Salut,
super sympa ! J'ai presque réussi à capter cette fois-ci. Il m'a semblé à un moment avoir saisi, puis ça a filé en vitesse, sans doute la relation d'incertitude qui m'a joué un tour... Puis c'est revenu en gravitation elliptique vers mon piaf, puis c'est reparti aussi sec vers l'extérieur du cranium. Imperméable mais able à la physique, j'ai donc presque tout compris (c-à-dire quasiment rien = que dalle) à ces explications. Tout !
J'ajoute quelques chiffres aux énoncés de Pyne Duythr sur l'invalidité (handicapé ?) des termes comme "avant" le big bang, ou "début" de l'univers au temps juste après 0. Pour ceux que ça intéresse. Et si je raconte trop des conneries, que le big crunch me mordille.
Puisque le
temps de Planck qui correspond, comme expliqué par Pyne Duythr,
à l'unité de temps la plus petite compatible avec la phsysique quantique est : tpl = (GNh/c5)1/2 = 5,4 x 10-44 [sec.] (environ)= 10-43.
Et puisque la longitude de Planck Rpl, est la distance que parcourt la lumière en tpl, soit = (GNh/c3)1/2 = 1,6 x 10-33 [cm] et que la masse de Planck Mpl = (GN/hc)1/2 = 1,2 x 1019 GeV = 22 microgrammes, correspond à la masse d'un corps dont la longueur d'onde de Compton est égale au rayon d'un trou noir, soit = h/2pMc = R = GM/2c2.
Cela correspond donc à la masse du plus petit trou noir compatible avec la physique quantique. Avec cette unité, la constante de gravité G se convertit en G = Mpl-2.
Rappelons encore la constante de Planck: h = 6,63 x 10-27 erg s et la constante de la gravitation G = 6,67390 x 10-11 m3/kg/s2.
Et on comprend sisément, surtout car cela confirme les claires explications de Pyne Duythr, que selon ce système géométrique, la vitesse de la lumière c, la constante de Planck h et la constante de Boltzman k, ont toutes la valeur d'unités
(c = b = k = l), qui font ressortir les paramètres importants des formules.
Selon donc ce même schéma mental, ou système (c'est kif-kif), le temps et la distance ont une même dimension
[L] = [t] . Même chose que pour la masse, énergie et température
[M] = [E] = [T].
Ces "dimensions" étant reliées entre elles par la relation d'incertitude (y a bon ? relation et non pas principe), à travers la voie de la longueur d'onde de Compton: ^ = h/2pMc
Du coup, "création" ben... oui c'est abusif en effet, même sans formules, mais aussi "début" de quoi que ce soit dès lors qu'à la lecture de ce qui précède, la physique quantique n'est plus valable en ce "monde 0" dont on cause, car ses limites sont franchies.
Questions à deux roubles pour Gaston : Ai-je franchi les limites de la physique relativiste dans ce rab d'explication ? Ou est-ce Pyne Duythr qui les avait franchies ?
Je te rends un rouble et il ne t'en reste aucun. Pourquoi ? Parce que.
Car la question que je me pose pas est : Gaston a-t-il mieux compris pourquoi, est-ce Planck qui n'avait rien compris à rien, ou Einstein ?
Pyne Duythr pourrait répondre "qui" et même "pourquoi", mais il s'abstiendra de le faire...