeux. L'appât du gain, salaire exorbitant, par demi-journées, fut plus fort que mes convictions morales. Wow bec ! Un peu fort, je n'a pas de morale, suis amorale, incapacité profonde. J'ai accepté, sans plus.
Cause : psychiatre accusé d'abus sexuel sur une de ses patientes. Je témoigne pour la Défence.
La Couronne prétend que le psychiatre représente le Père et que le transfert oedipien est l'élément prépondérant de l'affaire. La victime aurait été prise dans les filets d'une relation incestueuse.
Avec tout ça, je vous demande dans quel état génético-émotif paradoxal je me trouvais ?!
Dans St-Laurent c. Hétu, la juge Tourigny analyse les faits qui lui permettront d’en venir à la conclusion que le thérapeute a abusé de son autorité pour manipuler ses patientes :
Évidemment, les plaignantes avaient abondamment parlé, au cours de ces premières entrevues, des problèmes qu'elles éprouvaient, entre autres, des
problèmes relatifs à leur sexualité. Saint-Laurent, selon elles, avait établi un climat tout à fait propice au préalable, avant d'initier lui-même soit par des gestes, soit par des paroles, les contacts physiques et sexuels.Elle conclut que, dans ce cas, le consentement était vicié par l’exercice de l’autorité. Le juge Fish est d’accord et réitère pour sa part l’opinion de la juge McLachlin dans
Norberg, à savoir que la relation professionnelle entre un médecin et sa patiente est une relation fiduciaire, ce qui signifie que le professionnel doit faire passer l’intérêt de son client avant le sien.

Et quel serait l'intérêt, votre Honneur, pour la cliente de 27 ans qui se rendait à répétition, de son propre chef, en voiture, l'hiver, à des kilomètres de Montréal, à la résidence secondaire dudit psychiatre pour leurs ébats sexuels ?
Ici les impasses vécues par le psy, sont insoutenables, de mon avis.. D'abord Freud intervient dans le plaidoyer de la couronme dans les considérations sexuelles de ces femmes adultes et vaccinées. Inceste ?????? :hein: :hein2:
Et vlan ! On part perdant devant l'énormité de ces thèses éthérées dont le juge ne comprend pas un traitre mot. Mais le discours s'affirme scientifique, preuves à l'apppui. La Couronne est au pouvoir.
Le psychiatre aurait-il éprouvé des émotions intenses, paralysante, non définies, durant le déroulement du procès. J'étais invitée au repas du midi chez lui et son épouse durant le procès. Il était complètement anéanti , désorienté. incrédule : la victime présumée était plus que consentante dans ce cas-ci. Preuves à l'apppui. Le rassemblement féministe et le ralliement du pouvoir de la Couronne ont eu raison de sa raison.
Effondrement causée en partie par une faiblesse génétique, terrain propice, prédispositions génétique ? (je ne parle pas de testostérone ici)
Je me demande si cet exemple est hors-sujet, un peu, moyen, beaucoup, trop ?



In fine
Last message
Le choc des cultures frappe fort par ici

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Marie


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 02:23 
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mariebernard a écrit:
Citation:
Paracosboy interroge : Tu confirmes donc et que cette émotion (indéfinie, la surprise peut-être ?) suivie de la décision mi-volontaire de freiner, est considérée dysfonctionnelle en relation à la décision du tribunal qui a emmené la conductrice en prison ?
Non, non, non, non. Je ne confirme pas encore quoique ce soit. On dit dans un article de presse, que Madame de 25 ans adore les animaux - Non, ce n'était pas la surprise mais une émotion contradictoire permis-interdit, ou amour versus importance premier, second, troisième rang ? ... Moi, j'aurais fait la même chose (mauvaise décision socialement parlant peu importe le résultat social), ou causé un accident en sortant immédiatement de ma voie. L'émotion ressentie devant les animaux que j'aime à la folie aurait pris le pas sur toute autre considération.
La logique, les liens hypothético-déductifs, l'hypothèse et la science (Poincarré) pragmatiques, à droite à gauche, la sociologie n'arpente pas ces territoires ni même ne les porte à l'attention.(économie, peut-être)
Quant aux émotions (non encore définies) Pensons à l'École de Palo Alto. Experts en la matière. Peut-être dépassés aujourd'hui, je ne sais pas.
Il y a Jean Piaget in Le développement moral chez l'enfant *****
Hubert Van Gijseghem : L'enfant mis à nu. La recherche de la vérité
et La psychanalyse, cette imposture *****
Mais nul n'est abordé en socio. (1994 et avant, Universités de Montréal et UQAM)
Les débats se situeraient en psychosociologie (Moscovici, et al).
Et en sciences juridiques : droit public versus droit privé
Mais après ces études de longue haleine en sociologie, j'ai tout envoyé promené. Je le confirme sur un très très vieux début de blog. Je ne parviendrai jamais, il me semble, à m'exprimer avec autant de clarté que toi.

Comment est-ce possible de répondre complètement à côté de la problématique soulevée par Archie Cash, soulignée en gras ?

Vous devez vivre dans un nuage de LSD Marie, ou alors vous pratiquez une forme inédite de poésie en prose tantrique, car vous racontez vraiment n'importe quoi et répondez systématiquement à côté de vos pompes à toute question. Et depuis pas mal de messages on ne comprend pratiquement plus rien à ce que vous écrivez.
Je vous ai relue plusieurs fois, à chaque relecture je remarque de nouvelles énormités, de nouveaux signes de dysfonctionnement dans votre manière et de dé-raisonner et de mal-interpréter tout ce que vous lisez.

Vous ne comprenez rien à rien madame. C'est effrayant, indéchiffrable, ça fiche le tournis de lire une telle dispersion d'idées dans tous les sens, une incompréhension si épaisse de tout ce que vous abordez.

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"« Et bien oui, nous sommes des sociobiologistes. C’est un titre d’honneur. Nous sommes ceux qui rajeuniront les sciences. Les sciences actuelles sont près de leur fin. Notre tâche est de les saccager. » "
(Citation effrayante de H. Rauschning


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 03:22 
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Bon.
Assez c'est assez.
Salut

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MessagePosté: 13 Juil 2015, 14:15 
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Ce message est écrit avec une personne précise en tête. Mais, tout lecteur est libre de l'apprécier ou non

SUJET - Les points sur les i - avant le jour du grand pardon (c'est moi qui pardonnerais, le cas échéant) - et le retour au sujet principal : Génétique des émotions ? Qui parle de qui sur quoi ? (si je peux me permettre d'échanger avec les intéressés) . On jette un coup d'oeil au nombre de Vues -

Citation:
Marie a écrit à Rawbrol :
Citation:
Ça s'obscurcit mon vieux. J'ai l'esprit dans la grisaille. Plaidoyer de non culpabilité pour raison d'aliénation mentale - Cour criminelle du Canada :fire2:
Impasse en vue. De quoi on parle au juste ? De la crédibilité de mes propos ? C'est ma conclusion. Faites bien d'en parler, les amis. Car je n'ai pas encore été jugée Je suis sur le banc de Kafka, en état de métamorphose

Pour les durs de comprenote : Esprit dans la grisaille = vous me perdez, connotation : collision des cultures.

JE plaide non coupable, je dis que moi-même pas coupable pas comprendre etcetera, pour raison d'aliénation mentale (autodérision. Blague locale (Qc Ca) difficile à comprendre on dirait) - Cour criminelle du Canada (localisation: loi est en vigueur et appliquée au Canada , soulignant du coup le caractère local de l'ironie)
Citation:
L'autodérision est le fait de se tourner soi-même en dérision. Elle peut-être[i] utilisée comme une forme d'humour, ou pour diminuer des tensions interpersonnelles.



- Le grand débrouillage des propos est-il nécessaire ? Oui. => référence à l'avertissement local (Montréal) d'un grand débrouillage des émissions de la télévision payantes, cad accès gratuit pour tous sans exception, durant quelques jours.
- De bonne guerre : Oui.

Le but des points sur les i : se mettre au diapason, tâcher d'être sur la même longueur d'onde.
Égayer l'atmosphère, faire de l'humour noir, local, international, serait pas mal.
Totons (double sens local) et consorts prière de ne pas tendre de pièges. Les allures candides mensongères sont-elles de bon ton ? Faisant dévier le débat.
Acharnement ad hominem zéro tolérance chez certains hommes. => Homme = épicène, c'est-à-dire masculin et féminin à la fois.

Et on en parle plus.
Punto y basta

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Marie


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 14:45 
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Tamisage des idées avancées dans ce forum. En abrégé, tentative de resserrement du sujet. Pour ceux que ça intéresse
Essai => aussi destiné à Archie Cash selon qui Marie va probablement finir par en arriver au point.

Voici un exemple à la rescousse du projet de discussion. Pour mémoire : Génétique des émotions ? Discours de qui sur quoi
Ici, émotions (encore indéfinies) incapacitantes, dysfonctionnelles, invalidantes, paralysantes ? reste à déterminer. Thésaurus pourrait venir en aide, on verra bien.
Situation, dans ce cas-ci: danger socioéconomique pour les parties impliquées, danger personnel pour le demandeur X.


X parvient à obtenir le nombre requis de signatures (N:50) pour déposer une demande de syndicalisation des employés de la compagnie de taxis pour laquelle il travaille.
Le risque est gros. Énorme.
Le nom de X à titre de représentant des demandeurs apparaitra sur l'avis informant le propriétaire du déclenchement légal d'une demande de syndicalisation déposée en bonne et due forme par ses employés.
Furax, le propriétaire se rend coupable d'une série d'actions hors la loi à l'endroit de X : propositions financières très alléchantes, intimidation furibonde, harcèlements infâmes, tous punissables.
X ne bronche pas d'un poil. En apparence, du moins.
Et vlan dans les dents ! X est congédié. Ce qui entraine aussitôt des poursuites judiciaires par le Syndicat puis un procès en Cour du Travail.
Évidemment, X est complètement chamboulé sur le registre de ses émotions. Il n'en parait toujours rien. Jusqu'à la fin, X se tient debout. Il veut absolument que les employés soient protégés.
En cour, la Défense, (l'intimée) s'acharne sur X (la demanderesse).
X, pétri de tout bord tout côté par la Défense, éprouve de puissantes émotions. Rien n'y parait.
Et pan dans les flancs ! X perd la mémoire des événements essentiels. tandis qu'aucune peccadille ne lui échappe.

Cas 1 X perd sa cause
Cas 2 X gagne sa cause. Et une rétribution rétroactive (14 mois de plein salaire) assorti du renversement de son congédiement. X obtient un droit de travail sans droit d'appel pour le Propriétaire.

ENJEUX
Qu'importe l'issue, le point est : la perte de mémoire de X - le fait objectif - et l'épée de Damoclès qui peut s'abattre sur lui à tout moment pensée subjective réelle ou imaginaire.

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MessagePosté: 13 Juil 2015, 14:45 
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:hein2: gné ?


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 14:49 
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JeanPeuplut, j'ai loupé ? Raté totalement ? C'est que Curieux Brandy ne me lâche pas. Bref, je reste ou je quitte.
1) Pour les points sur les i, j'avais spécifié poliment, à mot couvert, que Curieux Brandy ne comprend probablement rien. Mauvaise approche au mauvais endroit ? Mais il m'a envoyé paitre, pour le dire moins bêtement, ici-même, dans ce forum. Hors sujet, justement, au sens où il continue avec ses attaques ad hominem.
2) Il a menti au sujet de son présumé grand-père
3) Le post suivant ? Exemple d'émotions invalidantes. Loupé ? 100%, 50% raté ?

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Marie


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 15:18 
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Non c'est clair, on se fout de la décision de justice, la perte de mémoire invalidante dû au stress est réelle et effective. Certes. Mais encore ? Moi ça m'arrive tous les jours des trucs dans le genre, à une moindre échelle et selon une intensité plus basse. Bref.


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 16:04 
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Je nage complètement.
Au début, tu te limitais à des généralités et des noms composés, sans aucune matière ni exemples, et on te l'a tous reproché car c'est très agaçant et ça ne mène nulle part. Tu en as pris note et, courageusement, sans trop rechigner (un peu quand même, hein), tu t'es enfin lancée dans la discussion autour d'éléments plutôt que de noms et de titres de sujets, que l'on devrait remplir à ta place... mais si mais si. Tu t'es investie dans des exemples de cas, bravo ! (il a fallu te les arracher et insister insister) : tu as donc fourni des exemples de situations avec "alternatives compliquées voire insolubles", de "double contrainte", de "prise de décision sous émotions", tu avais proposé que (et cela m'avait fait sursauter !) que "puisqu'elle avait été condamnée ou fini en prison, alors c'était une "émotion incapacitante"... etc. (je n'invente rien). Des raisonnements parfois très bizarres, pas du tout dignes d'entités psychiques ni de discussions objectivées. Car une entité "physique" dont la nature changerait selon une décision humaine, on ne retrouve ça dans aucune discipline scientifique à ma connaissance. Mais soit, mettons cela sur le compte d'une maladresse rédactionnelle et oublions.

Ces cas que tu exposes depuis hier, vont tous dans un même sens flou à mes yeux, pas très explicite, car les lisant les uns après les autres il semblerait qu'ils se transforment au fil de tes interventions, passant par toute une panoplie - dont le point commun, si je m'en tiens à ce que tu écris à peine plus haut - il me semble bien - est que tu parles en fait de (événements ou émotions) stress (antes) au sens large, non, et des conséquences de cela, dont ton dernier exemple est une perte de mémoire, amnésie partielle, sélective, voire une sorte d'état catatonique ? Non ? Je réagis ici comme Jean Foutre Premier : et alors ? Quel est ton focus ici ? ... cherches-tu toujours des liens génétiques ou hormonaux à cette espèce de catatonie invalidante ? Mettons que tu as réussi à mettre un dernier bon exemple d'émotion invalidante. Et ? :oops:

Je ne comprends pas toute cette complication préalable bourrée d'artifices. Pourquoi faire si "compliqué" ? Si le stress ou évènements stressants/traumatiques, provoquent irritabilité, confusions, pertes de mémoire, pourquoi pas tétanisation (pourquoi pas ?), dissociations, etc. C'est dans tous les magazines, ils répètent chaque jour divers éléments. Entre stress, régimes et cancers, c'est l'indigestion... C'est quelque chose d'assez commun du moins fréquent sous d'autres noms, c'est le même genre de choses finalement assez banales - à des niveaux de sévérité différents. C'est ce que je comprends dans ton dernier exemple.

J'avoue que je n'avais jamais fait attention auparavant que ce soit appelé "émotions incapacitantes" ou autrement, mais qu'est-ce que cela change ? Tu as toi-même renommé et reformulé ton "point" de 4 ou 5 manières différentes, dont je n'ai pas saisi les nuances car tu ne les a as pas explicitées. Mais apparemment ce serait le même genre de trucs. Non ?

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MessagePosté: 13 Juil 2015, 17:32 
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Oui.
À ma décharge, peut-être, les discussions de sociologues sont toutes plus floues les unes que les autres. Et moi, je h-a-î-s les abstractions - indéchiffrables, supputations - depuis toujours.
En raison d'émotions indicibles, je n'ai pas pu me tourner vers des objets d'étude concrets. Des situations IRL (in real life) m'en ont empêchées. Mais bon, on s'en fout. Je suis d'accord avec cette attitude. Venons-en donc au point.

D'après moi il y a des liens concrets à faire ne serait-ce qu'en biologie des émotions. Un certain scepticisme m'empêche d'accepter ces thèses tout de go. D'où le débat, entre autres, de savoir si oui ou non, sans supputer, on pourrait valider quelques uns de ces résultats, sur la base de comparaisons entre sujets de recherches définis à l'identique, sur d'autres continents, villes, régions. Le Hic, résultats de qui sur quoi ?

Protocoles de recherches en la matière, y'en a. Résultats, y'en a de toutes formes, des plus inacceptables aux plus flous, en passant par des projets et des recherches bien alignés sur le sujet assortis de conclusions (toujours incertaines, ce qui est louable de révéler). Résultats qui se contredisent les uns les autres.

Et après ?

Bin, ch'naille ! C'est vide d'intérêt. Comment ça ? Qu'on le dise en quoi, où, cela n'a pas d'intérêt ? pour qui ? Sans faire éclater des querelles sur les zones éclatées des sciences.
Je ne pose pas la question pour nous, ici, mais plutôt
Par voie de conséquence, quel serait l'intérêt de nourrir ce plateau de discussion d'interrogations risibles, car mal définies, mal articulées, faute de connaissances côté sciences pragmatiques, disons, etcetera. On en parle un peu ou on abandonne tout ? Et si tout le monde croit avoir dit ce qu'il y a à dire, ben voilà ? On change de sujet.
Cessons de nager, mettons cartes sur table, non ?

Pour ma part, j'aimerais bien poursuivre la discussion. J'ai l'impression que tout le monde en apprend, finalement. En revanche, je me joindrai au consensus du plus grand nombre, sans en faire de cas

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Marie


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 17:55 
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Euh sans moi ! J'ai piscine !

(j'éprouve des émotions incapacitantes en te lisant mariebernard, et les bras m'en tombent et je reste bouche bée). Désolé...


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 17:58 
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(....avec 2 croissants :mrgreen: )

Sinon, pour revenir dans le sujet, je viens de lire (wikipedia) qu'il y aurai un gène associé à la narcolepsie.

Marie,

de qui : Découverte du Pr Katsushi Tokunaga (université de Tokyo) et de son équipe, publiée dans la Revue Nature Genetics du 28 septembre 2008

de quoi : http://www.nature.com/ng/journal/v40/n1 ... g.231.html


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 18:31 
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Moi aussi, j'ai plage et colloques intensifs avec bière et bières dès demain. Et même si les sujets sur "le grand tout" m'intéressent au plus haut point, je répète ce que j'avais déjà exprimé sur un autre support:
<< Je ne connais rien du tout sur ce sujet chère Marie. Le seul truc que je peux commenter c'est le titre : "Biologie et Génétique anthropologique des émotions d'intensité invalidante (dans le règne animal)". Il y a ici une contradiction qui saute aux yeux : "génétique anthropologique"...oui, ok pourquoi pas. Mais alors cela rend inutile ou exclut la parenthèse "(dans le règne animal)" puisque le préfixe "anthropo" se réfère uniquement à l'espèce ou lignée humaine et exclut d'office tout le reste. >>


:D Si jamais, il existe plus de 200 entrées sur Pubmed rien qu'aux critères "Damasio + emotion", > 600'000 avec l'entrée "stress", et plus de 18'000 avec le seul critère "emotions". De quoi fouiner tout l'été, plein de perspectives de pistes plus ou moins intéressantes, de relations entre couches puantes au fin fond de la cervelle et émotions ou stress, relations faisant le va et vient entre couches profondes (donc puantes) et couches en surface vers l'avant (donc bronzées), à lire et décrypter.

Mais pas par moi, je suis bénévole ici, dilettante bien que chiant, et incapable de me concentrer plus de 15 minutes sur une page en hiver, moins de 12 minutes lors de canicules. Pour les BD, là je tiens > 30 minutes sans problème, sauf en cas de grand soleil.
Existe-t-il des BD en couleurs sur la cérébrologie et bioévolution du stress, avec des bulles et des personnages sympathiques, qui ne dépasse pas 44 planches en couleurs ? That is the question pour l'été, my dear. Si oui, je reviendrai faire un rapport circonstancié de mes lectures.

_________________
"Je veux qu'on me prenne pour un con car j'en suis un, qu'on me parle simplement pour que je capte bien car je suis idiot: si on me regarde et qu'on me parle sans égards, c'est déjà me considérer à peu près normal et pas uniquement comme un handicapé physique ou un déficient mental."


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 19:19 
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Marie a écrit:
Citation:
1) Pour les points sur les i, j'avais spécifié poliment, à mot couvert, que Curieux Brandy ne comprend probablement rien. Mauvaise approche au mauvais endroit ? Mais il m'a envoyé paitre, pour le dire moins bêtement, ici-même, dans ce forum. Hors sujet, justement, au sens où il continue avec ses attaques ad hominem.
2) Il a menti au sujet de son présumé grand-père
3) Le post suivant ? Exemple d'émotions invalidantes. Loupé ? 100%, 50% raté ?

Vous avez raison au point 1, je ne comprends quasiment rien à ce que vous écrivez. Tort au point 3: 100/100 de réussite à montrer que vous parliez de faits divers stressants... :D

Tort au point 2, dommage, car je n'ai pas menti sur mon pépé: il est Totonaque sur un message et ne l'est plus au suivant. Ce n'est contradictoire qu'en apparence, mais techniquement parfaitement possible et véridique. Aussi possible que ces autres individus n'ayant jamais eu de père mais ayant un grand-père.
Si vous êtes sage et que vous me promettez sur l'honneur de freiner avec les produits stupéfiants, je vous promets de vous expliquer ces 2 exemples de cas qui semblent en apparence si impossibles.

_________________
"« Et bien oui, nous sommes des sociobiologistes. C’est un titre d’honneur. Nous sommes ceux qui rajeuniront les sciences. Les sciences actuelles sont près de leur fin. Notre tâche est de les saccager. » "
(Citation effrayante de H. Rauschning


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 22:35 
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Rawbrol, merci pour tes infos.
Je viens de télécharger l'article du Pr de l'Université de Tokyo sous format pdf. (2008)
J'en conclue que si on démontre l'existence d'un lien entre les gènes X et Y pour la narcolepsie, il existe certainement un lien entre allèles à risque, ou gène(s) (lequel ou lesquels) reliés à la sérétononine, dopamine, endorphine cad avec les émotions de quelles que natures soient-elle.
Un grand pas en avant. Resterait à vulgariser intelligemment. Je ne suis pas certaine, soit-dit en passant, de la fiabilité de Wikipédia mais, chose acquise, les références exigées pour que les articles wiki parviennent en pages publiques sont fécondes.
Pour en revenir au sujet, il est quasiment impossible pour un sociologue ordinaire d'interpréter les résultats à partir de graphiques et abréviations du domaine médico-génétique. N'empêche, je me propose d'analyser le sujet de plus près. Pour rappel, si on relisait le but de cette discussion, on verrait où je voulais en venir, or bafoué par mon charmant et fidèle éclaireur, exquis compagnon de route, CB pour ne pas le nommer.
Citation:
Citation: Marie a dit
La raison de ce topic, en somme, est de recueillir des évaluations sur la capacité de l'humain de traiter les données de ce flux continu d'informations.
CB : Pfff, mais n'importe quoi !

Propos hors contexte dans la citation, en référence directe avec les excroissances des découvertes déployées à une rapidité fulgurante, notamment dans toutes les sphères de la biologie pour ne citer que cet exemple. Bref, est-il possible pour l'humain de tout assimiler, sans erreur d'interprétation, et de générer, sur ces bases somme toute discutables, des découvertes et un discours collants aux faits objectifs ou proches de la réalité ? Qui serviraient à qui et à quoi ? Manipulations génétiques probablement. Retour à la case Darwin, Spencer et plus encore. Et moi, je fonce direct sur Pubmed enrichie d'un éclairage revu à la hausse.

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Marie


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MessagePosté: 13 Juil 2015, 23:20 
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Marie Bernard de Lapalissade a écrit:
J'en conclue que si on démontre l'existence d'un lien entre les gènes X et Y pour la narcolepsie, il existe certainement un lien entre allèles à risque, ou gène(s) (lequel ou lesquels) reliés à la sérétononine, dopamine, endorphine cad avec les émotions de quelles que natures soient-elle.

Mme Sociogénétique (à la sérétononine près... ) étant donné que la plupart des neuromédiateurs et modulateurs endogènes, dont ceux que vous citez en malmenant la rédaction de certains, sont conçus à partir d'acides aminés ; étant donné que la séquence de ces derniers est codée par des gènes, vous pensez bien que le lien a été établi depuis longtemps entre gènes, acides aminés et toutes sortes de protéines et apparentés. Depuis plus de 50 ans il me semble.

J'admire votre intuition, dommage que votre conclusion vienne un peu tard.

Citation:
Un grand pas en avant.

Et dix de plus pour l'instruction publique.

Citation:
La raison de ce topic, en somme, est de recueillir des évaluations sur la capacité de l'humain de traiter les données de ce flux continu d'informations.

Moi qui croyais que vous ne vouliez plus parler de ça mais des liens possibles entre biologie et stress, émotions invalidantes, tout ça. Vous avez encore changé d'avis et vous avez raison, il n'y a que les imbéciles qui n'en changent jamais.

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MessagePosté: 14 Juil 2015, 00:23 
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Un allèle à risque est normalement une version de gène identifiée ou suspectée, associée à une maladie ou autre pépin. Tu es d'accord ? Mais avant même l'identification formelle ou suspicion de tel allèle, le lien entre allèle à risque et le pépin qui lui serait associé, existe déjà théoriquement puisque c'est dans la définition même de ce concept.
C'est comme si on parlait des ancêtres directs inconnus d'une lignée: le lien de filiation entre eux et leurs descendants est connu, même si on ne les a pas découverts. Ce lien est celui d'ancêtres à descendants, ce sont par définition les ancêtres.

Dans l'étude linkée plus haut, un ou des allèles de susceptibilité semblent avoir été identifiés pour la narcolepsie. Il y en eu des dizaines d'autres pour divers pépins et/ou substances nageant aussi dans le cerveau durant ces dernières décennies. Substances à leur tour liées de près ou de loin - implication parfois réfutée - à des fonctions/pépins psychiques, sexuels, de développement, etc. C'est le cas de beaucoup d'hormones.

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MessagePosté: 14 Juil 2015, 17:54 
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Ici Madame de Lapalissade,
Salut Monsieur de la Tourette,
Oui, je malmène très probablement terminologie, termes, concepts, idée directrices, sans le vouloir ni même m'en douter.
Tu peux me le signaler directo dans ton message, CB (CB = Curieux Brandy, point sur un i). Je ne m'offense jamais pour ces précisions sémantiques.
Oups ! Vous, je veux dire vous pouvez vous adresser à moi comme bon vous semble. Pas trop cinglant, par contre. Ça me déstabilise et embrouille mes circuits neuronaux, comme vous l'avez constaté. En revanche, j'apprécie vos pointes d'humour.

Aujourd'hui : je mets LSD et tantras au rancart pour vous aider à me comprendre :D

Bref, parlez-moi un peu de Abula et ne me tendez pas de pièges. Mais pas ici.
Je vous attends donc dans la série du Coq et de l'Âne

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Marie


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MessagePosté: 14 Juil 2015, 19:23 
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Je ne comprends pas très bien. Abula, qu'est-ce que cela ?

Ecoutez, svp n'utilisez pas ce fil pour donner RDV dans un autre fil. C'est inutile, je n'y interviendrai que si je le juge opportun ou que j'en ai envie. Si vous avez quelque chose à ajouter sur tel sujet, ou quelque chose à dire à quelqu'un en particulier, écrivez votre message en commençant par ceci par exemple: Pour Curieux Brandy , @Curieux Brandy etc.
ou sous une autre forme mais dans le fil approprié. Veuillez svp au moins respecter les sujets de discussions. Les intervenants intéressés prendront tôt ou tard connaissance de votre message, puisque les derniers messages sont en tête de liste, en haut de page.

Si vous n'avez rien à ajouter sur ce thème-ci, là où je vous écris en ce moment, ce n'est pas bien grave il restera en l'état, mais ne comptez pas trop sur les gens pour le remplir car votre sujet plus que flou ne semble pas inspirer grand monde pour l'instant, période de vacances, tout ça.

Pour ce qui me concerne, je ne comprends toujours pas ce que vous cherchez à comprendre dans ce fil. Est-ce peut-être la physiologie de tel comportement et émotion ? Ouffff. Si oui, c'est vers une bonne librairie spécialisée en neurosciences ou mieux neurologie qu'il faudrait vous orienter, avec la haute probabilité que vous n'y trouverez rien de consistant.
Et toujours pour ce qui me concerne, la simple lecture de ce triple pléonasme "J'en conclue que si on démontre l'existence d'un lien entre les gènes X et Y pour la narcolepsie, il existe certainement un lien entre allèles à risque, ou gène(s) (lequel ou lesquels) reliés à la sérétononine, dopamine, endorphine cad avec les émotions de quelles que natures soient-elle." m'invite à laisser béton. Inutile de poursuivre.

Mais je suivrai avec attention les discussions, question de vérifier si oui ou non j'avais tout faux sur votre compte. A mes yeux vous êtes un boulet irrécupérable, mais j'ai peut-être tort. Comprenez-moi bien: il faut de tout pour faire un monde et vous avez toute votre place dans ce forum, les places sont libres et il est à votre disposition. Mais personne n'a nulle obligation de vous distraire. Moi de même: en période estivale, comptez sur moi pour une douche froide quotidienne. Hygiénique, et ça fait du bien.

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MessagePosté: 14 Juil 2015, 21:12 
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Citation:
Curieux Brandy a écrit
Pour ce qui me concerne, je ne comprends toujours pas ce que vous cherchez à comprendre dans ce fil. Est-ce peut-être la physiologie de tel comportement et émotion ? Ouffff.

Bien dit.
Au début, je croyais savoir ce que je cherchais à comprendre. Est-venu un moment, à force de me faire allonger des gifles à toute volée, et de chercher les mots appropriés pour le dire, quelque uns sont venus à mon secours avec des questions précises contenant du vocabulaire dont j'ignorais l'existence ou la signification.
Le triple pléonasme que j'ai indignement commis, démontre au moins l'authenticité de mes dires : je ne m'y connais pas en génétique.

À la lumière de vos informations, les votres, celles de Rawbrol et celles Paracosboy, je commence à pouvoir décrire avec davantage de clarté l'objet exact et serré de ce fil de discussion. Rien de moins certain cependant.

Face aux chasses-gardées et à la circulation des connaissances en vase clos, comment exprimer correctement ce qu'on ne sait pas. C'est comme poser une question à un professeur. Quoi poser comme question si l'objet de l'enseignement, disons l'épistémologie génétique de Piaget, est inconnu au début et ne sera compris que lorsque l'entourage comprendra que l'incompris ne peut pas se formuler. Puisqu'il manque à l'élève les mots pour le dire.

SVP, soyez encore patient quelques secondes.
Je m'intéresse à la sociobiologie. Je suis sociologue. Le père de la sociobiologie est un biologiste myrmécologue aux ambitions scientifiques louables (je reste sceptique), mais à mon sens utopiques. Il veut intégrer la sociologie, l'anthropologie, la philosophie morale, l'épistémologie dans l'univers de la biologie stricto sensu. Le cursus théorique peut séduire. Mais en pratique ?

Bref, me voici dans un forum où je cherche à établir un dialogue, une certaine dialectique avec les intervenants intéressés par un sujet vague et flou par manque de connaissances de la personne qui ouvre le débat. Oui, je suis résolument le maillon faible de ce petit groupe. J'abandonne ou je continue ?

Ne pas oublier aussi que m'exprime, parle, rédige, envoie des demandes de de bourses aux gouvernements comme le sociologue le plus digne des sociologues : c'est-à-dire vaporeux, alambiqué, haut perché dans les stratosphères de l'inaccessible, l'incompréhensible pour le reste du monde.

Je poserais donc la question suivante aux sociobiologistes imbus de la sociobiologie, à un poil de la majorité absolue biologistes pure laine, neurobiologistes, biologistes de l'évolution, etcetera. Que fait-on lorsque les têtes fortes des sciences comme la biologie génétique, la neurologie du cerveau, la biologie moléculaire, pour ne citer que trois exemples, imposent, à raison, une précision élémentaire dans la formulation, disons, d'un protocole de recherche bio-psycho-social ?

Je sens la moutarde vous monter au nez.
Moi, elle me monte à la tête.

Je parle de quoi au juste : sociogénétique des émotions intenses dans les comportements sociaux des espèce en évolution :lol: :lol: :lol:
Je ne peux guère en dire davantage.
Je récidive, je me lance dans des conjectures incroyables, je reviens ici encore et encore On me lance à la figure : Mais donnez-nous de la viande, un argumentaire pour Homo Scientificus ! Qu'entendez-vous par là Madame de Lapalissade ? Pouvez vous répéter le sujet de notre protocole de recherche scientifique ? Que voulez-vous savoir au juste.

Monsieur de la Tourette, que j'apprécie de plus en plus, comment y arriver sans collaboration entre scientifiques, incluant ceux de la plus basse-extraction sociologues, psychosociologues, biosociologues ? On me propose l'arrêt immédiat, halte-là.
Rocamboles, culbutes dialetiques incohérentes, tout cela ressemble à un vaudeville cauchemardesque.
Rejetons le scénario sans plus d'égard.

Merci de m'avoir lue
Bien à vous

Elle
Maillon faible ici, chaînon manquant là

Il se peut que je reste totalement droguée, en dépertition, illisible, incomprise de vous, digne d'un troll hors catégorie même si ça vous désole de le dire. Ce serait quoi pour conclure ?

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Marie


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MessagePosté: 15 Juil 2015, 01:39 
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Trop théâtral et emphatique pour mon goût. A se demander si votre thèse de doctorante n'était pas un travail pour la Commedia dell'arte.

Citation:
Ne pas oublier aussi que je m'exprime, parle, rédige, envoie des demandes de de bourses aux gouvernements comme le sociologue le plus digne des sociologues : c'est-à-dire vaporeux, alambiqué, haut perché dans les stratosphères de l'inaccessible, l'incompréhensible pour le reste du monde.

Dites Marie, la sociologie est peut-être un peu "vaporeuse et alambiquée", je n'en doute pas puisque vous le dites, mais les nombreuses thèses et mémoires de sociologie lisibles sur le net sont tout de même structurées et pas indéchiffrables du tout; ne correspondent pas à la description que vous en faites.
Pour lire de nombreuses thèses de sociologie in extenso: http://socio.umontreal.ca/recherche/theses-memoires/
Un exemple, la première de la liste: https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/ ... 1866/12004
C'est chiant, oui très. Mais comme tout travail scientifique ou social un peu développé. Ces nombreuses thèses de sociologie pourront difficilement être plus chiantes que les publications de génétique. En tous les cas cela ne me semble pas perché dans les stratosphères de l'inaccessible... comme vous dites si mal.

Je me demande d'ailleurs pour quelle raison vous forcez ainsi les traits de cette discipline, la sociologie.

Citation:
Je poserais donc la question suivante aux sociobiologistes imbus de la sociobiologie, à un poil de la majorité absolue biologistes pure laine, neurobiologistes, biologistes de l'évolution, etcetera. Que fait-on lorsque les têtes fortes des sciences comme la biologie génétique, la neurologie du cerveau, la biologie moléculaire, pour ne citer que trois exemples, imposent, à raison, une précision élémentaire dans la formulation, disons, d'un protocole de recherche bio-psycho-social ?

De nouveau, vous compliquez tellement vos questions, les agrémentez de tant de spirales inutiles, que j'y capte que pouic.

Mais si - sans traduction de vos hiéroglyphes car je n'ai pas les moyens de me payer un interprète - ce que vous voulez dire est quelque peu que la sociobiologie est peu efficace pour rendre bien compte des enjeux et des rouages des sociétés humaines ou animales en général, je suis assez d'accord. La sociologie en rend mieux compte pour les sociétés humaines, c'est sa spécificité. Même si faillible, qui ne l'est pas, la sociologie peut le faire moins grossièrement que la sociobiologie et ses quelques outils liés sine qua non à des enjeux d'adaptation et de sélection simplifiés.

Et puisque la sociologie est justement votre spécialité, pourquoi ne pas consacrer votre temps à formuler les bonnes questions sur la sociologie, pour les sociologues, sur les points de détail qui vous chagrinent le plus ? :beer:

Citation:
À la lumière de vos informations, les votres, celles de Rawbrol et celles Paracosboy, je commence à pouvoir décrire avec davantage de clarté l'objet exact et serré de ce fil de discussion. Rien de moins certain cependant.

Une certitude néanmoins: demain, vous reformulerez encore vos problématiques et repartirez sur autre chose, qui ne sera pas plus clair...

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 Sujet du message: Discours de qui sur quoi
MessagePosté: 15 Juil 2015, 02:41 
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@ Curieux Brandy

Je ne sais que trop bien où trouver des thèses de sociologie en ligne puisque mon mémoire et ma thèse s'y trouvent
justement ainsi que les références sur WorldCat. On peut en trouver bien d'autres aussi à l'université Laval, à l'Uquam, à McGill.

Ce que je trouve désagréable au plus haut point, en somme, ce sont les guerres de clochers, les interdits implicites dans les choix de cours et la difficulté déprimante de se faire piloter par un directeur de thèse dans les deux seules universités de langue française à Montréal ; ils n'ont jamais touché à des livres, de psychiatrie entre autres, aucune idée des apports que la sociologie pourrait offrir aux sciences médicales. Et donc, ne peuvent pas orienter convenablement leurs étudiants. Il y avait zéro sociologue (en 1994-1996) en post doctorat dans le centre de recherches psychosociales au centre hospitalier universitaire de psychiatrie Douglas - le mieux coté en termes de renommée internationale de la plupart des psychiatres qui s'investissent à cet endroit. Le Chef du centre de recherche m'a sommée, sans exagération, d'assortir mon nom du Dre ... sinon, je ne serai jamais crédible ni même intéressante. Pas mon nom suivi de Ph.D., non, précédé de Dre.

J'ai étudié aux niveaux Baccalauréat, Maitrise, Doctorat et post-doctorat sur le sujet qui me passionne depuis toujours.
La question de l'inceste commis en milieux bourgeois, plus précisément la contrainte à l'inceste par le père biologique, durant plus de 5 ans, sur un ou plusieurs de ses enfants biologiques. Je sais que la question du statut biologique de la relation père-fille, etc, comporte des effets plutôt délétères dans l'esprit des garçons où l'inceste a été commis sur l'une de ses soeurs.

Je peux énoncer clairement ce que je comprends clairement : les répercussions des facteurs sociaux en jeu (situés et datés) avec aplomb, crédibilité et, comment dire, humilité (exclusivement commis par le père biologique sur une seulement de ses filles biologiques)
Mais j'ignore complètement comment apaiser les esprits tourmentés des victimes voire du père sur les questions d'ordre génétique, héréditaire, etcetera. Je ne m'y connais pas dutout. Je ne sais pas comment présenter ce sujet clairement à neurobiologiste, biologiste, généticien.

Qui plus est, je n'ai pas confiance aux réactions des scientifiques sur cette problématique. D'ou mes bafouillages, je n'ose même pas nommer les choses par leur nom de peur de recevoir des arguments assez autoritaires, des lieux communs insupportables, préjugés, conseils d'un genre que vous connaissez très bien : Mais, c'est n'importe quoi, pffffff
D'où mes échecs à répétition dans ce fil de discussion.

Je n'ai touché à rien de cela, aucune lecture, rien depuis plus de vingt ans. D'où, encore une fois, une perte de structure dans mes propos

@ Curieux Brandy
:chef: Je crois avoir été claire, finalement.
Par contre, votre certitude s'est, à vos yeux, probablement confirmée : j'aurais, selon votre perception, encore une fois dévié du sujet, encore une fois changé de piste.
En dépit de nos certitudes respectives assez contradictoires, à première vue, j'ajoute malgré tout, vous serez peut-être enfin en accord avec mon dernier point :roll: :shock: :hein:
Même si, selon
Citation:
l'enseignement éclairé de Boileau :
ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément (1674)
Il se trouve des zones tabous et parsemées d'interdits où ce n'est vraiment aisé de s'exprimer ni clairement ni franchement.

:beer:

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Marie


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MessagePosté: 15 Juil 2015, 10:39 
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Marie a écrit:
Mais j'ignore complètement comment apaiser les esprits tourmentés des victimes voire du père sur les questions d'ordre génétique, héréditaire, etcetera. Je ne m'y connais pas du tout. Je ne sais pas comment présenter ce sujet clairement à neurobiologiste, biologiste, généticien.

Attendez: a qui voudriez-vous apaiser l'esprit tourmenté sur les questions d'hérédité:
- aux pères/mères incestueux?
- aux victimes ?
- aux neurobiologistes, généticiens, etc. ?
:evil: Nom de dieu de bordel de saloperie de merde ! Voulez-vous pour une fois dans votre putain de vie écrire de manière déchiffrable ?

Marie a écrit:
Je sais que la question du statut biologique de la relation père-fille, etc, comporte des effets plutôt délétères dans l'esprit des garçons où l'inceste a été commis sur l'une de ses soeurs.

Mais enfin, c'est quoi un statut biologique de relation père-fille ?

Marie a écrit:
En dépit de nos certitudes respectives assez contradictoires, à première vue, j'ajoute malgré tout, vous serez peut-être enfin en accord avec mon dernier point: même si "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément", il se trouve des zones tabous et parsemées d'interdits où ce n'est vraiment aisé de s'exprimer ni clairement ni franchement.

:evil: Je suis bien évidemment d'accord avec la maxime en italique, mais je ne vois pas de quelles zones taboues vous parlez. Et puisque la partie (en gras) suivant cette maxime est l'affirmation sur laquelle je devrais selon vous être d'accord, je ne peux ni confirmer ni infirmer mon accord avec elle tant que je ne sais pas de quoi vous parlez plus précisément.

Je peux bien imaginer des choses taboues (*), mais vos propositions ne sont pas nécessairement claires pour tout le monde madame, c'est mon cas: je ne les comprends pas toutes et n'ai pas envie de consacrer des heures en déchiffrage et décodage.

(*) voyons voir: dévorer de petits bébés mijotés à la sauce bolognaise, ça pourrait être tabou ? Oui, mais on peut en parler clairement donc ce ne doit pas être ça.
Voyons voir: la désactivation à la mort aux rats des belles-mères envahissantes ? Oui cela pourrait être tabou puisque c'est un meurtre et donc interdit... mais on peut en parler clairement.
Voyons voir: enculer à sec sa propre fille impubère 40 fois par jour ? Oui cela pourrait être tabou puisque ce sont des crimes, des viols répétés... mais on peut en parler clairement.

Non, décidément, je ne vois pas de quelles zones taboues parsemées d'interdits on ne pourrait pas parler clairement.

Le lyrisme dans les discussions à la place de propositions claires, décidément ce n'est pas mon truc. Aussi, je vous souhaite une très bonne continuation.

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MessagePosté: 15 Juil 2015, 18:58 
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Zones taboues = Qu'il serait malséant d'évoquer, en vertu des convenances sociales ou morales : Un sujet tabou.
Pour le dire à ceux qui peinent à faire les liens appropriés : Inceste = tabou, monsieur Tonkikinou
Généticiens, biologistes, neurologues auraient l'esprit tourmenté au sujet de l'inceste ! :fr: Wouaouw, c'est à se demander si vous savez lire.
Vous nous étonnez encore et encore. Bof, pas tant que ça finalement. Je vois, oui, un pépin de circuit neuronal, malheureusement, la science n'en est pas encore rendue là, ni pour la médication ni pour les manipulations génétiques au cerveau. Il reste la lobotomie ou les électrochocs, votre choix, très cher.

Vous ne comprenez toujours pas, non ?
Décidément, vos raisonnements dépourvus de viande deviennent de plus en plus rigolos, à se tordre. :dingue: :dingue:

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Marie


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MessagePosté: 15 Juil 2015, 19:36 
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Vous êtes vraiment impayable. Je vous ai cité l'exemple de l'inceste comme possibilité de tabou, parmi 3 autres exemples (dévorer les enfants, etc.)... mais qu'est-ce qui vous empêche d'en parler clairement et franchement ici ou à d'autres ?
Car c'est cela mon interrogation: comprendre vos propos.

Relisons votre proposition :
Citation:
Mais j'ignore complètement comment apaiser les esprits tourmentés des victimes voire du père sur les questions d'ordre génétique, héréditaire, etcetera. Je ne m'y connais pas du tout. Je ne sais pas comment présenter ce sujet clairement à neurobiologiste, biologiste, généticien.

Je vous repose donc la question: pourquoi cette proposition si bizarre ? Je ne vois pas pour quelle raison vous ne pourriez en parler clairement. Quel sujet voulez-vous présenter à des biologistes, et quelle est donc la difficulté qui vous tracasse, qui vous empêcherait d'en parler clairement ? Que l'inceste soit "tabou" ? L'hérédité de l'inceste ?
Si ce n'est pas envers les biologistes, que vouliez-vous leur dire puisqu'ils sont dans la phrase où vous parlez de difficulté à leur en parler avec clarté ? :fr:
Citation:
Généticiens, biologistes, neurologues auraient l'esprit tourmenté au sujet de l'inceste !
Je n'ai pas dit cela, c'est vous qui tentez de me le faire dire, raté. Mais votre phrase est celle-ci: << Je ne sais pas comment présenter ce sujet clairement à neurobiologiste, biologiste, généticien >>
De quel sujet parlez-vous si ce n'est pas de l'inceste ou de l'hérédité de l'inceste ?

_________________
"« Et bien oui, nous sommes des sociobiologistes. C’est un titre d’honneur. Nous sommes ceux qui rajeuniront les sciences. Les sciences actuelles sont près de leur fin. Notre tâche est de les saccager. » "
(Citation effrayante de H. Rauschning


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MessagePosté: 15 Juil 2015, 20:11 
Défioliant
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Oui alors c'est fatigant tous ces quiproquos et ces évasives.
Quand une personne se moque d'une autre parce qu'elle ne comprend pas ses messages, elle se fiche en fait de tous ceux qui ne les comprennent pas. Le moindre des égards serait d'expliquer mieux ou différemment les points en question, si la personne mal-comprenante les a signalés.

:D Moi non plus, je ne comprends pas tes interventions, Marie, bourrées d bizarreries. Et moi non plus je ne sais pas ce que signifie "statut biologique de relation père-fille". Mais ce concept m'intéresse bien évidemment. Ce serait très aimable de l'expliquer.

_________________
"Je veux qu'on me prenne pour un con car j'en suis un, qu'on me parle simplement pour que je capte bien car je suis idiot: si on me regarde et qu'on me parle sans égards, c'est déjà me considérer à peu près normal et pas uniquement comme un handicapé physique ou un déficient mental."


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MessagePosté: 15 Juil 2015, 21:18 
Yes Sir ! Sir !
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Inscription: 29 Juin 2015, 22:26
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Je ne comprends pas ce que vous ne comprenez pas. Je vous le dis très sincèrement.
Je sais pourquoi cela se produit ici entre nous. Mais là n'est pas le sujet de la discussion.


Voici ma problématique exposée en style télégraphique. Ni théâtral ni lyrique ni abscons.

Préalable - Évidemment s'il s'agit d'un profane en matière d'inceste et de tabous, inconscient des menaces et de la violence meurtrière dans les familles bourgeoises où se déroule l'inceste, le texte peut paraitre totalement abscons.

Premier volet. Éléments sociaux, historiques et culturel très documentés.

Pour qui n'a n'est pas familier avec la démarche documentaire portant sur l'inceste, en l'occurrence :
1) Le code pénal en matière d'infractions sexuelles
2) La nature des sanctions pénale pour les crimes d'ordre sexuel (14 coups de fouets et 14 ans d'emprisonnement ferme au Canada jusque au moins jusque dans les années 1960 pour l'inceste)
3) Sur les mineurs
4) Au statut particulier de l'inceste biologique tel que définit en droit pénal
5) La force d'impact de l'autorité juridique dans le développement du jugement moral, dans la mémoire et dans l'esprit collectif (Piaget est fort éloquent à ce sujet)
6) L'aspect peut-être génétique (je l'ignore) de la tendance au lynchage (inceste = père à lyncher) qui se manifeste diversement selon les sociétés.
7) Du statut social de la personne de sexe féminin selon les sociétés et les âges


Deuxième volet.
Pour qui s'entête à fermer les yeux sur l'existence de tabous, par définition sociaux,
Pour qui refuse d'admettre la différence entre biologique et non biologique (ex, abus sexuels intra familiaux sans lien biologique)
pour ceux qui ignorent les faits tels que, entre autre, une grossesse de la fille incestuée provoquée par son père biologique

Pour qui ignore tout des sanctions sociales qui s'abattent sur ces familles
Pour qui ignore tout des paradoxes insolubles déclenchés dans l'esprit des enfants par rapport à la nature des l'amour filial, prescrit ou non, (instinct, oui, non ? Elisabeth Badinter l'estime culturel mais elle n'est pas majoritaire )qui débouchent le plus souvent sur l'a-moralité destructive
Pour qui ignore et/ou refuse d'accepter les facteurs iatrogènes, exogènes associés à l'inceste biologique

Difficultés périphériques.
On parle de ce sujet dans un forum
entre inconnus
dans un environnement auquel un nouvel arrivant ne s'attend pas
durant une période d'adaptation intense aux us et coutumes de la place
avec des individus autoritaires, d'apparence informée côté biologie, évolution de l'espèce, neurologie
avec une personne qui se déclare sociologue
probablement intimidée par tout ce monde au verbe autoritaire
consciente de la prévalence de l'opinion scientifique négative
en général sur la sociologie De quoi intimider le néophyte, il faut le voir et l'admettre, sans subterfuge, sinon on avancera jamais à rien.

Pire :
La discussion ne se déroule pas du tout mais pas du tout dans un milieu aseptisé, à l'écoute rigoureuse, ouverte sur le monde, comme dans un centre de recherche d'un centre hospitalier universitaire, par exemple, là ou on peut parler librement des sujets de recherches de tous genres sans aucune gêne.
Évidemment on peut y poser tous les projets, protocoles sans embarras
SAUF
si on est sociologue

Et finalement :
Quel serait le but d'une discussion sur ce thème chez rationalisme.org : déverser le trop plein de fiel à-la-va-comme-je-te-viens à propos de tout et de rien ?
Dans le but de trouver quelques solutions favorables à l'humanité et au transfert des connaissances.
Vouloir apaiser les tourments humains en meilleure connaissance de cause. Produire des avis éclairés en cour criminelle. L'esprit étant de ne pas nuire.

_________________
Marie


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MessagePosté: 15 Juil 2015, 21:27 
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Inscription: 25 Jan 2005, 00:24
Messages: 7403
Aucune réponse aux questions posées précédemment. :shock:
Dis voir Marie, avant de continuer: est-ce vraiment l'INCESTE qui est puni au Canada, ou plutôt le viol, l'abus, les attouchements etc. , sur mineurs, en cas de relations sexuelles d'un paternel sur ses propres enfants mineurs ?
Citation:
4) Au statut particulier de l'inceste biologique tel que définit en droit pénal
C'est ce point qui m'intéresse pour le Canada et/ou Québec, je suppose que ce sont les mêmes lois pénales. As-tu des liens vers le statut pénal précis, sur ce point-là ?
J'ai trouvé les articles de loi en question: http://aivi.org/vous-informer/justice/l ... ceste.html
Ca ne répond toujours pas à la question l'inceste biologique c koi ? L'inceste consanguin ?

:D Ne te fais pas de film, et ne le projette pas sur les autres stp. Ici tu peux parler de tout Marie, sans aucun problème.

_________________
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MessagePosté: 15 Juil 2015, 21:37 
Yes Sir ! Sir !
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Inscription: 29 Juin 2015, 22:26
Messages: 366
Pauvre dialogue de sourds.

Citation:
Attendez: a qui voudriez-vous apaiser l'esprit tourmenté sur les questions d'hérédité:
- aux pères/mères incestueux?
- aux victimes ?
- aux neurobiologistes, généticiens, etc. ?

Citation:
Trop comique :fr:
Citation:
Citation:
Généticiens, biologistes, neurologues auraient l'esprit tourmenté au sujet de l'inceste !
Curieux relance

Je n'ai pas dit cela, c'est vous qui tentez de me le faire dire, raté. Mais votre phrase est celle-ci: << Je ne sais pas comment présenter ce sujet clairement à neurobiologiste, biologiste, généticien >>
De quel sujet parlez-vous si ce n'est pas de l'inceste ou de l'hérédité de l'inceste ?


Qui l'a dit ? Son autre moi, sa seconde personnalité. Ah bon, et parmi combien d'autre ?

Une comédie impayable :fr: :fr:

Conclusion :Incompatibilité des savoirs. L'incommensurable

Archie Cash, s'il-te-plait, qui de Popper, Lakatos, Feyerabend, Kuhn, expose son principe de l'incommensurable facon si éloquente, ex. psychanalyse versus science exactes ?. Je ne me souviens plus qui exactement.

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Marie


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