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Luigi Cascioli

LA FABLE DU CHRIST
LIVRE - DÉNONCIATION
Irréfutable démonstration
de la non-existence
de Jésus
La fable de Christ

L'athéisme attaque le Christianisme avec une dénonciation contre Jésus-Christ et l'Église catholique qui a défendu une imposture basée sur de faux documents, tels que la Bible et les Évangiles, avec la violence de l'Inquisition et le plagiat obtenu avec Satan, les exorcismes et autres superstitions. L'auteur après avoir démontré de façon indiscutable que les faits présentés comme vrais et historiques par les " Saintes Écritures" sont en réalité des faux, en premier parmi ceux-ci ceux inhérents la figure de Jésus-Christ qui a été construite sur la figure d'un certain Jean de Gamala, fils de Judas, termine le livre avec une dénonciation-querelle contre les ministres de l'Église Catholique pour abus de la crédulité populaire (art. 661 C.P.) et pour substitution de personne (art. 494 C.P.).

La libre critique des religions est un droit fondamental, à ne pas confondre avec racisme et xénophobie. Nous condamnons toute incitation à la guerre des cultures, des ethnies, des religions; et invitons toutes les populations à l'entente civique, pacifique, laïque...

LA FABLE DU CHRIST
de Luigi Cascioli

 

Les chapitres du livre ¬

1. La Bible
2. Seconde entrée en Égypte
3. La période des Rois
4. Le Dieu de la Bible
5. Les Hébreux après l'invasion de la Palestine du Nord
6. Le Culte des Mystères
7. La révolte des Maccabées
8. La Palestine pendant l'occupation romaine
9. Les Esséniens, fils de la lumière
10. Révolutions et guerres esséniennes-zélotes
11. Les Esséniens après l'an 70
12. Les Évangiles canoniques
13. Jean le Nazaréen
14. La crucifixion

 

(Article extrait de la Rubrique Littéraire de l’Union des Athées – France)
atunion.free.fr

C’est la première fois que dans l’histoire de l’homme on poursuit en justice une religion d’une manière aussi directe et concrète lors d’un procès qui se conclura avec une sentence concernant des délits bien spécifiques et définis, comme l’abus de la crédulité populaire (art. 661 C.P.) et la substitution de personne (494 C.P.).

La sentence qui, grâce aux preuves irréfutables apportées par l’accusation, se prononcera certainement avec une condamnation contre les ministres de l’Église catholique en tant que « divulgateurs de faits faux fait passer pour des vrais », en mettant au ban leurs enseignements, déterminera, comme cela a été dit par de nombreuses personnes qui ont déjà lu « La fable de Christ », le début de l’ère post-chrétienne dont toutes les personnes de bonne volonté sollicitaient l’avènement.

Toutes les discussions concernant l’existence de Jésus qui, à cause du manque d’argumentations valables, s’étaient prolongées pendant des siècles en des diatribes sans résultat entre croyants et opposants afin d’établir si en tant que Dieu il était un mythe ou une réalité et en tant qu’homme s’il était blond ou brun, marié ou célibataire, beau ou laid, ont été toutes balayées par le livre « la fable de Christ » avec ses preuves irréfutables de sa non-existence.

Le lac de Tiberiade, Palestine

La Fable du Christ en réalité n’est rien d’autre que le dossier contenant les arguments nécessaires pour instruire un procès pénal contre l’Église Catholique en les personnes de ses ministres, c’est un recueil sérieux de preuves juridiques démontrant que la figure de Jésus n’est rien d’autre que le résultat de manipulations et de falsifications de documents qui en réalité se référaient à un certain Jean de Gamala, fils de Judas et petit-fils de Ezéchias à son tour descendant direct de la lignée des Asmonéens fondée par Simon, fils de Mattathias le Maccabée.

Pour arriver à cette conclusion, afin qu’il ne puisse y avoir aucun doute sur ses conclusions, l’auteur a effectué une exégèse rationnelle et pratique pas seulement sur les Livres Saints mais aussi sur toute une documentation concernant les religions païennes et leurs Cultes des Mystères dont le Christianisme résulte être une parfaite reproduction.

Quoique ce livre puisse être dédaigné et condamné par quiconque a fait du mensonge la base de sa propre morale, les vérités qui se trouvent dans celui-ci ne pourront jamais plus être annulées et effacées par l’histoire puisque désormais elles ont été révélées et divulguées par le moyen des exemplaires déjà distribués.

La divulgation du livre, et ceci est un défi que l’auteur lance à ses ennemis, parmi lesquels il considère comme les pires les sots les hypocrites et les indifférents, même si elle a une grande importance, n’est tout de même pas déterminante pour le but qu’il s’est préfixé d’atteindre, car dans la réalité des faits un seul livre aurait suffit pour détruire l’imposture sur laquelle se base le Christianisme, c’est-à-dire celui qui constitue le dossier qui sera présenté au tribunal.

Si jusqu’à maintenant le fait de divulguer une religion basée sur Christ, la Vierge Marie, saint Joseph, les apôtres Pierre et Paul etc. avait été permis par la loi car considéré un réconfort afin de pouvoir soutenir la partie humaine irrationnelle qui a besoin d’illusions pour faire face aux propres déficiences, comme se confier à la magie et aux horoscopes, ce ne sera plus possible le faire car bientôt, très bientôt, ce sera considéré un délit d’après les articles 661 et 494 du Code Pénal. De preuves pour pouvoir soutenir un procès il y en a tant qu’on veut, même trop et la dénonciation basée sur celles-ci ( reportée à la fin du livre) est prête … donc, c’est seulement une question de temps !

 

 

L'athéisme de Cascioli
Un athée courageux et réaliste

L'absurdité de la Trinité, que la théologie avait réussi jusqu’à maintenant à soutenir en éludant la raison et le bon sens grâce à l’escamotage qui s’appelle mystère, est confirmée dans toute son utopie et extravagance par le livre « LA FABLE DU CHRIST » par le moyen d’une inattaquable documentation historique démontrant la non-existence de sa seconde personne: Jésus.

Nombreux sont ceux qui ont affirmé que mon livre, en détruisant l'historicité du Christ, en plus de marquer la fin du Christianisme, fera chanceler non seulement les deux autres religions monothéistes (judaïsme et islam), mais aussi toutes les autres pour les analogies féeriques qui rendent irrationnelles toutes les autres religions.
Seul en rendant nulle la raison on peut imposer une morale (fausse morale) basée sur des vérités qui, ne pouvant être démontrées (dogmes), doivent être considérées purement abstraites et utopiques comme, une parmi tant d’autres, celle concernant l’existence d’une vie après la mort qui à la suite du jugement d’un Dieu peut représenter pour chaque homme une éternité de bonheur ou de douleur.

Qui est Dieu ?

"Dieu est l’être plus que parfait, créateur et seigneur du ciel et de la Terre", répondent les croyants. "C’est celui qui du néant a fait toutes les choses et duquel tout procède, c’est l’éternel, la bonté infinie, l’omniscient et le tout-puissant."
Toutes des affirmations incohérentes et contradictoires, répondent les athées, qui ne font que confirmer qu’une entité semblable ne peut être qu’une construction soutenue par la superstition et par l’ignorance.

EPICURE : « Le mal existe, donc de deux choses l’une, ou Dieu le sait ou il l’ignore. Dieu sait que le mal existe, il peut donc le supprimer mais il ne veut pas… un tel Dieu serait cruel et pervers, donc inadmissible.
Dieu sait que le mal existe, il veut le supprimer mais il ne peut le faire … un tel Dieu serait impuissant, donc inadmissible.
Dieu ne sait pas que le mal existe… un tel Dieu serait aveugle et ignorant, donc inadmissible. »

LUCRÈCE, continuateur d’Epicure dans les recherches scientifiques, dans son « De Rerum Natura » détruit tout concept d’un Dieu créateur : « Le principe que nous poserons au-dessus de tout est que rien ne naît du néant grâce à un pouvoir divin (ex nihilo nihil). La crainte qui domine tous les mortels et qui les rend succubes des religions, dépend du fait qu’ils voient s’accomplir sur la Terre des phénomènes qu’ils attribuent, n’en connaissant pas la cause, à la puissance d’entités surnaturelles qu’ils appellent dieux. C’est seulement en suivant la conviction qui nous porte à affirmer que rien ne peut se créer du néant que nous pourrons découvrir l’objet de nos recherches dont le résultat, une fois atteint, démontrera de quelle façon tout s’accomplit sans l’intervention de Dieu ».
(Lucrèce)

« Dieu est le nom que depuis le début des temps jusqu’à nos jours les hommes ont donné à leur ignorance ».
(Max Nordeau)

« Il est absurde d’admettre l’existence d’un créateur puisqu’il est impossible non seulement de démontrer mais aussi d’imaginer que le néant se transforme en quelque chose et quelque chose en le néant. » (Encyclopédie Anarchique)

« Rien ne se crée, rien ne se détruit, tout se transforme » affirme Lavoisier en le démontrant scientifiquement.

Le nombre même des religions qui soutiennent un propre Dieu qu’ils déclarent être le seul vrai face à tous les autres qu’ils considèrent faux, a porté le Dr Carret à cette conclusion : « Deux options sont possibles : soit Dieu a voulu se faire connaître des hommes soit il n’a pas voulu. S’il a voulu se faire connaître et qu'il n’a pas réussi, cela ne peut démontrer que le fait qu’il soit impuissant ; un dieu impuissant n’est pas admissible. Si Dieu n’a pas voulu se faire connaître alors toutes les religions sont fausses. Si Dieu n’a voulu ni l’une ni l’autre, alors il ne nous reste plus qu’à conclure que Dieu n’existe pas ».

Le seul fait que des athées existent, c’est-à-dire des personnes qui nient Dieu, démontre que personne n’a réussi à en démontrer l’existence.
La seule différence qu’il y a entre l’athée et le croyant dépend de l’origine qu’ils donnent à la matière. Alors que le premier soutient qu’elle a été voulue par un créateur, le second affirme qu’elle a toujours existé. Le croyant soutient sa vérité avec le mystère et avec le dogme (vérité non démontrable), l’athée soutient la sienne avec la démonstration scientifique : foi contre raison.. La foi est une abstraction, une utopie, une conception de l’imaginaire, une incohérence névrotique … la raison est une réalité, un positivisme, une certitude qui se base sur le tangible.
« Qui a créé le monde ? », demande l’enfant en regardant le ciel lors d’une nuit étoilée, et c’est par la réponse qui lui sera donnée que se forme le croyant (crédule) ou l’athée.

C’est Dieu qui l’a créé… Qui est Dieu ? … C’est l’être le plus parfait … et en continuant avec une séquence de sophismes soutenus par le mystère, l’explication du croyant se conclut avec un impératif qui, en n’admettant pas de répliques, oblige à croire à l’existence d’un créateur.

Il a toujours existé… et avec des démonstrations pratiques et irréfutables, l’athée démontre la non-existence d’un créateur.

Si le premier enseignement est dogmatique, le second est scientifique, et étant donné que l’école ne doit pas jouer un rôle de catéchèse, l’enseignement doit être libre de tout conditionnement qui vient de la présence de symboles qui garantissent le faux, qui favorisent la continuation de la maladie mentale que sont les religions, comme les crucifix suspendus aux murs.
Pour démontrer que le Christianisme est une religion fausse il suffit de citer ce que Saint Augustin même écrivit vers la fin du IVe, quand on considérait comme une hérésie le fait d’affirmer que la Terre était ronde: « Si l’on démontrait que la Terre est ronde, tout le catholicisme résulterait être une erreur ».
Le concept d’un Dieu plus que parfait est déjà en soi la démonstration de l’inexistence d’un Dieu créateur. Le terme "plus que parfait", dans sa signification d’intégrité absolue, exclut un Dieu qui a prouvé le désir et le besoin de se donner, par le moyen d’une création, un certain quelque chose qui lui manquait.

Quoique l’on veuille le rendre métaphysique en le plaçant dans un monde transcendantal au-dehors de la matière, Dieu est un produit des hommes, de leur ignorance, de leur superstition, de leurs intérêts et égoïsme, il ne peut résulter, comme réellement il est, qu’un être composé des pires défauts humains. Il suffit de lire la Bible pour se rendre compte à quel point Dieu est un être anthropomorphe.
Le Dieu de la Bible est coléreux, envieux, superbe, vaniteux, autoritaire… un vrai criminel qui renferme la pire partie de l’homme.

L'homme pour construire un Dieu parfait, tout-puissant et omniscient, a transféré en lui tout ce qui en réalité lui appartient. Il en est résulté que le Ciel s'est enrichi des biens d'une terre tellement pillée et si appauvrie que ceci obligea l'homme à avoir recours au surnaturel (Dieu) afin qu'il lui prodigue ce dont il a besoin par le moyen des révélations qu'il concède, comme par hasard, seulement à ses ministres comme les prêtres, les sorciers, les devins etc., lesquels en s'auto-proclamant intermédiaires soumettent une humanité rendue sotte par le plagiat.
Tous les hommes, aliénés intellectuellement par ces soi-disant médiateurs qui se placent entre la matière et le transcendant, doivent, sous la menace de punitions divines, tout à Dieu et aux forces occultes dans une obéissance absolue. La constriction à obéir aveuglement aux lois qui nous viennent d'un monde métaphysique, un monde abstrait et utopique, exigeant l'abdication de la raison et de la justice humaine, la négation de la liberté, de l'évolution et de l'émancipation sociale, ne peut avoir d'autre but que celui de réduire l'homme à un esclavage théorique et pratique qui nous porte à conclure, sans aucun démenti, qu'où Dieu existe, l'homme est esclave et où l'homme est libre Dieu ne peut exister.

L’évêque américain Brown (condamné par l’Église catholique deux fois pour hérésie ), niant tout concept créationniste et donc un Dieu transcendantal, a écrit : « Mon Dieu est une Trinité dont la matière est le Père, la force qui le meut est le Fils et la loi qui le règle est le Saint Esprit. Dieu est l’union de la Nature avec une humanité qui travaille pour la construction d’une société le plus possible heureuse ».

Et Prosper Alfaric, ex professeur de théologie auprès des grands séminaires français, s’étant converti à l’athéisme, a conclu à la Sorbonne, lors d’une conférence visant à démontrer l’absurdité d’un Dieu créateur et législateur: « Si les athées répudient la foi traditionnelle cela n’est pas seulement parce que cette foi est en contraste avec les affirmations des mêmes croyants, avec la raison qui nie l’idée de Dieu, mais parce qu’ils ont compris que les faux dogmes vont contre la vraie morale, contre les exigences sociales du monde dans lequel nous vivons. La croyance en Dieu n’est pas seulement une simple illusion, une erreur purement théorique. Elle fausse la direction pratique de la vie en l’orientant vers une direction chimérique. Elle va contre les réalités sociales, les besoins essentiels de la collectivité humaine qui sont le premier moteur et la fin dernière de toute moralité ».

 

QUI SONT LES ATHÉES ?

Affirmer que l’athéisme, d’après ce que les croyants prétendent, " appauvrit l’humanité et entrave les plus grands biens qui sont accordés à l’homme : Dieu, l’âme, l’immortalité, et que les causes directes de l’athéisme sont une éducation erronée, un milieu pervers, une vie licencieuse " est tout à fait faux et tendancieux.

En opposition à ceci, Brandlangh a écrit que l’Athéisme conscient permet d’atteindre le bonheur humain qui est nié par les religions ; et la vie des vrais athées est ainsi plus vertueuse car plus libre et plus indulgente que celle des croyants. De ces croyants qui se trouvent en perpétuel conflit avec eux-mêmes et avec leurs proches à cause d’une foi qui rend irrationnels leurs comportements (exorcisme, extase, miracles, pénitences spirituelles et corporelles, intolérance, haine etc.)

Parmi ceux qui ont combattu l’immoralité des religions nous pouvons trouver les plus grandes figures morales de l’histoire comme Lalande, Helvétius, Berthelot, Kropotkine, Bakounine, Tchernychevski, Myskline, Shelley, Carlyle, Holcroft, d’Owen, William Morris, Sylvain Maréchal, Laplace, tous des modèles de vertu et de science sans compter ceux appartenant à l’histoire plus reculée comme Bouddha, Lao-Tsé, Confucius, Socrate, Parménide, Epicure et tous les autres philosophes et hommes de science qui tout en étant athées ou agnostiques ont conduit une vie pouvant être portée comme exemple de ce qui, socialement, est considéré exemplaire et louable.

Toutes des figures nobles qui s’opposent à l’hypocrisie de ces gens dévots et pieux qui remplissent les prisons du monde entier pour avoir commis les méfaits et les crimes les plus féroces sans parler de la dépravation et du vice que nous pouvons trouver parmi les représentants des diverses religions, et première parmi celles-ci le Christianisme dont l’histoire est remplie de corruption, prostitution et pornographie et dont les représentants majeurs ont fait la base de leur vie.

D’après une récente enquête sur le monde des prisons il s’ensuit que les athées qui se trouvent en prison, en plus d’être en pourcentage très inférieurs au nombre de croyants, ont été condamnés non pas pour des délits de nature criminelle mais seulement pour des méfaits dépendant d’infractions de caractère politique-religieux: comme par exemple des manifestations anarchiques et le blasphème qui, dans certains états américains, est encore sévèrement puni. Gott, activiste politique, élu député deux fois, a été puni par un an de réclusion pour avoir distribué des prospectus dans lesquels il affirmait de ne pas reconnaître les lois d’un dieu inexistant.

Bien que des centaines de philosophes se soient employé à démontrer l’inexistence de Dieu, nous pouvons voir que l’immoralité des religions continue à affliger l’humanité par le moyen du plagiat qu’elles effectuent sur les masses de sots qui sont encore les plus nombreux.
Dieu est mort, a affirmé Nietzsche en apportant les arguments les plus convaincants à propos de son inexistence et malgré le fait que comme lui l’ont affirmé et démontré beaucoup d’autres, il y en a encore qui croient à un être transcendantal qui se trouverait en dehors de la matière.
Dans la conviction, donc, qu’il ne sera jamais possible d’éliminer l’idée de Dieu dans la superstition humaine à cause de l’impossibilité qu’a la raison de démontrer l’inexistence de l’inexistant, j’ai décidé d’attaquer le Christianisme, et par conséquent les deux autres monothéismes qui ont origine du même Dieu, dans son imposture historique. L’histoire, contrairement aux concepts philosophiques lesquels pour être acceptés exigent une participation désintéressée et intelligente des discutants, ne peut être contestée quand elle s’appuie sur des documentations irréfutables comme dans le cas de « LA FABLE DU CHRIST » où l’on démontre de façon inattaquable la non-existence du Dieu Jésus. Avec la destruction de la figure historique de Jésus, s’écroule aussi la figure du Dieu père, qui, pour le paradoxe qu’est la Trinité, fait partie intégrante de la nature du Fils.

Jamais jusqu'à maintenant, à la suite de l’apparition de ce livre, on n'avait pu affirmer de façon aussi indiscutable que « DIEU EST MORT ».

 

 

L'HISTOIRE, MAÎTRESSE DE VIE
Bin Laden et Jésus-Christ

Le personnage d’un Jésus révolutionnaire, construit par le socialisme sur une idée de Hegel qui se proposait de combattre le Christianisme en le politisant, n’est pas du tout nouvelle dans l’histoire christologique. Déjà un siècle et demi avant la naissance de Jésus - ou plutôt de Jean de Gamala sur lequel le Christ fut construit - les Maccabées, fondateurs du Parti Judaïque, avaient déjà construit un Messie à la double figure: celle du religieux et celle du politique. Double figure qui, à la suite de la défaite de l’armée essénienne judaïque en l’an 70 après notre ère, se divisa en régénérant le conflit qui existait déjà entre les deux Messies soutenus, l’un par le courant religieux et l’autre par celui politique, avant la révolte des Maccabées, c’est-à-dire lors des siècles V, IV et III qui suivirent la constitution du monothéisme hébraïque après la libération de la captivité de Babylone.

Dos barbudos

Ces deux Messies, qui au cours de vingt-six siècles se sont unis et éloignés comme les plis d’un accordéon, nous les retrouvons encore une fois réunis ensemble en la personne de Bin Laden lequel, tel un cavalier de l’Apocalypse, s’est mis en tant qu'homme à la tête d’une armée en qualité de condottiere, et en tant que Messie pour imposer une idéologie religieuse. Dans ce programme d’impérialisme théocratique soutenu par Bin Laden contre le monde de l’occident, nous revivons les révolutions judaïques combattues par les Esséniens : au début contre les Hellénistes puis ensuite contre les Romains, comme si elles étaient reportées par une chronique actuelle.
Les systèmes de combat utilisés aujourd’hui par les Talebans en Afghanistan sont les mêmes que celles qui rendirent imbattables les Esséniens, il y a vingt siècles.

La même exploitation du territoire qui avec ses anfractuosités, ses cavernes et montagnes les rend inexpugnables. Les mêmes méthodes de combat sous forme d’embuscades et de sabotages contre les troupes occupantes et d’actions terroristes contre les populations civiles qui leur sont hostiles.
Une même organisation des troupes de guérilla subdivisées selon le schéma qu’appliqua Judas l’Asidéen, fils de Mattathias le Maccabée, pour combattre Antiochos IV, roi des hellénistes.
Et mêmes centres d’instruction pour former les combattants. (Kimberth Qumran)

Mêmes recherches, de l’un et de l’autre côté, d’alliances qui résulteront souvent infidèles et traîtresses car mues par des intérêts d'opportunisme. Mêmes idéaux politiques et religieux exprimés dans leurs livres (aujourd’hui le « Manuel du Révolutionnaire », hier la « Bible »).
Les mêmes martyrs qui affrontent la mort dans la certitude d’avoir comme récompense une vie de béatitude éternelle, et tant d’autres analogies qui nous donnent l’impression de lire, grâce à la FABLE DU CHRIST, une chronique actuelle.

Ce qui change dans la guerre d’aujourd’hui sont seulement les noms des personnages qui, dans la réalité de leur comportement, résultent en tout et pour tout identiques à ceux qui soutinrent la Révolte des Maccabées et les Révolutions Messianiques.
Bin Laden n’est autre que l’un des nombreux chefs révolutionnaires qui se succédèrent lors des guerres contre la Grèce et Rome, comme Mattathias le Maccabée, Judas l’Asidéen, Simon, Jonathan, Ezéchias, Judas le Galiléen, et enfin Jean de Gamala sur lequel a été construite la figure de Christ.
La FABLE DU CHRIST, en nous montrant les analogies entre la guerre combattue aujourd’hui au Pakistan, au nom d'Allah, et les révolutions soutenues par les guérilleros esséniens en Palestine, au nom de Yahvé, nous fait comprendre comment les causes qui l’ont produite dérivent de la haine que seulement les religions monothéistes sont capables de susciter dans l’homme. Cette même haine qui porte les chrétiens à considérer comme un ennemi à abattre quiconque s’oppose au programme de leur impérialisme universel : les croisades en sont un autre exemple.
Croire que la guerre contre Bin Laden ne soit pas aussi une guerre entre le Christianisme et l’Islam, signifie n’avoir rien compris de l’impérialisme monothéiste.

 

Illustrations ¬
EvasionCrucifixion de MantegnaRésurrectionAnnonciation de WeydenAdoration, de Bruegel
EvasionCrucifictionRésurrectionAnnonciationAdoration

 

Attestations reçues :

Télégramme envoyé par Marcello Craveri, christologue de renommée mondiale, à l’occasion de la présentation du livre « LA FABLE DU CHRIST » à la librairie Odradek (Roma ).

"Monsieur Luigi Cascioli.
J’ai lu votre livre “La Fable de Christ” que j’ai reçu de l’association GA.MA.DI.
Finalement quelqu’un a démontré de façon la non-existence de Jésus. La construction de cette figure a été une des inventions les plus commodes et surtout les plus rentables."

Marcello Craveri

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" A mes amis croyants :
Prouver que Newton n'a jamais existé ne remet pas en cause ses équations, mais dire que prouver l'inexistence du Christ ne remet pas en cause le christianisme est faux et archifaux pour la simple raison que le christianisme n'est pas une théorie susceptible d'être validée ou réfutée par l'expérimentation, mais un enseignement qui repose sur l'idée maîtresse du péché originel et de son rachat par le sacrifice de Jésus. Si Jésus n'a jamais existé tout l'édifice s'écroule.
Je ne pense pas que vous arriverez à convaincre ces incrédules malgré vos brillantes démonstrations de foi. Ne jamais oublier que ces gens-là sont des athées, il est erroné de faire appel à la foi pour prouver le sacré. Il ne sont perméables qu'à la raison et si vous voulez faire oeuvre de charité et les ramener sur le droit chemin, c'est sur ce terrain seulement que vous pourriez agir utilement. "
Michel Segond

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" Dans le cadre de la récente littérature athée on met en évidence, pour l’originalité et pour une inattaquable documentation historique, accompagnée d’un pressant et rigoureux fil logique-rationnel, le texte « La Fable de Christ » de Luigi Cascioli. Personne avant lui, en partant de la considération de la Bible comme simple narration légendaire à l’intérieur de laquelle est inventé et superposé le culte monothéiste pour des buts politiques, n’est arrivé à démontrer la non-existence de Jésus-Christ. L’auteur est donc parvenu, par le moyen d’un propre parcours spécifique, au même résultat auquel sont arrivés sur le plan philosophique général les penseurs matérialistes et en particulier le plus moderne, le savant matérialiste dialectique Frédéric Hengels. ".
Professeur et sculpteur Prof. Adolfo Amoroso Rome

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"Avec le caractère essentiel et la clarté d’une règle mathématique, Luigi Cascioli n’expose pas une théorie sur la Fable de Christ, il démontre de façon irréfutable, en s’appuyant sur tous les documents possibles et sur un raisonnement autant adhérent, la vérité des paroles mêmes de l’athée Léon X au Cardinal Bembo : « Historia docuit quantum nos iuvasse illa de Christo fabula."
Professeur et sculpteur - Giulio Tamburrini - Rome

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"La « Fable de Christ », en démontrant la non existence de Jésus, rend vain tout concept théologique du Dieu des chrétiens que la théologie affirme être consubstantiel avec le Fils."

Prof. Italo Libri - Enseignant-Professeur à l’université “LA SAPIENZA” – Rome

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“La Fable de Christ” est un décisif recueil de preuves sérieuses montrant que la figure de Jésus est le résultat de manipulations et de falsifications de documents qui en réalité se référaient à un certain Jean de Gamala, fils de Judas et petit-fils d’Ezéchias, à son tour descendant direct de la lignée des Asmonéens fondée par Simon, fils de Mattathias le Maccabée.
Pour arriver à cette conclusion, l’auteur a non seulement effectué une exégèse rationnelle et approfondie des « Livres Saints » mais a utilisé aussi une large documentation concernant les religions païennes et leurs cultes des Mystères, ainsi que des historiens d’époque, comme Flavius Josèphe, Philon d’Alexandrie, Plinius le Vieux et d’autres.
Après les preuves fournies par la « Fable de Christ » sur la non-existence de Jésus, comment peut-on encore croire que les récits reportés sur les Évangiles, pleins de contradictions et d’erreurs grossières, soient la biographie d’un personnage historique ?
En suivant une foi aveugle de nombreux chrétiens préfèrent mettre l’accent sur le symbolisme contenu dans les textes … Mais si tout est symbolique, que reste-t-il alors du personnage ?"

Johannès Robyn - Président de l’UNION DES ATHÉES de France

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"Les minutieuses études historiques de Cascioli non seulement rendent relatives toutes les interprétations des Saintes Écritures mais éliminent aussi l’auréole d’irréfutable vérité autour d’elles. Un message bien précis contre tous les intégrismes. "
Peter Boom – auteur

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"Nous sommes en l’an 1 de l’Ère Athée, nous sommes fiers de vous l’annoncer!
Luigi Cascioli, historien-chercheur réputé, a publié un livre - “La Fable de Christ” - qui apporte des révélations renversantes sur le Christianisme, ou plutôt sur cette énorme imposture appelée le Christianisme. Tous les athées du monde le savaient déjà, mais encore fallait-il en apporter les preuves. Prouver la non-existence de ce qui n’a jamais existé, c’est l’éternelle impasse que Luigi Cascioli a surmontée. Avec sa profonde connaissance des écritures et sa vaste culture historico-théologique, cet écrivain se propose - preuves irréfutables à l’appui - d’intenter un procès dans les règles de l’art à la puissante église catholique... pour commencer. Rédigé et traduit en trois langues, ce livre-procès est un réquisitoire. “La Fable de Christ” contient tous les éléments, dont les sources figurent déjà dans le livre, qui permettront à son auteur d’intenter un procès à l’église catholique pour abus de la crédulité populaire et substitution de personne (Art. 661 et 494 du code pénal italien).
Un procès sans précédent qui aura lieu très prochainement en Italie et simultanément en Suisse, par l'Association Fabula. Je soutiens entièrement, nous soutenons au Magazine du Léman la cause de Cascioli et allons faire tout notre possible pour l’aider dans ce procès. Deux chaînes de télévision française ont déjà été contactées par nos soins et une page consacrée à ce livre est en préparation. Nous cherchons également d’autres affiliations et sources pour diffuser ce livre. Je demande à toutes les associations athées, libre-penseur du web, de diffuser l’information sur ce procès, de lancer des pétitions, de nous soumettre leurs idées, etc. Bref, de faire tout ce qu’il est possible de faire via le Web pour que ce procès aboutisse. Mobilisons-nous! Peut-être sommes-nous à l’aube du début de la fin de l’ Homo religiosus... espérons-le.
R. Terrón & S. Krishnan - Le Magazine du Léman - Éditorial - Genève/Bombay

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" Bonjour,
même si vous ne me connaissez pas je suis devenu, après avoir lu votre livre « La Fable de Christ » votre fervent défenseur. Je voudrais avoir les moyens pour pouvoir acheter 350 livres afin d’en faire cadeau à mon petit village … un pour chaque famille. Je suis certain que tous seraient heureux de le lire.
J’ai lu avec un plaisir sans fin le résultat de vos recherches. Merci pour m’avoir dit ce que j’ai toujours voulu savoir. J’ai 23 ans. Je suis heureux que finalement un tribunal nous fera justice d’une appréhension qui nous a été imposée pendant des millénaires.
Je me réserve une place pour contribuer à payer les frais de procès même si mes ressources sont maigres. Comptez sur mon soutien. Pour mes amis envoyez-moi 5 livres.
"
Renato Ongania – Lecco

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E-mail envoyés par ceux qui cachent la tête sous le sable afin de ne pas connaître la vérité :

" Je ne lirai jamais un livre qui a été inspiré par Satan."
(anonyme)

" Un vrai croyant ne lira jamais un livre qui offense tous ceux qui replacent tout espoir en celui qui a donné sa propre vie pour le salut des hommes... Aie honte! "
(anonyme)


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