Ce que je trouve le plus drôle, perso, c'est le trouduc en robe (j'ai rien contre les robes!) Benoit XVI qui est allé faire sa tournée en Amérique du Sud ce week-end.
En fait Beneto a super peur des mouvements évangéliques qui commencent à lui piquer des fidèles en Amérique Latine en plus de ceux qui sont adeptes de la théologie de la libération. Donc, ça c'est le genre de conneries absurdes qu'il aime bien servir à sa population de fidèles. Si on me demande, je les mets tous (les cathos et les évangéliques) dans la même marmite avec des litre de piquette et je laisse mijoter à petit feu jusqu'à temps qu'il n'y ait plus d'odeur...
Source :
http://www.24heures.ch/pages/home/24_he ... o/(contenu)/76449
Citation:
La foi en Dieu "n'est pas une idéologie politique ni un mouvement social, ni un système économique", a déclaré le pape dans son homélie. La religion chrétienne "c'est la foi en un Dieu amour", et "l'Eglise doit se sentir disciple et missionnaire de cet amour".
Il a cependant ajouté que la religion "ne doit pas être un motif d'évasion de la réalité historique, dans laquelle vit l'Eglise en partageant les joies et les espérances, les douleurs et les angoisses de la réalité contemporaine, spécialement celles des plus pauvres et de ceux qui souffrent".
Benoît XVI a encore souligné que "l'Eglise ne fait pas de prosélytisme".
Eh ben! Si j'avais su!
Si la "Grande Eglise Catholique Romaine" n'est pas une idéologie politique je me demande bien comment les historiens ont fait pour remplir les chapitres de leurs livres? Et le délire sur "l'église qui partage les joies et les souffrances de tous", ca me donne envie de gerber!
Et
ça c'est encore mieux.... je me passe de commentaires parce que je sens que je vais prendre mes économies pour aller faire un promenade au Vatican et pis défenestrer Beneto...
Citation:
Lors de la dernière journée de sa visite au Brésil dimanche, le pape Benoît XVI a estimé que les Indiens d'Amérique latine de l'époque pré-coloniale "attendaient silencieusement" de devenir des chrétiens lorsque les colonisateurs espagnols et portugais ont débarqué sur leurs côtes il y a cinq siècles, tuant et asservissant en grands nombres.
Dans ses propos, tenus après l'ouverture de la Ve Conférence générale de l'épiscopat latino-américain et des Caraïbes à Aparecida, et qui pourraient créer la controverse, le pape a ajouté que l'invasion des terres amérindiennes n'avait jamais constitué "l'imposition d'une culture étrangère".
"En fait, la proclamation de Jésus et de son évangile n'a à aucun moment impliqué une aliénation des cultures pré-Colomb, et n'était pas l'imposition d'une culture étrangère", a affirmé le pape.