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MessagePosté: 26 Mar 2006, 00:26 
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Info : L’ours polaire broie des toxines

Plus du tiers des ours polaires de la zone arctique seraient devenus hermaphrodites, conclut une équipe de scientifiques, d’après The Independent, du 16 janvier 2006.

Cette mutation serait directement imputable à la pollution. Un peu comme les poissons de nos rivières, qui avaient commencé à changer de sexe, sous l’influence des contraceptifs féminins dissous dans l’eau.

Là bas, dans les îles de Svalbard, par exemple, une substance attaque, entre autres, les glandes thyroïdes, le sexe, et les fonctions cérébrales des animaux. Il s’agirait de diphényl éthers bromés, dont les chercheurs ont trouvé de fortes doses dans la graisse des ours.

Ours anti-inflammable

A la base, ce produit est employé pour traiter les tapis et le mobilier, de manière à ce qu’ils ne s’enflamment pas, en Europe et les Etat-Unis. Volatile, il est transporté par les airs jusqu’au pays des ours.

Et, lors de la condensation qui se produit, dans le choc entre l’air humide et l’air froid, les toxines rentrent dans la chaîne alimentaire. Bref, “les produits chimiques que nous utilisons dans nos maisons sont entrain de contaminer la vie sauvage en arctique” résume Colin Butfield, porte-parole de Worldwide Fund for Nature. Pis, d’autres substances chimiques auraient été retrouvées dans la chaîne alimentaire.


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MessagePosté: 26 Mar 2006, 09:33 
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C'est un condage imortant, veuillez partcper svp.


Sortie arrosée ou panne de clavier? :lol:

Ceci dit, dans l'article, le terme "hermaphrodite" me semble, une fois de plus, mal utilisé.

Cela me semble bizarre car on parle d'une "mutation" d'une part et d'une substance toxique attaquant glanges sexuelles, thyroide et fonctions cérébrales, d'autre part.

Il s'agit donc plutôt d'un hypogonadisme secondaire d'origine toxique.

L'article manque de précision et me semble un peu loufoque (bien que je ne nie pas la possibilité d'une concentration de toxiques, l'étude des glaces polaires est , en effet, un bon indicateur de pollution).

De plus, pourquoi les ours polaires seulement et pas d'autres mamifères (phoques)?

Faudrait un peu creuser tout cela.


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MessagePosté: 26 Mar 2006, 09:47 
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Autre explication dans cet article

Il semble bien que ce soit l'accumulation de toxines dans la graisse des ours qui perturbe le système endocrinien (et imunitaire) des ours d'autant plus que ce carnivore est en fin de chaine alimentaire.

Il y a , de plus, un fort taux de malformations congénitales.

Les oursons sont déjà pollués durant leurs dévellopement embryo-foetal et ça s'aggrave avec l'allaitement==>aggravation de générations en générations.


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MessagePosté: 26 Mar 2006, 18:48 
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Oui c'est vrai. En fait l'article m'a plu parce qu'ils parlent d'ours anti-inflammable, et comme j'ai passé 20 minutes rien que pour comprendre le sens de cette double négation (j'ai une mutation d'origine toxique au cerveau), j'ai pas fait attention aux détails manquants. Je trouve super géniale l'idée d'une peau d'ours ininflammable devant ma cheminée.

L'article ne dit pas toute la vérité c'est vrai. Par exemple que les eskimos ont aussi leurs hermaphrodites et leurs violeurs de phoques.

Mais pourquoi les ours et pas les phoques ?
Je ne sais pas, peut-être parce que les phoques sont moins sensibles, mais surtout parce que les ours sont encore plus haut dans la pyramide des prédateurs: eux sont les super-prédateurs qui ne bouffent quasiment que des phoques bouffeurs de poissons, eux-mêmes déjà un peu contaminés - mais moins sensibles aux "toxiques androgènes", étant déjà eux-mêmes tous pédés comme des phoques. On dit pas "pédé comme un phoque" pour rien. Il existe déjà bien des problèmes avec les alligators, un petit kiki minuscule dû à d'autres toxines, des castors gays au pénis géant, etc. Sans parler de mon double problème à moi: spermatos acéphales, d'autres bicéphales, d'autres qui nagent à reculons, en zig-zag, d'autres qui savent pas nager le crawl, se noient et coulent en silence.

Je parie que la piste de la contamination par le viol collectif de phoques n'a pas été envisagée, mais déjà en 1998 , on parlait de Polychloro-biphényle, PCB, accumulé dans la graisse des phoques, puis consommé par les ours polaires, comme responsable. Un autre genre de dioxine.

http://www.courrierinternational.com/in ... ance=hebdo

Les ours de l'Arctique deviennent hermaphrodites. Tel est le cri d'alarme lancé par des chercheurs norvégiens réunis en congrès dans la ville de Tromsø. La mutation toucherait 4 % des oursons : une véritable épidémie. Les scientifiques incriminent les polychlorobiphényles (PCB), produits interdits dans de nombreux pays mais encore utilisés en Russie. On trouve les PCB dans les transformateurs électriques ou dans les sous-marins nucléaires. Les PCB, qui mettent des années à se dégrader, sont absorbés par les phoques, qui les stockent dans leur graisse. Les phoques, qui constituent la nourriture des ours, leur transmettent les PCB. Ces substances, qui ont une action identique aux hormones sexuelles féminines, provoquent alors chez les plantigrades un développement hybride.


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MessagePosté: 27 Mar 2006, 13:45 
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C'est un condage imortant, veuillez partcper svp.

Bon vivant ?
:lol:

Je m'inquiète pour vos intoxications à vous et aux ours! Ne mangeons plus de bébés phoques !


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MessagePosté: 27 Mar 2006, 16:41 
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Cela me semble bizarre car on parle d'une "mutation" d'une part et d'une substance toxique attaquant glanges sexuelles, thyroide et fonctions cérébrales, d'autre part.
Il s'agit donc plutôt d'un hypogonadisme secondaire d'origine toxique.
L'article manque de précision et me semble un peu loufoque (bien que je ne nie pas la possibilité d'une concentration de toxiques, l'étude des glaces polaires est , en effet, un bon indicateur de pollution).
De plus, pourquoi les ours polaires seulement et pas d'autres mamifères (phoques)?


Salut panseur d'ongles cassés !

(Non pardon, je recommence : Salut mon président !

Je reçois cette info sur les ours nordiques (que j'étais même pas au courant), que c'est une des dernières en date d'une longue série noire de malformations constatées sur tous les animaux sensibles, due aux 100000 différents produits chimiques déversés dans la nature année après année. C'est pas vraiment une info de dernière heure. Les phoques ont aussi beaucoup souffert de ces autres toxiques déversés, notamment les phoques d'ex URSS. Morts par milliers au lac Baïkal et à la Baltique.
D'autres c'est le DDT, etc. La pollution est le problème de santé mondial ! Moins médiatique que la grippe aviaire et le sida ma il détériore en silence. Un silence assez bizarre.

Je pense que "mutation" dans l'article signifie "raison médicale non élucidée avec précision", comme bien des "origines toxiques" comme tu dis. Ma même si l'article est de vulgarisation, très court et réduit, on peut parler de mutation lorsqu'on introduit un changement génétique durant le développement, induit par des agents chimiques.
Pour moi, une maladie congénitale d'origine toxique ou autre cause, inclut toutes les situations pathologiques innées ou acquises, elle est souvent causée par des mutations. Les maladies génétiques ne sont pas les seules qui aient un rapport direct avec des mutations ou changements : Ces possibles mutations chez l'ours qui amènent des anomalies de développement, dues à facteur écologique, sont pas nécessairement héréditaires par contre ma c'est quand même des mutations qui affectent les hormones et le système immunitaire.

Ma mon cher panseur d'ongles cassés, t'es le premier à savoir, car tu es sur le terrain directement, que l'homme et tes patients sont aussi touchés que les autres animaux, parfois plus.
Tu as accès à des comparatifs statistiques donnés par tes collègues plus anciens et contemporains, sur les anomalies sexuelles non ? On est empoisonnés, je te le dis, ça sert à rien de l'occulter ! :D

Puisqu'on parle plus que de testicules dans le forum www.rationalisme.org, je prends l'exemple des testicules (c'est pour info) :
- dans tous les pays du nord de l'europe, les cas de testicules non descendus a doublé en vingt ans. Pas de bol on vit avec, ma le risque de cancer est accru. Sans parler des problèmes de plus en plus frequenti de stérilité masculine pour différentes causes comme la fabrication diminuée ou altérée de sperme, et la fréquence de raccourcissements de conduits urinaires qui a aussi augmenté en proportions considérables.

J'émets l'hypothèse suivante pour revenir sur la sexualité mal différenciée et les petites bites qui passionnent les foules : le mâle humain grandit de taille génération après génération (flagrant) mais simultanément devient de plus en plus féminisé, y compris bien entendu ses organes sexuels et même j'ose parler de son inclinaison sexuelle ! Nan je rigole pas vraiment, c'est un problème mondial.
Toutes ces intoxications s'ajoutent à d'autres et évènements prénataux et problèmes mondiaux du monde pollué, qui ont été déjà maintes fois proposés dont par ex. la consommation excessive d'oestrogènes dans le lait maternel. (voir article dans Le Lancet, il y a une dizaine d'années) :
- les oestrogènes inhibent la sécrétion de l'hormone folliculostimulant les cellules de Sertoli, qui déterminent la production de spermatozoides.
Des exemples inquiétants t'en connais plus que moi !
- Sur le PCB (vous en parlez plus haut) qui perturbe thyroïde et sytème nerveux, du coup si le taux d'hormones thyroidiennes est trop faible ou trop élevé durant les premières années de la vie, les conséquences sont graves, troubles mentaux, de comportment, retard mental et autres conséquences directes d'un développement perturbé.
Bref, ce qui semble t'étonner pour les ours n'est rien d'autre que ce que l'homme subit déjà, et qui te fait vivre en grande partie à l'insu de notre plein gré. Excepté que les ours ont peu de toubibs pour s'occuper à temps de leurs bobos et leurs ongles cassés que les sujets de sa majesté sérénissime royale du royaume de feu roy Baudoin.


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MessagePosté: 28 Mar 2006, 07:08 
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Salut, très cher confrère mondialement organisé.

Je suis en effet au courant de l'augmentation des infertilités tant masculines que féminines durant ces dernières décénies.

Je remarque assez souvent des térato, azoo, oligo spermies ce qui était rare avant.

Je remarque surtout une augmentation effroyable des cas d'ashme chez nos bébés (1 bébé sur 7 en est atteint)

Ces maladies et troubles sont d'origines environementaux mais c'est un constat que nos dirigeants ne veulent pas faire car cela remettrait en cause trop de choses.

Je reste étonné de ce taux de 33% des ours polaires atteint "d'hermaphrodisme", même si j'en comprends les raisons.


Citation:
J'émets l'hypothèse suivante pour revenir sur la sexualité mal différenciée et les petites bites qui passionnent les foules : le mâle humain grandit de taille génération après génération (flagrant) mais simultanément devient de plus en plus féminisé, y compris bien entendu ses organes sexuels et même j'ose parler de son inclinaison sexuelle ! Nan je rigole pas vraiment, c'est un problème mondial.


Oui, ben ça reste encore ta théorie car j'aimerais savoir d'ou tu tiens cette corrélation entre augmentation de la taille, diminution des caractères sexuels et, surtout, inclinaison sexuelle.

A ce qui me semble, il faut quand-même une bite solide pour effectuer une sodomie et l'homosexualité n'a rien à voir avec "virilité"(y sont pas virils les Village People?)


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MessagePosté: 28 Mar 2006, 09:48 
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Salut Joe (c'est pas le diminutif de JL ?) hé je croyais moi.

Oui 33 % c'est dramatique. On dirait que de 4 % il y a dix ans cela a augmenté. C'est pas si étonnant pasque en fait plus de 50 % des phoques de la Baltique avaient disparus suite à ces catastrophes toxiques. la nouvelle population survivante repart à zéro. Cela risque d'arriver avec les ours, du moment que la courbe de gauss est atteinte.

Les inouits sont pas épargnés : dans l'Ile de Broughts au Canada, les habitants ont le taux de contamination au PCB le plus élévé au monde.

Citation:
Je suis en effet au courant de l'augmentation des infertilités tant masculines que féminines durant ces dernières décénies. Je remarque assez souvent des térato, azoo, oligo spermies ce qui était rare avant.

Oui je sais bien que tu le sais. Par contre j'avais bien pensé aussi que t'allais tiquer sur mon post au sujet de cette phrase : le mâle humain grandit de taille génération après génération (flagrant) mais simultanément devient de plus en plus féminisé, y compris bien entendu ses organes sexuels et même j'ose parler de son inclinaison sexuelle !

C'est normale que tu sortes tes piles, parce que t'es un type bien. Après nos nombreuses discussions sur la sociobiologie avec lesquelles je suis d'accord avec vous tous, on pourrait mal interpréter cette phrase. Je suis bien évidemment conscient de la part de détermination sociale et fortuite dans les orientations sexuelles variables, par contre on peut pas nier que :
- la majorité des orientations sont hérérosexuelles, et
- que ces orientations sont bien basiques et élémentaires, avec un fort apport déterminé instinctivement, donc en réduisant, physiologiquement (j'y reviens plus tard pour les orientations diverses).

Je m'en réfère déjà ici au fait que :

1. Nous sommes des primates, donc même si l'influence et connotation sociale et environnementale est plus présente dans notre espèce, on ne peut considérer l'instinct de reproduction (de copulation) de l'homme comme fondamentalement différent de celui des autres mammifères : on conserve donc une forte part d'inné pour ce comportement fondamental. Cela étant dit pour la sexualité hétéro la plus commune, le raccourci serait trop vitre pris de reléguer à uniquement instinctive toute l'orientation sexuelle. Il y a les deux apports.

Par cette réflexion, je rentre maintenant dans le vif du sujet et des raisonnements sur les différents penchants. c'est un raisonnement à nettement distinguer de ces pseudo chercheurs de lubies et de gènes de l'homosexualité. Pas du tout le même raisonnement, voici quelques clés.

2- les rares cas de "femmes" XY pour celles qui ignoraient leur particularité, ont toutes eu une sexualité et morphologie féminine normale, avec attirance envers l'autre sexe phénotypique: c-à-dire que ces hommes XY avec corps de femme parfaite (excepté des testicules internes à la place d'ovaires). On peut déduire par là que la part d'orientation sexuelle déterminée ne l'est pas par les gènes, mais plus directement par l'afflux hormonal déficient, puisque leur problème à eux est hormonal (cf: rendu insensible à la testostérone par une anomalie quelconque, leur développement et appareil reproducteur n'a jamais répondu aux messages initiant la masculinisation). Première piste d'orientation indiquant nettement les hormones, je la continue au point deux.

3- Quand à la 7me semaine, des accès hormonaux commandent aux gonades indifférenciées de se transformer en testicules, c'est aussi tout le reste qui va commencer à se masculiniser, dont notamment le cerveau qui est quelque peu différent chez l'homme et la femme. Mais ils commanderont aussi toutes les différences de développement entre hommes et femmes, que ce soit sur système nerveux et autre.

On est toujours d'accord jusqu'ici. maintenant, j'applique les réflexions 1+2+3 communes à tout mammifère, aux expériences sur souris ci-dessous, et je nuance bien entendu puisqu'il faut être prudent avec l'espèce humaine, prudent car l'apport de comportements acquis et appris est plus fort chez notre espèce que chez les autres, et amène une variable de flou artistique pour faire la part des choses entre acquis et inné, MAIS je conserve néanmoins les résultats étonnants obtenus chez les souris. Des expériences qui toutes ont un rapport ave la discussion, à savoir taux d'hormones bouleversés par origines toxiques (dont PCB et autres cochonneries) et ses conséquences sur développement et comportements (sexuels). Cet à dire que si les comportements humains sont bouleversés par les stupéfiants et autres molàécules notamment, aucune raison ne permet d'exclure les comportements sexuels d'être eux aussi sous influence. OK ?

4 - Souris exposées au distilbène > altérations de l'appareil reproducteur et du comportement sexuel.
- Embryons de souris femelles exposées à un environnement prénatal saturé d'hormones mâles > souris femelles plus agressives, variations dans l'appareil reproducteur, les souris masculinisées sont pubères plus tard, moins fécondes, et moins souvent copulée par les mâles. (apparemment leur odeur serait aussi moins attractive), etc. etc.
- Souris exposées au PCB, femelles perturbées tendant à fonder des couples avec d'autres femelles.

Je connais que quelques expériences célèbres sur les souris, y en a plein d'autres. Personne ne nie la part de déterminisme hormonal sur leur sexualité ni le côté biologique de la sexualité cérébrale. Le nier chez les humains serait tout aussi absurde, et bien évidemment, l'înverse soit nier que les penchants sexuels aient aussi leur forte déterminisme environnemental, le serait tout autant. Mettons 1/3 de z et 2/3 de k comme variables, sans préciser rien d'autre, seulement pour accepter les deux comme variables.

Je conclus maintenant avec cette génération empoisonnée, bien plus grande qu'avant (augmentation de taille que rien ne permet d'expliquer, l'alimentation a été avancée sans aucun élément concluant, des protéines ?), ma il s'agit en tous cas d'une nouvelle génération :
- plus grande de au moins + de 10 centimètres qu'il y a 80 ans (peut-être plus ou moins, j'ai pas les chiffres précis moyens).
- de jeunes avec bien plus de toxines dans le corps, évident si on suit les infos
- des jeunes avec une complexion moins robuste proportionnellement (épaules plus étroites, etc. chez les mâles)
- avec un âge de puberté retardé pour les populations les plus au nord et souvent les plus grandes
- celles du nord ont justement aussi le dimorphisme sexuel le moins accusé
- et avec toute cette proportion plus grande de problèmes de sexualité mal différenciée, allant d'une palette de négligeable jusqu'à des pseudohermaphrodismes, dont les relations de causalité ont été bien identifiés entre pollution et toxiques ingérés et affections sur les thyroïdes, système nerveux, développement utérin, etc.

Comment ne pas proposer et réfléchir sur : que ces modifications moyennes sur le corps des nouvelles générations, dues à causes indéterminées, diverses, dont certainement hormones et autres ont une relation proche, n'aient pas aussi un impact sur la sexualité cérébrale ?
Sans aller jusqu'à affirmer que les orientations le soient pour cause physiologique, on peut affirmer qu'elles sont aussi sous influence. Les comportements aussi par définition.
On se comporte pas sexuellement de la même manière si on est un homme assez efféminé que si on est une bête de sexe avec 33 cm d'organe. C'est assez logique aussi. Lesquel déterminent le plus ?
Je laisse la réponse ouverte selon le cas, ma je laisse aussi ouvert que les 3 influencent et déterminent.

Citation:
A ce qui me semble, il faut quand-même une bite solide pour effectuer une sodomie et l'homosexualité n'a rien à voir avec "virilité"(y sont pas virils les Village People?)

Si, ils sont virils comme tout homme.
Je conçois ouvert que ces déréglements physiologiques par polluants chez l'homme influent aussi notre sexualité et comportements sexuels, ma pas nécessairement du genre : tu es déréglé un peu efféminé, donc tu deviens gay. C'est pas si simple. On peut envisager toute une autre gamme de diversités et influences subtiles sur le comportement. Ou même quasi indécelables, possible aussi, autres qu'une caricature sur les gays.

Même chose ici, ne pas mal interpréter mon "hypothèse" : grande taille n'est pas relative à féminisation, mais une constante moyenne (à vérifier avec les chiffres assez précis des recrutements de l'armée) qui indique qu'un certaine tendance à des caractères sexuels secondaires moins flagrants entre homme et femme se constate. D'ailleurs mon hypothèse est en fait plus positive que négative (à part si c'est pour cause toxique) : on peut très bien envisager que cette relative tendance vers l'androgynie chez les hommes se répercute sur leur mental, et aurait rendus moins potentionnellement violeurs, agressifs et machos les nouvelles générations. Pourquoi pas ? Ca reste une hypothèse. L'espèce humaine en tous les cas a pris une direction moyenne anatomique, qui est réversible de toutes manières puisque des périodes de régression de taille sont aussi connues dans le passé, pour raisons non élucidées. La composante comportementale je veux bien aussi l'insérer.


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MessagePosté: 30 Mar 2006, 11:40 
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Hello à tous.
Les hermaphrodites toxiques et les poisons, ça me parle moins que les poissons aux amandes, et puis j'y connais que dalle. Je laisse ça aux toubibs.
C'est donc juste pour pinailler et alimenter la discussion :
Ginolain a écrit:
Je conlus maintenant avec cette génération empoisonnée, bien plus grande qu'avant (augmentation de taille que rien ne permet d'expliquer, l'alimentation a été avancée sans aucun élément concluant, des protéines ?), ma il s'agit en tous cas d'une nouvelle génération :
- plus grande de au moins + de 10 centimètres qu'il y a 80 ans (peut-être plus ou moins, j'ai pas les chiffres précis moyens).
- de jeunes avec bien plus de toxines dans le corps, évident si on suit les infos
- des jeunes avec une complexion moins robste proportionnellement (épaules plus étroites, etc. chez les mâles)
- avec un âge de puberté retardé pour les populations les plus au nord et souvent les plus grandes
- celles du nord ont justement aussi le dimorphisme sexuel le moins accusé
- et avec toute cette proportion plus grande de problèmes de sexualité mal différenciée, allant d'une palette de négligeable jusqu'à des pseudohermaphrodismes, dont les relations de causalité ont été bien identifiés entre pollution et toxiques ingérés et affections sur les thyroïdes, système nerveux, développement utérin, etc.

Mouais, bon. Une influence +/-accusée, pourquoi pas Ginolain.
De la manière dont tu présentes l'exposé, au premier abord cela tient la route. Je me demande tout de même si tu vas pas un peu vite en besogne avec le lien "accroissement de taille" / "retard de la puberté" / "complexion moins robuste> féminisation" ?
Hemmm, possible oui, faudrait tout de même donner des mesures précises ou des statistiques, si tu les as ou si vous les avez sous la main.
Je suis un peu sceptique, bien que cela tienne debout. Un raisonnement séduisant, c'est sans problème.

Oranginolain a écrit:
C'-à-dire que si les comportements humains sont bouleversés par les stupéfiants notamment, et autres molécules, aucune raison ne permet d'exclure les comportements sexuels d'être eux aussi sous influence. OK ?

Oui Ginolain, bien entendu. Mais si je peux me permettre, tu vas encore (un peu trop vite) en besogne. Ta proposition contient un raisonnement correct, mais aussi une sorte de raccourci, ou de sophisme.
:evil: Tu assimiles un peu trop facilement et gratuitement les changements ou altérations de comportement induits par n'importe quel produit avec effet psychique connu, avec un changement d'orientation sexuelle...
C'est un énoncé juste, mais faux en même temps si l'on s'attarde un peu sur les nuances entre ces deux objets.

Je veux dire par là que le raisonnement est valable mais si tu tiens en compte que même l'euphorie peut être incluse dans le paquet des vecteurs induisant des "comportements altérés", il te faudrait alors considérer qu'un stimulant sexuel quelconque serait dans ce cas aussi un altérateur de notre orientation sexuelle...
Stimuler <=> altérer <=> désorienter <=> orienter... :wink:

Clichés simplissimes pour arriver là où je veux en venir :

- si je bande plus longuement grâce à pastille bleue, je baiserai plus, je serai bien plus inspiré pour baiser, j'aurai donc bien plus envie de baiser. Mon comportement sexuel est modifié. Mon orientation peut l'être elle aussi selon disponibilité des proies => faculté de compensation <=> marge d'orientation sexuelle, ne serait-ce que transitoire ou occasionnelle, opportuniste.
- de même, si je bande moins longuement mon comportement sexuel variera lui aussi => adaptation de mon comportement à ma bite molle => suçage de clitos, lectures "freudiennes", recherche de chair plus stimulante, voire tous les zarbis possibles . etc.
Ces possibles sont tous des "orientations sexuelles" au sens large, (les dites "déviances" incluses) si l'on ne prend pas en considération une conception trop tranchée hétéro/homo...
- de même, penser à la chose fait bander => bander y fait penser, y penser fait consommer => fait bander donc consommer, consommer y fait penser donc bander, donc y penser, etc. etc.

On retombe facilement sur ta tryptique d'influence du physiologique sur l'orientation sexuelle, mais démocratisée par d'autres paramètres et par une compréhension élargie du terme "orientation sexuelle"...
Tellement de vecteurs et paramètres en fin de compte que, finalement, on peut en conclure que le chocolat, une Yamaha 125, une maman ou un bonbon, peuvent aussi être considérés comme perturbateurs/dérivateurs de notre comportement sexuel, et donc aussi quelque peu de notre orientation sexuelle élargie.
Bref, c'est juste pour te rappeler qu' "orientation sexuelle" n'étant PAS un concept (scientifique) rigoureux, on peut alors en faire ce qu'on veut.

Ce que je retiens surtout c'est le point dont tu te sers dans ton exposé, mais sur lequel tu ne t'es pas vraiment attardé. Il serait intéressant de repasser dessus quelques secondes - il va dans le sens de ta supposition et c'est le coeur du problème - : ces divers polluants altèrent bien l'organisme, mais surtout ils déclenchent (c'était le propos du topic) un effet similaire aux hormones stéroïdiennes de l'organisme. Il existe plein de produits perturbant le système endocrinien, mais ce sont des médocs pour la plupart, pas des structures chiomiques comme le PCB ou le DDT, destiné à zigouiller des insectes.


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MessagePosté: 06 Juin 2006, 15:51 
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Discussion des plus intéressantes qui semble arrétée.

J'ai lu il y a peu un article sur les dogmes de la biologie.

Notament le dogme un gène = une protéine.

Si on suit cet article, tout semble remis en question.

Est-ce qu'actuellement on peut toujours affirmer comme dans votre conversation que cette hormone ci fait ça et celle-ci fait ça?

Celle-ci vient de ce gène-ci etc... ?

Comment le sait on finalement ?

Je veux dire quelles sont les certitudes génétiques sûres qui permettent de dire tel comportement vient d'une hormone traduite par d'un gène en particulier ?


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MessagePosté: 06 Juin 2006, 20:08 
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Ou là, si ce topic s'est momentanément arêté c'est comme pour d'autres. Soit la discussion a pas enflammé les foules soit le dernier posteur a posé une colle qui a coupé la chique.

C'est le cas ici :
Citation:
"Il serait intéressant de repasser dessus quelques secondes - il va dans le sens de ta supposition et c'est le coeur du problème - : ces divers polluants altèrent bien l'organisme, mais surtout ils déclenchent (c'était le propos du topic) un effet similaire aux hormones stéroïdiennes de l'organisme. "


Sûrement très intéressant encore faut-il avoir un début d'idée de quoi il est question, c'est pas mon cas. Alora moi j'ai arrêté de discuter.

Si tu veux relancer la discussion et le topic, c'est trop sympa à toi.
Oui, pourquoi pas par la remise en cause de toute la génétique.
Mmmm, je me demande si ce sera pas trop long à faire et si on manque pas un peu de connaissances pour recommencer toute la génétique depuis le début.
Ta question ici :
Citation:
Je veux dire quelles sont les certitudes génétiques sûres qui permettent de dire tel comportement vient d'une hormone traduite par d'un gène en particulier ?

Waw, c'est pas une question ça, ou alors elle englobe un siècle de recherches et déductions. Je ne sais pas si j'ai bien compris la question, mais je répondrais volontiers qu'à ce jour, aucun gène donnant X comportement chez l'homme n'a été identifié.
Pareil dans l'autre sens je dirais, à savoir qu'aucun comportement n'a donné lieu à une localisation génétique précise.

Dans ce cas, tu as tout à fait raison de poser cette question, car c'est vrai. Notre discussion jusqu'à ce qu'elle s'arrête était puremement digressive, basée sur la rélflexion que le comportement des mammifères transféré sur l'homme est valable dans la mesure où néanmoins tous les comportements ont une variable acquise (par apprentissage ou imitation) qui perturbe tous les raisonnements sur l'inné.
Il faut pas prendre les discussions de ce forum pour des affirmations catégoriques, surtout pas dans ce topic.


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MessagePosté: 06 Juin 2006, 20:19 
Glorbs
Glorbs
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Inscription: 02 Fév 2005, 09:02
Messages: 780
A mon tour pour jouer le jeu je viens de faire rien d'autre que de la disgression pour la bonne cause : redire ce que j'ai déjà écrit plus haut par d'autres phrases.
Ben je suis pas le premier ni le dernier à le faire. D'ailleurs je fais ça très souvent. :cry:


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MessagePosté: 09 Juin 2006, 15:41 
Défioliant
Défioliant
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Inscription: 24 Jan 2005, 09:45
Messages: 2054
Localisation: Aix-les-tantes (Pyrénées Orientales)
Citation:
Il faut pas prendre les dicussions de ce forum pour des affirmations catégoriques, surtout pas dans ce topic.

Mais si, mais si !
Pour ce qui me concerne, quand j'affirme quelque chose c'est catégoriquement une affirmation. Si c'est (souvent) des conneries, ce seront alors catégoriquement des conneries. Si c'est une fadaise, idem : une fadaise catégorique... Suffit d'assumer notre capacité à énoncer des conneries. Bref.

Pour relancer la discussion, celle-ci pourquoi pas, je reprends les thèmes de Will :
Citation:
Si on suit cet article, tout semble remis en question. [...] Est-ce qu'actuellement on peut toujours affirmer comme dans votre conversation que cette hormone ci fait ça et celle-ci fait ça?

Tout serait remis en question ? Je ne le pense pas, je l'espère du moins... Il y a tout de même certaines notions vérifiées, non ?

Parmi celles des conversations précédentes, ce que Gino a perçu comme une colle n'en était pas une, mais une question *.
(* Une question mal posée car j'aurais peut-être dû mettre quelques éléments dans la question, afin de continuer la discussion. )

Si chaque hormone et son récepteur spécifique (ex. testostérone et oestrogène) ont une forte affinité chimique, la liaison moléculaire se fera comme prévu et cet accrochage déclenchera le processus biologique propre à l'hormone : activation dans le noyau de certains gènes produisant X protéines.
Le blème avec ces DDT et distilbène est qu'ils imitent les oestrogènes (ou autres), que ce soit pour déclencher le processus ou pour l'inhiber. Ma question était : "Connaît-on mieux actuellement comment ces imposteurs chimiques s'y prennent pour "tromper" les récepteurs ? "
On sait depuis longtemps me semble-t-il, qu'ils se lient aux récepteurs des oestrogènes, et ils n'ont pourtant pas une structure chmique très ressemblante, mais a-t-on plus de connaissances précises sur ces imposteurs ? "
Moi je n'en sais pas plus. C'était donc une question, pas une colle.

Sinon, pour le dogme génétique tombé, "1 gène /=/ 1 protéine", ce n'est qu'un titre d'article de magazine. Certains gènes expriment bien une seule protéine... Ce sont plutôt les différentes manières dont est modulée l'expression des gènes qui est mieux connue, plus diversifiée qu'auparavant. Notamment par l'importance de différents agents externes au génome, mais aussi par des séries de gènes qui modulent l'expression d'autres. Des détails de ce genre, franchement ce n'est pas sur www.rationalisme.org que tu vas les trouver, on n'en est même pas là dans les quelques discussions où les gènes ont un rôle.
On en reste sur www.rationalisme.org à avancer grossièrement que les gènes s'expriment en protéines (ce qui n'est pas faux même si approximatif), car jamais la nécessité de passer par les étapes intermédiaires de transcription et traduction, ne s'est faite sentir dans les conversations en cours. Les énoncés approximatifs, les raccourcis que l'on lit dans ce forum restent donc valables, car ils sont basiques. On fait ce qu'on peut, si on le veut bien, dans la limite de nos possibilités.

On va pas non plus se mettre à chialer... Le gène a plus souvent été utilisé pour des conversations d'évolution opposée au créationnisme, par sa facette de "stock d'informations à transmettre à la descendance", que par sa fonction, essentielle et capitale, de régulateur des fonctions physiologiques de l'organisme. C'est assez normal vu l'orientation affichée de ce site.


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