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Curieux Brandy a écrit
Pour ce qui me concerne, je ne comprends toujours pas ce que vous cherchez à comprendre dans ce fil. Est-ce peut-être la physiologie de tel comportement et émotion ? Ouffff.
Bien dit.
Au début, je croyais savoir ce que je cherchais à comprendre. Est-venu un moment, à force de me faire allonger des gifles à toute volée, et de chercher les mots appropriés pour le dire, quelque uns sont venus à mon secours avec des questions précises contenant du vocabulaire dont j'ignorais l'existence ou la signification.
Le triple pléonasme que j'ai indignement commis, démontre au moins l'authenticité de mes dires : je ne m'y connais pas en génétique.
À la lumière de vos informations, les votres, celles de Rawbrol et celles Paracosboy, je commence à pouvoir décrire avec davantage de clarté l'objet exact et serré de ce fil de discussion. Rien de moins certain cependant.
Face aux chasses-gardées et à la circulation des connaissances en vase clos, comment exprimer correctement ce qu'on ne sait pas. C'est comme poser une question à un professeur. Quoi poser comme question si l'objet de l'enseignement, disons l'épistémologie génétique de Piaget, est inconnu au début et ne sera compris que lorsque l'entourage comprendra que l'incompris ne peut pas se formuler. Puisqu'il manque à l'élève les mots pour le dire.
SVP, soyez encore patient quelques secondes.
Je m'intéresse à la sociobiologie. Je suis sociologue. Le père de la sociobiologie est un biologiste myrmécologue aux ambitions scientifiques louables (je reste sceptique), mais à mon sens utopiques. Il veut intégrer la sociologie, l'anthropologie, la philosophie morale, l'épistémologie dans l'univers de la biologie stricto sensu. Le cursus théorique peut séduire. Mais en pratique ?
Bref, me voici dans un forum où je cherche à établir un dialogue, une certaine dialectique avec les intervenants intéressés par un sujet vague et flou par manque de connaissances de la personne qui ouvre le débat. Oui, je suis résolument le maillon faible de ce petit groupe. J'abandonne ou je continue ?
Ne pas oublier aussi que m'exprime, parle, rédige, envoie des demandes de de bourses aux gouvernements comme le sociologue le plus digne des sociologues : c'est-à-dire vaporeux, alambiqué, haut perché dans les stratosphères de l'inaccessible, l'incompréhensible pour le reste du monde.
Je poserais donc la question suivante aux sociobiologistes imbus de la sociobiologie, à un poil de la majorité absolue biologistes pure laine, neurobiologistes, biologistes de l'évolution, etcetera. Que fait-on lorsque les têtes fortes des sciences comme la biologie génétique, la neurologie du cerveau, la biologie moléculaire, pour ne citer que trois exemples, imposent, à raison, une précision élémentaire dans la formulation, disons, d'un protocole de recherche bio-psycho-social ?
Je sens la moutarde vous monter au nez.
Moi, elle me monte à la tête.
Je parle de quoi au juste : sociogénétique des émotions intenses dans les comportements sociaux des espèce en évolution
Je ne peux guère en dire davantage.
Je récidive, je me lance dans des conjectures incroyables, je reviens ici encore et encore On me lance à la figure : Mais donnez-nous de la viande, un argumentaire pour Homo Scientificus ! Qu'entendez-vous par là Madame de Lapalissade ? Pouvez vous répéter le sujet de notre protocole de recherche scientifique ? Que voulez-vous savoir au juste.
Monsieur de la Tourette, que j'apprécie de plus en plus, comment y arriver sans collaboration entre scientifiques, incluant ceux de la plus basse-extraction sociologues, psychosociologues, biosociologues ? On me propose l'arrêt immédiat, halte-là.
Rocamboles, culbutes dialetiques incohérentes, tout cela ressemble à un vaudeville cauchemardesque.
Rejetons le scénario sans plus d'égard.
Merci de m'avoir lue
Bien à vous
Elle
Maillon faible ici, chaînon manquant là
Il se peut que je reste totalement droguée, en dépertition, illisible, incomprise de vous,
digne d'un troll hors catégorie même si ça vous désole de le dire. Ce serait quoi pour conclure ?