haddock a écrit:
La matrice 4*4 en haut du dos de la première me dit quelque chose mais je ne me rappelle plus.
C'est une des expressions possibles du tenseur metrique de la relativite generale. Les autres machins sont des equations de la relativite generale (equations d'Einstein).
Citation:
Sur le dos de la deuxième, c'est facile, ce sont les équations de Maxwell où E est le champ électrique et B le champ magnétique (parfois noté H)
Par contre la troisième et la quatrième, je donne ma langue au chat.
Sur la quatrieme, y'a le commutateur de la mecanique quantique, une ecriture possible de l'equation de Schroedinger, un diagramme de Feynman, une version simplifiee d'une equation de l'EDQ (Klein-Gordon) et le groupe de jauge du modele standard. Sur la troisieme, y'a l'illustre equation de Newton, trois equations relatives au traitement de l'electromagnetisme via les jauges (i.e. quantification de l'EM) et une ecriture possible de la distribution de Maxwell-Boltzmann.
Bref, ce tetraptyque dorsal va, de gauche a droite, de l'"infiniment grand" (relativite generale) a l'"infiniment petit" (physique des particules). Pour unifier ces bidules, il faut s'unir charnellement. Or, justement, le plus important est comme (presque) toujours ce qui ne se voit pas: quattre ponts EPR semi-classiques - un pour chacune - impatients d'etre explores sans menagements afin de rendre simplement connexe ce qui ne semble pas l'etre. D'ou l'importance de la copulation et des tapis persans.
Citation:
Elles sont au coin après avoir reçu une fessée, c'est ça?
Pas exactement. Elles se preparent a subir le chatiment du bureau japonais incline avec l'option double fourreau annele:
transformable en pompe suedoise a soufflets rotatifs:
Mais comme tu dis, les bonnes traditions se perdent.