Bonjour,
Je laisse à l'appréciation des modérateurs ce qu'il faudra faire avec cette petite chose insignifiante appelée Karine. Les racismes je ne supporte pas, mais comme elle ridiculise tous ses coreligionnaires mutants en écrivant en leur nom, la laisser faire n'est peut-être pas si mal. On supprimera à votre demande. Je ne tiens pas non plus tant que ça à lire sa puanteur et son misérabilisme intellectuel. Comme vous voudrez.
Salut Lord Dralnar,
En effet, au sujet du ralentissement de l'évolution de l'homme, on n'a pas plus de recul que celui dont on dispose pour toute
réflexion sur l'évolution des autres espèces.
J'ai proposé que grâce entre autres à la médecine, aux progrès techniques et à la solidarité entre les humains, la sélection naturelle exerce obligatoirement une pression moindre. Nettement moindre qu'avant. Un des postulats de Darwin, "la survie du plus apte", n'est plus à l'ordre du jour chez l'homme. C'est une évidence pour moi, mais pas un décret, mon travail consiste aussi à faire en sorte que le plus d'individus survivent.
On pourrait dire que d'autres formes de sélection ont remplacé la sélection dite naturelle, des sélections financières ou sociales, scolaires, mais elles sont cependant remises en question et faussées car la première loi déterminante est la faculté de reproduction, et dans ce sens-là, les populations les plus pauvres sont aussi celles qui se reproduisent le plus.
Donc tous les paramètres naturels d'évolution décrits depuis Darwin sont faussés chez l'homme social. Il faut cependant remarquer que Darwin l'avait déjà signalé. Ce n'est pas nouveau.
L'exemple que tu donnes est une mutation apparemment sans conséquences défavorables sur un individu. Ce ne deviendrait une microévolution notable
de l'espèce humaine que si ce nouveau caractère se diffusait fortement
dans l'espèce au détriment d'autres individus. On n'en est pas encore là. La fréquence allélique de la population humaine ne changera pas considérablement grâce aux descendants de ce superman, cela resterait négligeable.
Des mutations génétiques il en "naît" tous les jours des milliers, plusieurs par naissance, neutres ou pathogènes. Avec les bientôt 7 milliards d'humains que nous sommes, pour faire varier la fréquence d'un caractère dans l'espèce, ce n'est plus une mince affaire, d'où une évolution par sélection naturelle finalement assez négligeable dans la population humaine.
La stabilité de l'espèce humaine vient surtout de son brassage de plus en plus grand, et de son impressionnant nombre d'individus.
Je suis bien d'accord avec ton analyse des mutantes. Je me demande si une tare génétique ne les a pas amenées à se détester autant, et leurs proches avec.
Evidemment, avec les eugénistes, il reste à s'entendre sur ce qu'ils appellent "naturel". Pour eux, les camps de la mort et les stérilisations sont peut-être une chose "naturelle"... Karine l'a confirmé plus haut.
La question que pose Zartregu sur son langage est pertinente aussi, je me demande ce que peut bien vouloir signifier "parents-morts". C'est assez étonnant.