Citation:
je stoppe là tes délires sur le "on", le "on" ce sont ceux qui garnissent les rayons, la musique est justement remplie a la demande , je n'ai pas l'impression que l'offre en lecture soit aussi diversifié et autant en relation a l'offre et la demande.
C'est vrai que l'offre en lectures n'est pas calquée sur ta demande. Il est égoïste ce monde ! Il ne pense pas qu'à toi.
Citation:
Tes spéculations sur la musique, tu te les gardes car j'aime justement beaucoup JS Bach
Je serais toujours aussi stupéfait de voir qu'il te plait toujours de penser le plus impensable sur le compte des autres
Tu as même le droit de détester. Des goûts et des couleurs cela ne se discute pas.
Néanmoins, je ne voudrais pas être lourdinque, mais quand je lis ceci :
Où est ce que tu as vu qu'on squatte les rayons de disque avec "Jésus que ma joie demeure" et autres musique de messe ?, faisant suite à deux arias peut-être parmi les plus admirées - à juste titre car bouleversantes - de l'histoire de la musique, et d'autant plus de la part d'un gars qui dit
aimer beaucoup JS Bach.
... et bien tu m'excuseras de penser ce que j'ai pensé, car rien d'autre dans ta phrase ne m'invite à penser autre chose que ce que j'ai pensé. [1]
ps : tu es aussi prié de m'excuser d'être descendu, presque descendu car je n'y arrive pas vraiment, à un caniveau digne de tes propos initiaux du dessus, de tes mini-crises d'insatisfaction délirantes exposées plus haut. Car finalement, tu râles plus parce que le monde n'est pas fait comme tu penses qu'il devrait être, que parce que les rayons ne seraient pas complets. Ils ne le peuvent pas. Et je ne comprends rien d'autre que cela dans tes propos.
Bref, tu m'excuseras de ne pas prendre au sérieux les indignations d'un athée rêvant d'un monde plus équitable par des rayonnages de libraire où il trouverait le livre qu'il cherchait. Booooordel de merde.
Citation:
ps : Si tu aimes lire avec le sourire en coin, lis "Traité sur la tolérance" de Voltaire, c'est vraiment savoureux.
Déjà lu. Savoureux ou indigeste - tout dépend de ce qu'on a bouffé avant : toujours aussi irritant ce Voltaire, et aussi décousu que mes vieux slips. Ca part dans tous les sens. Mais ce n'est pas un livre sur l'athéisme, faudra trouver autre chose pour remplir les rayons
pour z'athées. Tu l'as acheté ?
Un tuyau pour économiser en période de Noël : puisque beaucoup d'ouvrages de Voltaire sont disponibles on line, celui-ci tu l'imprimes, tu l'agrafes, l'humidifies, puis tu le passes sous tes aisselles et ta raie des fesses, puis quelques minutes au four. Cadeau pour pas cher, les temps sont durs: à un copain un peu nigaud, tu l'offres comme rareté trouvée chez un bouquiniste. Même l'odeur est garantie authentique. Et pas besoin de buter un libraire.
Allez, bonnes fêtes musicales.
[1] Allez, prise de tête gracieuse et gratos, c'est bientôt Santa Klaus :
un gars qui
aime beaucoup JS Bach, il ne dit pas ce que tu as écrit après visionnage ou écoute de ces 2 arias. Un gars qui aime Bach il ne l'aime pas ; il est en extase par sa musique ; par ces deux arias dans le cas présent, par l'étonnant mystère de ces airs enchanteurs et magiques, et s'exprime autrement que toi au sujet de musiques qui le bouleversent forcément. Un gars qui aime Bach, il pointe sur les deux liens dont il a probablement reconnu les titres et fait 2 minutes de silence ensuite pour sécher ses yeux larmoyants par tant de beauté extatique, de douceur, de tristesse, et surtout d'incompréhension de ce que ce mélange parfait procure à ses sens. Car il ne comprend pas pourquoi ni comment, car c'est un véritable mystère que cette musique. Car ces 2 objets musicaux-là ne sont pas que des arias sublimes; ce sont des monuments pour un gars qui aime beaucoup Bach. Que dis-je ? Ce sont des Alhambra's, douloureusement belles et pénétrantes. Non, que dis-je, des péninsules ! Non, des étoiles filantes de l'art, du chant, de la Musique en majuscule. Oeuvres qui nous élèvent, qui nous rendent moins minables quelques instants durant, malgré notre état permanent de minables de pacotille : certaines oeuvres de Bach ne sont pas de la musique qu'on "
aime beaucoup"... Même s'il n'écoute pas que du Bach et n'aime pas que Bach, bien évidemment, un gars qui
aime vraiment Bach n'hésiterait pas à jeter l'intégralité des oeuvres de Chopin, Tchaikovsky, Rachmaninov, Bizet, Stravinsky et que sais-je encore parmi les sous-produits du classique, et pourquoi pas aussi Verdi !, toutes au feu, sans grande hésitation, si cela permettait de sauver ne serait-ce que ces 2 arias de Bach...
Alors tes gesticulations sur
"Jésus que ma joie demeure et autres musique de messe", tu sais ce qu'elles m'indiquent sur ta Bachologie et ta Bachophilie, hein.
Apprends à parler comme un vrai montagnard, ma couille !