je voi que le niveau argumentaire et vocabulaire e tjs aussi bas,
quand on a rien de concret à rétorquer, on insulte, classique...
j'ai cherché d'autres traces de la CROIX DE HERCULANUM qui n'ont fait que renforcer mes convictions:
guide petit futé pour l'ITALIE (descendre jusqu'à la description de la MAISON DU BICENTENAIRE):
http://books.google.fr/books?id=muLMFkw ... re&f=falsehttp://www.guidesvoyages.be/herculanum/bi.htmhttp://cliophoto.clionautes.org/picture ... peat-falsehttp://cliophoto.clionautes.org/picture ... play-falsephoto: Herculanum : maison du Bicentenaire
"Ainsi appelée car elle fut découverte en 1938, bicentenaire du début des fouilles.
Il s'agit d'un édifice classique comprenant un vestibule, un atrium 'toscan', impluvium, alae, tablinum, triclinium et cour avec portique.
A l'étage aurait habité une famille chrétienne car on a retrouvé une cavité dans le mur, en forme de croix. "
http://www.arkadias.fr/pagInsul5.htm:
extrait de la description de la
Maison du Bicentenaire:
"Bien pauvres, en revanche, apparaissent les logements situés au-dessus du portique et qui devaient être réservés, dans les dernières années de la ville, moins à la familia des domestiques qu'à toute une série de locataires, en général de modestes familles d'artisans ou de marchands. Le rez-de-chaussée, dépourvu de mobilier d'usage courant, a dû être alors abandonné par les anciens propriétaires. Dans une misérable petite chambre (3m x 2m,70) de ces logements pour domestiques, on remarque, sur le mur faisant face à l'entrée, un emblème cruciforme encastré dans un panneau de stuc, emblème formé à l'origine d'une grande croix de bois (de m. 0,43 de hauteur) clouée au fond du panneau et qui, d'après les crampons de fer encore fixés de chaque côté de celui-ci, devait être protégée, en tant qu'emblème sacré, par des sortes de guichets tenus par des châssis. Au-dessous du panneau de la croix, on a trouvé, et on l'a laissée à sa place, une petite armoire basse en bois, avec un plateau de bois sur le devant en guise d'autel.
On ne peut nier la valeur, du point de vue religieux, de l'emblème cruciforme et du meuble de bois situé en dessous, conçu plus pour servir d'autel que pour être utilisé comme armoire. L'interprétation que l'on a donnée de cette découverte, au mo ment où elle a été faite, à savoir qu'il doit s'agir d'un oratoir chrétien privé, recueille aujourd'hui, malgré des polémiques et des discussions assez vives, les approbations les plus larges et les plus autorisées.
D'après la découverte herculanaise, le culte chrétien de la Croix, qui n'a été instauré officiellement que par l'édit de Constantin et dont on n'avait trouvé, jusqu'alors, de témoignages que dans quelques monuments des IIème et même siècles, serait antérieur à l'an 79 ap. J. C. Il remonterait aux premiers temps de la prédication apostolique et aurait été introduit à Hercula-num par la doctrine de Saint Paul et la communauté chrétienne de Pouzzoles. Cette humble pièce d'Herculanum conserve donc un des plus précieux témoignages de la toute première période de l'Eglise.
En revenant de l'atrium vers l'entrée, on remarque, au pri-mier étage, les nièces de l'appartement donnant sur la rue et auxquelles on accède par l'escalier partant de la pièce n. 16. Les vestiges de la décoration et le Laraire peint sur un mur prouvent que cet appartement, qui avait été détaché du reste de la maison pour le rendre indépendant, était habité, au moment de l'éruption, par le dernier locataire important. "
http://college.belrem.free.fr/pompei/textes/villas.htmA l'étage devait habiter une famille plus modeste, qui probablement pratiquait le culte chrétien. On a en effet trouvé une croix gravée dans le crépi ainsi qu'un agenouilloir en bois