Salut Joe (c'est pas le diminutif de JL ?) hé je croyais moi.
Oui 33 % c'est dramatique. On dirait que de 4 % il y a dix ans cela a augmenté. C'est pas si étonnant pasque en fait plus de 50 % des phoques de la Baltique avaient disparus suite à ces catastrophes toxiques. la nouvelle population survivante repart à zéro. Cela risque d'arriver avec les ours, du moment que la courbe de gauss est atteinte.
Les inouits sont pas épargnés : dans l'Ile de Broughts au Canada, les habitants ont le taux de contamination au PCB le plus élévé au monde.
Citation:
Je suis en effet au courant de l'augmentation des infertilités tant masculines que féminines durant ces dernières décénies. Je remarque assez souvent des térato, azoo, oligo spermies ce qui était rare avant.
Oui je sais bien que tu le sais. Par contre j'avais bien pensé aussi que t'allais tiquer sur mon post au sujet de cette phrase :
le mâle humain grandit de taille génération après génération (flagrant) mais simultanément devient de plus en plus féminisé, y compris bien entendu ses organes sexuels et même j'ose parler de son inclinaison sexuelle ! C'est normale que tu sortes tes piles, parce que t'es un type bien. Après nos nombreuses discussions sur la sociobiologie avec lesquelles je suis d'accord avec vous tous, on pourrait mal interpréter cette phrase. Je suis bien évidemment conscient de la part de détermination sociale et fortuite dans les orientations sexuelles variables, par contre on peut pas nier que :
- la majorité des orientations sont hérérosexuelles, et
- que ces orientations sont bien basiques et élémentaires, avec un fort apport déterminé instinctivement, donc en réduisant, physiologiquement (j'y reviens plus tard pour les orientations diverses).
Je m'en réfère déjà ici au fait que :
1. Nous sommes des primates, donc même si l'influence et connotation sociale et environnementale est plus présente dans notre espèce, on ne peut considérer l'instinct de reproduction (de copulation) de l'homme comme fondamentalement différent de celui des autres mammifères : on conserve donc une forte part d'inné pour ce comportement fondamental. Cela étant dit pour la sexualité hétéro la plus commune, le raccourci serait trop vitre pris de reléguer à uniquement instinctive toute l'orientation sexuelle. Il y a les deux apports.
Par cette réflexion, je rentre maintenant dans le vif du sujet et des raisonnements sur les différents penchants. c'est un raisonnement à nettement distinguer de ces pseudo chercheurs de lubies et de gènes de l'homosexualité. Pas du tout le même raisonnement, voici quelques clés.
2- les rares cas de "femmes" XY pour celles qui ignoraient leur particularité,
ont toutes eu une sexualité et morphologie féminine normale, avec attirance envers l'autre sexe phénotypique: c-à-dire que ces hommes XY avec corps de femme parfaite (excepté des testicules internes à la place d'ovaires). On peut déduire par là que la part d'orientation sexuelle
déterminée ne l'est
pas par les gènes, mais plus directement par l'afflux
hormonal déficient, puisque leur problème à eux est hormonal (cf: rendu insensible à la testostérone par une anomalie quelconque, leur développement et appareil reproducteur n'a jamais répondu aux messages initiant la masculinisation). Première piste d'orientation indiquant nettement les hormones, je la continue au point deux.
3- Quand à la 7me semaine, des accès hormonaux commandent aux gonades indifférenciées de se transformer en testicules, c'est aussi tout le reste qui va commencer à se masculiniser, dont notamment le cerveau qui est quelque peu différent chez l'homme et la femme. Mais ils commanderont aussi toutes les différences de développement entre hommes et femmes, que ce soit sur système nerveux et autre.
On est toujours d'accord jusqu'ici. maintenant, j'applique les réflexions 1+2+3 communes à tout mammifère, aux expériences sur souris ci-dessous, et je nuance bien entendu puisqu'il faut être prudent avec l'espèce humaine, prudent car l'apport de comportements acquis et appris est plus fort chez notre espèce que chez les autres, et amène une variable de flou artistique pour faire la part des choses entre acquis et inné, MAIS je conserve néanmoins les résultats étonnants obtenus chez les souris. Des expériences qui toutes ont un rapport ave la discussion, à savoir taux d'hormones bouleversés par origines toxiques (dont PCB et autres cochonneries) et ses conséquences sur développement et comportements (sexuels). Cet à dire que si les comportements humains sont bouleversés par les stupéfiants et autres molàécules notamment, aucune raison ne permet d'exclure les comportements sexuels d'être eux aussi sous influence. OK ?
4 - Souris exposées au distilbène > altérations de l'appareil reproducteur et du comportement sexuel.
- Embryons de souris femelles exposées à un environnement prénatal saturé d'hormones mâles > souris femelles plus agressives, variations dans l'appareil reproducteur, les souris masculinisées sont pubères plus tard, moins fécondes, et moins souvent copulée par les mâles. (apparemment leur odeur serait aussi moins attractive), etc. etc.
- Souris exposées au PCB, femelles perturbées tendant à fonder des couples avec d'autres femelles.
Je connais que quelques expériences célèbres sur les souris, y en a plein d'autres. Personne ne nie la part de déterminisme hormonal sur leur sexualité ni le côté biologique de la sexualité cérébrale. Le nier chez les humains serait tout aussi absurde, et bien évidemment, l'înverse soit nier que les penchants sexuels aient aussi leur forte déterminisme environnemental, le serait tout autant. Mettons 1/3 de z et 2/3 de k comme variables, sans préciser rien d'autre, seulement pour accepter les deux comme variables.
Je conclus maintenant avec cette génération empoisonnée, bien plus grande qu'avant (augmentation de taille que rien ne permet d'expliquer, l'alimentation a été avancée sans aucun élément concluant, des protéines ?), ma il s'agit en tous cas d'une nouvelle génération :
- plus grande de au moins + de 10 centimètres qu'il y a 80 ans (peut-être plus ou moins, j'ai pas les chiffres précis moyens).
- de jeunes avec bien plus de toxines dans le corps, évident si on suit les infos
- des jeunes avec une complexion moins robuste proportionnellement (épaules plus étroites, etc. chez les mâles)
- avec un âge de puberté retardé pour les populations les plus au nord et souvent les plus grandes
- celles du nord ont justement aussi le dimorphisme sexuel le moins accusé
- et avec toute cette proportion plus grande de problèmes de sexualité mal différenciée, allant d'une palette de négligeable jusqu'à des pseudohermaphrodismes, dont les relations de causalité ont été bien identifiés entre pollution et toxiques ingérés et affections sur les thyroïdes, système nerveux, développement utérin, etc.
Comment ne pas proposer et réfléchir sur : que ces modifications moyennes sur le corps des nouvelles générations, dues à causes indéterminées, diverses, dont certainement hormones et autres ont une relation proche, n'aient pas aussi un impact sur la sexualité cérébrale ?
Sans aller jusqu'à affirmer que les orientations le soient pour cause physiologique, on peut affirmer qu'elles sont aussi sous influence. Les comportements aussi par définition.
On se comporte pas sexuellement de la même manière si on est un homme assez efféminé que si on est une bête de sexe avec 33 cm d'organe. C'est assez logique aussi. Lesquel déterminent le plus ?
Je laisse la réponse ouverte selon le cas, ma je laisse aussi ouvert que les 3 influencent et déterminent.
Citation:
A ce qui me semble, il faut quand-même une bite solide pour effectuer une sodomie et l'homosexualité n'a rien à voir avec "virilité"(y sont pas virils les Village People?)
Si, ils sont virils comme tout homme.
Je conçois ouvert que ces déréglements physiologiques par polluants chez l'homme influent aussi notre sexualité et comportements sexuels, ma pas nécessairement du genre : tu es déréglé un peu efféminé, donc tu deviens gay. C'est pas si simple. On peut envisager toute une autre gamme de diversités et influences subtiles sur le comportement. Ou même quasi indécelables, possible aussi, autres qu'une caricature sur les gays.
Même chose ici, ne pas mal interpréter mon "hypothèse" : grande taille n'est pas relative à féminisation, mais une constante moyenne (à vérifier avec les chiffres assez précis des recrutements de l'armée) qui indique qu'un certaine tendance à des caractères sexuels secondaires moins flagrants entre homme et femme se constate. D'ailleurs mon hypothèse est en fait plus positive que négative (à part si c'est pour cause toxique) : on peut très bien envisager que cette relative tendance vers l'androgynie chez les hommes se répercute sur leur mental, et aurait rendus moins potentionnellement violeurs, agressifs et machos les nouvelles générations. Pourquoi pas ? Ca reste une hypothèse. L'espèce humaine en tous les cas a pris une direction moyenne anatomique, qui est réversible de toutes manières puisque des périodes de régression de taille sont aussi connues dans le passé, pour raisons non élucidées. La composante comportementale je veux bien aussi l'insérer.