8)
Un type marié revient d'un voyage d'affaires en Chine où il a pris du bon temps avec quelques jolis yeux bridés....
Seulement, quand il revient, il se rend compte que son sexe est tout vert.
Il cache d'abord la chose à sa femme tant bien que mal et s'en va voir un docteur :
- Ha ha... On a été en Chine, cher ami ?
- Ben oui !
- Et on a fait des bêtises avec les petites chinoises ?!?
- Ben... oui !
- Humm.... c'est très grave, vous savez !?!
Malheureusement, aujourd'hui, la science ne peut rien faire pour ça. Je crains fort qu'il faille songer à vous amputer. Le gars n'en croit pas ses oreilles !
Il décide donc de consulter un deuxième médecin qui, malheureusement, lui confirme le diagnostic.
Le mec est complètement déprimé et va voir un urologue de renommée mondiale qui, lui aussi, confirme le diagnostic.
Il finit par avouer ses escapades à sa femme qui, après une bonne engueulade, lui conseille d'aller voir un médecin Chinois directement sur place, en Chine.
- Après tout, ils sont sûrement familiers avec cette infection !
Le gars retourne donc en Chine et prend rendez-vous avec un médecin réputé. En l'examinant, le médecin Chinois ricane et dit :
- Hi hi ! Vous venu en Chine lécemment ?
Ben... oui !
- Et vous faire des bêtises avec pitites sinoises
- Ben... voui !
- Et vous allé voil docteul amelicain
- Ben... oui !
- Et docteul amélicain a dit fallait couper ?
- Ben... oui !
- Eh bien, non ! Pas besoin couper ! Hi hi hi !
Le type n'en croit pas ses oreilles ! Il est fou de joie. C'est alors que le médecin Chinois précise : - Non, docteul amélicain, nul ! Pas besoin couper.. va tomber tout seul.
10)
Blonde et l'hiver
Une blonde prenait le café du matin en écoutant les prévisions météo à la radio. «Il tombera 20 cm de neige aujourd'hui. Pour faciliter le déblaiement des rues, on demande aux gens de stationner leur
véhicule du côté de la rue avec les numéros civiques impairs.» «Bon ben, j'vais faire ça de suite avant qu'il y ait trop d'neige.» se dit la blonde. Puis elle s'habille chaudement et va stationner sa voiture du côté de la rue avec
les numéros civiques impairs, tel que demandé.
Deux jours plus tard, on annonce encore de la neige à la radio: «Il tombera 30 cm de neige aujourd'hui. Pour faciliter le déblaiement des rues, on demande aux gens de stationner
leur véhicule du côté de la rue avec les numéros civiques pairs.» Ce matin-là encore, la blonde s'habille chaudement et va stationner sa voiture
du côté de la rue avec les numéros civiques pairs, tel que demandé.
Quelques jours plus tard, on annonce encore de la neige à la radio: «Il tombera 25 cm de neige aujourd'hui. Pour faciliter le déblaiement des rues, on demande aux gens de stationner
leur véhicule du côté de la rue.....» Et à ce moment là il y a une panne d'électricité. La blonde se demande: «Stationner où ? Comment on va faire pour savoir ? J'ai pas envie d'payer
une amende parce qu'on n'a pas stationné du bon côté de la rue!»
Alors elle se dit:
«Ben qu'ils mangent d'la m.... avec leurs changements de côté.
Aujourd'hui je laisse l'auto dans le garage!
10)
Un camionneur s'arrête à un feu rouge, une blonde le rattrape. Elle sort de son auto en courant vers le camion et frappe sur la porte. Le camionneur descend sa vitre et elle lui dit :
Bonjour, mon nom est Lyne et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison." Le camionneur l'ignore et continue sa route.
Quand le camion s'arrête à un autre feu rouge, elle le rattrape encore une fois. Elle descend en courant de son auto et court au camion. Elle frappe sur la porte.
Le camionneur redescend encore une fois sa vitre.
Elle lui dit comme si elle ne lui avait jamais parlé: "Bonjour, je suis Lyne et je veux vous dire que vous perdez votre cargaison."
Branlant la tête, le camionneur l'ignore encore une fois et continue sa route.
Au feu rouge suivant, il s'arrête mais cette fois-ci il se dépêche, sort de son camion et court à l'auto de la blonde. Il frappe sur sa vitre qu'elle descend et il lui dit, exaspéré :
Bonjour, je suis Michel, c'est l'hiver au Québec et je conduis un CAMION DE SEL, tabarnak!!!
11) Deux hommes sont à la pêche sur glace à leur trou de pêche favori, Ils pêchent tranquillement en buvant leur bière....
Presque silencieusement, afin de ne pas effrayer le poisson, Bob dit : ''Je pense que je vais divorcer d'avec ma femme, elle ne m'a pas parlé depuis plus de 2 mois''.
Son compagnon continue lentement à boire sa bière à petits coups et dit alors pensivement : "Penses-y bien; des femmes comme ça, c'est dur à trouver.
12)Un contrat c'est un contrat !
Spécialement dédié aux vieux couples....
Après plus d'un demi-siècle de mariage, Lui meurt. Quelque temps plus tard, Elle aussi et s'en va au ciel.....
Au ciel elle retrouve son mari et court vers lui en lui disant : Mon chériiiiii, que c'est bon de te revoir !!!!!
Et lui répond : Viens pas me faire chier, le Curé a été très clair, il a dit: jusqu'à ce que la mort nous sépare !!!!!
13)Un homme regarde un match de hockey avec sa femme et c'est évidemment lui qui a la manette.
Il passe son temps à alterner entre un match de hockey et un film dans lequel deux amants ont des échanges torrides et s'embrassent à qui mieux mieux . Tout le tralala en fait.
" Je ne sais vraiment pas quoi écouter : le hockey ou le film ! " dit le mari
" Pour l'amour du bon Dieu, lui répond sa femme, regarde le film...
Tu sais déjà jouer au hockey. "
Oup-pelaille !
14)Déclaration d'accident de travail par un Québécois
Lorsqu'on fait une déclaration d'accident de travail, il est important de décrire précisément la façon dont l'accident s'est produit. Le travailleur qui a produit la déclaration qui suit l'avait bien compris... Son travail consistait à descendre du toit d'un édifice de deux étages un surplus de briques qui était resté sur le toit. Voici comment il décrit ce qui s'est passé :
J'pensais sauver du temps. J'ai fixé un madrier avec une poulie en haut de la bâtisse et j'ai passé une corde dans la poulie avec les deux bouttes qui descendent jusqu'à terre. J'ai attaché un baril vide au boutte de la corde, pis j'lé monté en haut de la bâtisse. Ensuite j'attache l'autre boutte de la corde à un arbre. La j'monte sul toit, pis j'remplis l'baril de briques. Ensuite je r'tourne en bas pis j'viens pour détacher la corde pour faire descendre le crisse de baril. Mais le tabarnac de baril est ben que trop pesant pour moué et avant que je réalise quoi que ce soit, hostie, le baril me monte en l'air yenque d'une chote. La chu trop haut pour lâcher la corde j'avais pas le choix, j'ai tenu la corde en hostie. À moitié chmin j'recontre le crisse de baril qui descendait. J'ai reçu un calvaire de coup sur l'épaule; tabarnac que ça m'a fait mal... Mais cè pas tout; moué j'continue à monter, rendu en haut, j'me poigne les doigts dans l'hostie de poulie...J'pensait parde connaissance. Quand l'baril touche à terre, l'fond pette pis l'baril se vide. Asteur, ciboir, chus plus pesant que l'baril; ça fa qu'hostie la j'descends en tabarnac, pis à moitié chemin en descendant, j'rencontre encore le crisse de baril qui, lui montait.Y m'a pas manqué l'câlisse, y m'a pogné dret s'une jambe, chu v'nu blême. Rendu en bas, j'mécrase sul câlisse de tas de brique. J'pensa mourir là. Rendu là j'me rappelle pu grand chose; chu tout étourdi, ça fa que j'lâche la crisse de corde pis l'baril se met à r'descendre pis me câlisse un coup sa tête pis j'me r'trouve à l'hôpital. C'est pour ça que j'demande un congé de maladie.
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