Bonjour et bienvenue, Koant .
Une
autre théorie sur la crucifixion (déjà postée ici mais je ne m'en lasse pas).
Intéressant, ton lien. L'article dit également que les auteurs des diverses études utilisent peu ou pas les textes d'époque, ainsi que le seul vestige archéologique connu.
Remarque, le fait de citer Jésus dans un article scientifique, même de piètre qualité, garantit à l'auteur ses 15 minutes de gloire médiatique. Il n'y a donc pas de raison de faire des efforts de rigueur. Un grotesque
exemple récent :
Citation:
MIAMI (Etats-Unis), 5 avr 2006 (AFP) - Jésus n'a peut-être pas marché sur l'eau comme le racontent trois des quatre Evangiles mais sur de la glace formée sur la mer de Galilée, selon une étude publiée cette semaine par un océanographe de l'université de Miami (sud-est).
Selon cette étude, les conditions météorologiques dans cette région, située aujourd'hui dans le nord d'Israël, étaient particulièrement rigoureuses dans une période comprise entre il y a 1.500 et 2.600 ans.
De la glace, suffisamment épaisse pour supporter le poids d'un homme, aurait pu recouvrir une partie de la mer de Galilée, également connue sous le nom de lac de Tibériade, a indiqué le professeur Doron Nof. Cette couche de glace pouvait elle-même être partiellement recouverte par de l'eau, a précisé M. Nof. Aussi, des observateurs situés un peu loin de la scène pouvaient ne pas voir la glace et croire qu'une personne debout ou marchant sur le lac "marchaient sur l'eau", a estimé l'océanographe.
"Si vous me demandez si je crois que quelqu'un a marché sur l'eau, non je ne le crois pas", a dit M. Nof. "Je crois que cela s'explique par un phénomène naturel", a-t-il ajouté.
Au début des années 1990, M. Nof avait publié une étude expliquant que le passage "à pied sec" de la Mer Rouge (à l'emplacement actuel des lacs Menzaleh, Timsah et Amers) par Moïse et les Hébreux, pouvait avoir été rendu possible en raison d'un autre phénomène météo. En soufflant plusieurs heures durant dans le golfe de Suez, des vents modérés auraient eu pour effet de repousser les eaux de faible profondeur en un mur de 2,5 m de hauteur. Un simple changement de direction des vents aurait suffi à faire effondrer ce mur d'eau, avait affirmé M. Nof.
Un fier sceptique que ce M. Nof, on ne la lui fait pas !