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Un Juif nommé Mahomet
1 : Adieu à une femme aimée
2 : Comment fabriquer une religion
3 : Jésus réinterprété par le Coran
4 : Comment des hérétiques inventèrent l’islam
5 : Reconquérir Jérusalem !
6 : Violence divine ou humaine ?
7 : Qui a écrit le Coran ?
8 : La légende de Mahomet
9 : La Grande Déesse de la Kaaba
10 : Pour que cessent les holocaustes
Annexes :
1 : Les livres utilisés pour écrire le Coran
2 : Les rédacteurs du Coran
3 : Comment a été fabriqué le Coran
Bibliographie

La libre critique des religions est un droit fondamental, à ne pas confondre avec racisme et xénophobie. Nous condamnons toute incitation à la guerre des cultures, des ethnies, des religions; et invitons toutes les populations à l'entente civique, pacifique, laïque...

Un Juif nommé Mahomet - Enquête sur les monothéismes
de Bernard Raquin

 

Présentation

Grâce aux découvertes archéologiques, aux traductions du sumérien, de l'égyptien et de l'araméen, chacun peut enfin découvrir l'origine des « textes sacrés ». Loin d'être parole de « Dieu », les religions révélées recyclent les vieux mythes archaïques. On verra pourquoi elles provoquent tant de massacres, en entraînant leurs fidèles dans le piège de l'ignorance et de la vanité.
Cet ouvrage, très différent des légendes officielles, nous entraîne dans l'une des plus fabuleuses créations humaines : l'invention des mythes et des prophètes. L'auteur vous invite à une passionnantë enquête au cœur des religions monothéistes.
Vous découvrirez que, comme d'autres prophètes bibliques, Mahomet semble l'une des plus fameuses supercheries historiques. Vous saurez aussi pourquoi, à quelle époque et en quelle langue a été écrit le Coran, et dans quel but.
Indispensable pour être humain en quête d'authenticté spirituelle, et aussi pour toute personne souhaitant comprendre les événements contemporains et défendre la liberté d'expression.
Bernard Raquin, psychothérapeute et formateur, a publié de nombreux ouvrages sur la spiritualité et le développement personnel. Suite à l'assassinat de sa sœur par son fils et son mari se réclamant de « l'islam », il a décidé de mettre à jour les falsifications pour éclaircir le chemin spirituel et la vérité historique. [ Extrait de la 4me de couverture ]

Après Adam, Abraham, Moïse et d'autres "patriarches", l'existence de Mahomet est remise en question, suite aux découvertes des archéologues et des érudits. Grâce aux traductions du sumérien, de l'égyptien et de l'araméen, l'intelligence de nos ancêtres resurgit du néant ! Tout porte à penser que Mahomet n'a jamais existé.
Chaque personne honnête, chaque croyant sincère, chaque humaniste peut accéder à l'origine des trois religions dites du "Livre". C'est une bonne nouvelle pour les gens qui aiment l'Esprit : les croyants n'ont aucune raison de se soumettre aux intégristes mécréants. D'autant que les religions nées avant, ou après celles-ci, sont aussi respectables.
Une passionnante enquête au cœur des religions prophétiques.
Pourquoi, en quelle langue, à quelle époque, et dans quel but le Coran a-t-il été rédigé ? Comment a été inventé le personnage de Mahomet ? Pourquoi chaque sourate est-elle un emprunt à de vieux textes, des légendes, des mythes ou des erreurs historiques ?
Les différentes actions prêtées à Mahomet (assassinats, pillages) peuvent enfin être restituées à leurs véritables auteurs. Vous saurez pourquoi Omar (deuxième calife) a rédigé la sourate du voile.
Sauf à blasphémer, on ne peut considérer que Dieu recommande le voile, la lapidation, l'amputation, l'esclavage, les sacrifices sanglants, les massacres ou la prostitution. En revanche, les sectes archaïques qui ont créé l'islam les revendiquaient, en se basant sur une théologie totalement fausse : terre plate, ciel en pierre et autres mythologies mésopotamiennes.
Pourquoi la Bible et le Coran, et même les Actes des Apôtres, contiennent-ils des propos illégaux (ou satanistes), méchants, sexistes, ségrégationnistes ? Pourquoi tant de mensonges et de cruauté ? Vous verrez pourquoi ces textes ne sont pas la parole de "Dieu", mais une laborieuse création humain, étalée sur des siècles.
Bernard Raquin émet des hypothèses basées sur les recherches des savants depuis un siècle, bien plus crédibles que les légendes officielles.
La spiritualité, dimension essentielle de beaucoup d'entre nous, mérite sans doute quelques heures de lecture ?
Ce livre a été refusé par tous les "grands" éditeurs, vous comprendrez pourquoi !

 

Avant-propos, par quelques énoncés

L'islamologue Alfred-Louis de Prémare (Les fondations de l'islam, Editions du Seuil) établit qu'une bataille s'est déroulée en 683 en Syrie, et non à Médine, ville qui n'existait pas au septième siècle, soit cinquante ans après la mort officielle de "Mahomet".
D'après les légendes islamiques, j'ai calculé que Médine aurait compté vingt mille habitants, soit autant que Paris à la même époque... en plein désert, sans eau et sans agriculture. Creuser un fossé autour relève de la fantaisie.
¬ Mahomet a été déclaré mort en 632 suite à une tractation entre Abou Bakr et le calife Omar, sans concertation avec Ali, floué alors qu'il dirigeait une armée de la région qui est aujourd'hui l'Irak.
Pourtant "Mahomet" donne des ordres en 634, 640, 651, 660, 683, 688, 725, 785, 830, 855.
¬ Le mot medina (s'écrivant mdn) est un mot araméen syrien, et signifie district, dans la région de Madian (s'écrivant aussi mdn) en Syrie.
Le mot la mecque est araméen syrien, et signifie ville basse, désignant probablement un quartier de Damas. On sait maintenant que les premiers musulmans, comme les premiers corans, et la vie de Mahomet, furent inventés en Syrie, et non en Arabie.

¬ Concernant les objets ayant appartenu à Mahomet, c'est la même chose que le tombeau d'Ali découvert cent cinquante ans après sa mort, parce que des chiens évitaient respectueusement un monticule de terre : de la légende.

¬ De même dans une mosquée en Égypte, on trouve la tête d'Ali Hussein, fils d'Ali, égorgé bébé uniquement parce qu'il était agarène, c'est-à-dire descendant d'Agar, prétendue esclave d'Abraham. Cette tête fut retrouvée cinq siècles après sa mort. Des tests ADN et au carbone 14 anéantiraient ce culte imité des chrétiens, mais l'islam ne peut se passer de paganisme.
¬ Ce mot agarène fut en usage jusqu'au dixième siècle. Le mot ismaélite (descendant d'Ismaël, fils d'Agar) fut traduit en arabe par musulman (soumis), le mot agarène (descendant d'Agar) étant traduit par hégire, en inventant la fiction de la fuite à Médine.

¬ Une part du succès de l'islam, en dehors de la violence qui hébète les méchants, vient du polythéisme islamique et des superstitions coraniques : Allah le dieu de la lune, Al Rahman le dieu de la foudre, Satan le dieu des enfers, Iblis le diable, les trois filles d'Allah (divinités d'origine sumérienne puis syrienne), les djinns, les ogres, les anges, les démons, les ifrits, les malaks et autres fantasmes, la Kaaba (Cybèle), la Vierge Noire (météorite) et le culte des cailloux utilisés dans les mosquées ou aux toilettes. Et bien sûr le culte solaire, avec la prière qu'on doit faire avant ou après le lever du soleil, pour ne pas avouer le paganisme de cette pratique qui vient des rédacteurs zoroastriens du Coran. Et le Coran, qui sert de fétiche et de talisman dans les niaiseries populaires.

¬ Sans oublier le seul dieu inventé par l'islam : Mahomet, le nouvel Associé d'Allah. Les islamistes le considèrent comme un homme "parfait", et veulent donc l'imiter... surtout dans les crimes rituels, les violences faites aux femmes et aux gens plus évolués qu'eux.
Ce sont essentiellement les superstitions, l'ignorance, le pouvoir donné aux médiocres, qui assurent la rentabilité de l'islam et permettent d'amasser des fortunes considérables en manipulant le peuple. Ce n'est pas spécifique à l'islam, mais alors que le paganisme est devenu minoritaire dans le bouddhisme, l'hindouisme et le christianisme, il représente l'essentiel de la croyance musulmane, à cause du contexte de fabrication de l'islam, et du refus de plusieurs pays musulmans d'accéder au monde moderne en se libérant des superstitions coraniques.
Les imams ont pris la place des curés moyenâgeux, interdisant la pensée pour mieux se remplir les poches, et assurer l'impunité à leurs maîtres vautrés dans la tartufferie.

¬ On peut aisément vérifier s'il a existé un fossé à Médine, si des milliers de Juifs y ont séjourné pendant des siècles. On ne peut pas faire mentir l'archéologie. C'est grâce à cette science que nous savons que les Juifs n'ont pas traversé le désert, que Salomon n'a pas construit de temple à Jérusalem, que les murailles de Jéricho ne se sont pas effondrées par le son magique des cornes de bélier, que Sodome et Gomorrhe n'existaient pas.
¬ On pourrait de même dater les éventuelles occupations humaines à La Mecque avant le septième siècle, grâce aux débris, déchets, outils cassés, poteries, ustensiles, etc. On a bien trouvé dans le désert des traces humaines de plusieurs millions d'années... Mais La Mecque n'existait pas, car on n'a jamais vu des milliers d'habitants s'installer dans un désert aride sans eau ni cultures.
¬ On retrouverait aussi des traces du prétendu temple contenant trois cent soixante idoles ; on en exhumerait des débris, mais évidemment ce temple n'a pas existé car il est contraire aux mécanismes de la psychologie religieuse. Ce sont les Perses qui inventèrent cette légende.
¬ Concernant les reliques de Mahomet, comme les hadiths, elles ont été inventées pour se donner du pouvoir et du prestige, et en imposer aux foules. Les marchands vendent ce qu'on leur demande, et quoi de plus rentable que de fournir des objets ayant appartenu à un soi-disant prophète ? On peut émettre l'hypothèse que les "objets ayant appartenu à Mahomet, sa dent et des cheveux" ne datent pas du septième siècle, quand le calife Omar inventa le personnage de Mahomet, mais probablement du huitième ou neuvième siècle, quand sa légende fut fabriquée à partir de nombreux textes de provenances diverses.
Mais on peut parier que la Turquie, surtout avec la régression islamiste actuelle, refuserait de faire expertiser, par un collège international d'archéologues spécialisés, avec diffusion 24/24 par webcam sur internet, ces reliques, sous prétexte qu'elles sont "sacrées", comme le tombeau du "prophète" et le tombeau d'Ali.

¬ Souvenons-nous que les saints chrétiens avaient parfois plusieurs têtes et plusieurs tibias, vénérés dans différents endroits. L'impératrice Irène de Byzance (Constantinople) possédait l'authentique table de la Cène, en deux exemplaires ! Les chrétiens honoraient jadis des morceaux de la "Vraie Croix", alors qu'on sait que la croix était une poutre, que les condamnés portaient cette poutre, et la posaient entre deux piquets terminés par une anse ouverte. D'après le père jésuite Albert Chapelle (qui a été mon directeur de conscience pendant toute mon adolescence), le mot grec utilisé pour traduire "croix" est le même que le mot utilisé pour dire "serpent", c'est tout dire...
Récemment encore, un faussaire a jeté l'émoi en prétendant avoir trouvé une pierre tombale sur laquelle était écrit "Ici Jacques, frère de Jésus". Heureusement la science moderne a anéanti cette tentative d'escroquerie.

¬ En pays musulman, des escrocs vendent des œufs, des feuilles, des moutons, des photos de nuages sur lesquels apparaît le mot "Allah". Et même des photos de djinns !
Ou encore, si une fille riche est violée par un homme de sa famille, on en accusera les djinns.
En Europe régnaient jadis les superstitions des succubes et des incubes, mais ces superstitions coraniques assurent de confortables revenus à d'innombrables charlatans musulmans.
Il est naturel que des puissants, des scribes et marchands malins, aient inventé des reliques et des hadiths de Mahomet.

¬ On sait aussi que le gouverneur Hajjâj est probablement l'auteur de la première recension partielle du Coran, au huitième siècle, la recension d'Othman n'étant qu'une légende. Il a procuré à Jérusalem une autre pierre noire sur laquelle Abraham avait aussi posé le pied (en plus de celle du prétendu temple de Salomon et de la pierre noire de la Kaaba), car les ismaélites qui deviendront les sunnites se prosternèrent vers Jérusalem pendant quatre-vingt ans et vénéraient des cailloux, comme tous les peuples anciens. Le culte des cailloux est attesté en Syrie, en Palestine, à Rome, en Europe et au Japon, bien avant le culte de la météorite de la Kaaba.

¬ Sur ordre de Satan qui se fait souvent appeler Yahvé ou Allah, Abraham voulut égorger ses fils en même temps à Jérusalem et à La Mecque tout en abandonnant l'un d'eux dans le désert...
Abraham, on le sait aujourd'hui, n'a pas existé, et pourtant il posait son empreinte sur toutes les météorites qu'il voyait...

¬ En dehors de l'égorgisme (névrose satanique prêtée à Dieu dans la Bible hébraïque et le Coran) Abraham était victime d'un trouble psychologique très rare : le météorito-écrasologisme. Il était vraiment béni, pour dénicher les météorites, et très fort, pour y imprimer la marque de son pied ou faire fondre la roche sans se brûler.

Mais toutes les religions sont construites sur des légendes, des recyclages et des interprétations en faveur des riches, et l'islam est une religion entièrement humaine, fondée sur un livre entièrement humain, et un prophète aussi imaginaire que les autres. Les fouilles à Médine et à La Mecque sont, pour les musulmans, la meilleure chance de se libérer des islamistes et d'honorer Allah, qui a permis le progrès de l'archéologie. L'interdiction faite aux non-musulmans de s'y rendre, comme l'interdiction des cultes des autres dieux uniques, ou l'interdiction faite aux Juifs de pénétrer en Arabie, sont bien sûr des actes racistes, et sans doute contraires aux règles de l'ONU ."
[ Extrait d'une discussion avec l'auteur ]

 

L'Invention d'Allah, du Coran, de l'islam et de Mahomet : l'avis des experts, islamologues, érudits et archéologues

Un érudit allemand, Theodor Nöldeke, écrivit en 1860 l’histoire du Coran. Pour la première fois, les chercheurs s’interrogeaient sur la création de l’islam, en dehors des légendes. (Geschichte des Quorans, Leipzig 1919).
Force fut de constater que le Coran, loin d’être tombé du ciel, obéit à des règles de composition humaine, compilation laborieuse, réécritures permanentes.

¬ Un autre érudit, Adoph von Harnack, affirma, dès 1874, que le « mahométisme n’est qu’une lointaine dérivation de la gnose judéo-chrétienne, et non une religion nouvelle ».
¬ Puis le français Gabriel Théry (sous le nom d’Hanna Zakarias) après trente ans d’études, conclut dans son ouvrage De Moïse à Mohammed que le Coran ne pouvait être l’œuvre de Mahomet. D’après lui, l’auteur était converti au judaïsme par son instructeur juif.
¬ Bruno Bonnet Eymard constata que les textes ayant servi à composer le Coran étaient d’origine et d’inspiration syrienne.

¬ Après 1950, le père Bertuel confirma ces recherches. Il publia L’islam, ses véritables origines
(Nouvelles Editions latines, Paris 1981).
D’après lui, Mahomet est un rabbin chassé d’Edesse par Héraclius, en 628.
« Qui a prononcé ces paroles ? demande Bertuel. Ni Allah bien entendu, ni Mahomet, mais des paroles si profondément enracinées dans le judaïsme n’ont pu être prononcées que par un Juif authentique. Tout historien est conduit à cette conclusion : un Juif s’agite à La Mecque. Il se présente aux Arabes comme le Prophète de Dieu… Quel serait de plus cet Allah qui ne révélerait aux Mecquois que les plus vieilles doctrines de l’Ancien Testament ? »
Bertuel ajoute : « Le seul livre de religion qui existera à jamais pour les Juifs est le Coran (recueil explicatif) hébreu, la Thora de Moïse, guide de vérité et de justice. Yahvé en est l’auteur. Moïse n’est ni un djinn, ni un devin, ni un poète. Dieu lui est apparu. Il a parlé à son serviteur. Gloire à Yahvé ! La grande nouveauté du livre arabe, c’est qu’il ne contient précisément rien de nouveau. C’est un livre du passé… chacune de ses affirmations et même les détails de ses descriptions peuvent être facilement rattachés à un texte biblique… C’est tout un plan de conversion (au judaïsme) ».

¬ Beaucoup de travaux insistent sur le sabéisme de l’époque. D’autres mettent l’accent sur le nombre élevé de mots persans et syriaques dans le Coran. On peut lire à ce sujet Pourquoi je ne suis pas musulman, d' Ibn Warraq (L'Age d'Homme, Lausanne 1999)
¬ Hassan Abassi, dans Les secrets de l'islam, cite les experts musulmans recensant des milliers de différences entre les différents corans.
¬ Patricia Crone, et Michaël Cook, coauteurs de Hagarism, The making of the islamic world, déclarent : « La tradition fondamentalement historique, à laquelle (les conteurs) sont supposés avoir ajouté simplement leurs fables, n’existe pas. Vu qu’un conteur en suivait un autre, le souvenir du passé se réduisait à un stock commun d’histoires, de thèmes et de motifs propres à être combinés ou recombinés dans une profusion de faits apparents. Chaque combinaison et recombinaison créait alors de nouveaux détails, et, dans la mesure même où des informations fausses s’accumulaient, de l’information authentique était perdue. ».
¬ Patricia Crone a aussi publié Meccan trade and the rise of islam, démontrant que le berceau de l’islam ne peut avoir été La Mecque. D’après elle, l’existence de La Mecque est très incertaine, avant que les califes n’en fassent un centre de pèlerinage.
Ces deux auteurs, Crone et Cook, considèrent que l’histoire islamique au moins jusqu’à Al-Malik (mort en 705) est une invention tardive.
¬ Michaël Cook signale les similarités entre les croyances musulmanes et celles des Samaritains, concernant la religion d’Abraham, dans l’ouvrage intitulé Le livre des Jubilés (daté de - 140 à - 100 avant J.C.)

¬ Antoine Moussali estime que le Coran n’était que le lectionnaire, en araméen, d’une secte judéo-nazaréenne, au début du VIIe siècle (La croix et le croissant, Editions de Paris, 1998)
"Comme tout le monde, écrit-il dans Vivre avec l'islam (Saint-Paul, 1997), j'ai longtemps pensé que le Coran était une source sérieuse pour la connaissance de l'islam. Aujourd'hui je serais nettement moins affirmatif. L'islam lui est fondamentalement antérieur.".
¬ Dans son ouvrage Le Coran, la Bible et l'Orient ancien, Mondher Sfar souligne que les noms attribués à Allah sont recopiés des noms attribués au dieu babylonien Mardouk, dans un poème datant du 12ème siècle avant J.C.
Il rapporte aussi que les descriptions du paradis et ses raisins blancs (traduits faussement par "houris vierges" lors de la traduction du Coran en arabe) concernent le roi Assourbanipal, sur un bas-relief datant de huit siècles avant J.C.
¬ Dans Le Coran est-il authentique ?, il rappelle que nombre de sourates du Coran étaient dites par le calife Omar, puis confirmées par Allah.
Le fils d'Omar déclare : "Omar avait une vision et alors le Coran descendait selon celle-ci... Personne ne pourra dire : j'ai eu le Coran dans sa totalité."

¬ Dans A la recherche de Muhammad, Grégoire Félix évoque un manuscrit syrien de 874, où l'émir des Hagarènes (descendants d'Agar, mère d'Ismaël) se refère à la Thora en hébreu, et non au Coran.
¬ Alfred-Louis de Prémare, dans Les fondations de l'islam (Le Seuil), évoque la charte de Médine, datée en réalité de 830, et pourtant rédigée par Muhammad le prophète.
Il rappelle que tout ce qui concerne l'islam et l'existence de La Mecque date de 250 après les "faits."
¬ Il explique aussi que la bataille du Fossé eut lieu en 688 en Syrie et non à Médine, soit cinquante ans après la mort officielle de Mahomet.
Il rappelle "qu'on déchire et brûle régulièrement dans cette histoire perturbée du Coran."

¬ Dans son livre Les Arabes n'ont jamais envahi l'Espagne (Flammarion), Ignacio Olaguë explique que Mahomet donne encore des ordres en 855. Ce qui confirme que Mahomet n'était que le surnom de tous les chefs de tribu.
¬ Dans leur livre La Bible dévoilée, les nouvelles révélations de l'archéologie, (Bayard) Israël Finkelstein et Neil Silberman rappellent que l'ancien testament de la Bible est quasiment entièrement faux d'un point de vue historique.
Donc a fortiori on en déduit que le Coran, évoquant sans cesse Moïse et le Pharaon noyé, et d'autres légendes bibliques, est encore plus faux.
¬ De nombreuses traductions mésopotamiennes démontrent que la plupart des mythes bibliques datent de plusieurs milliers d'années avant les Hébreux. On peut lire L'épopée de Gilgamesh, traduite par Jean Bottéro (Gallimard) et L'histoire commence à Sumer, de Samuel Kramer (Flammarion)

¬ Le Dr Gerd-Rüdiger Puin, professeur à l’université de Sarrebrück (Allemagne) traducteur du Coran de Sanaa, évoque les évolutions du texte dans Die Syro-Aramaische Lesart des Koran, Christop Luxenberg, (Verlag Hans Schiler)
« Puin a remarqué que les parchemins étaient des palimpsestes, c’est-à-dire des manuscrits dont on a effacé le texte initial pour pouvoir en écrire un nouveau…. Le Coran de Sanaa a été rédigé sans aucune marque diacritique (points, accents, cédilles portant sur une lettre ou un signe phonétique pour en modifier la valeur), sans voyelles ni aucun guide pour la lecture. » (Observations on Early Quran Manuscripts in San’a. Stefan Wild (ed), The Quran As Text, Leiden/New York/Köln (E.J. Brill) 1996 p. 107-111.)
Il l’a traduit à partir de l’araméo-syriaque, ce qui donne un texte exprimant beaucoup plus la spiritualité que le Coran arabe.

¬ Le Coran arabe est un faux : exemple de manuscrit effacé et réécrit.

Palimpsest du Codex Sanaa 01-27.1, Dâr al-MakhTûTât al-Yamanîya, Sanaa,
Photo: Gerd-Ruediger Puin

This codex is one of the Qur'an fragments/specimens which were found in 1972 in the loft of the Great Mosque in Sanaa, Yemen. These Yemeni Qur'ans were an object of scholarly research from 1980 onwards. Under the supervision of Dr. Albrecht Noth, Professor at the University of Hamburg, Dr. Gerd-Ruediger Puin was in charge of the scholarly as well as practical organization of the project from 1981 until 1985, when he was succeeded by his colleague Dr. Hans-Caspar Graf von Bothmer for another two years (2).
The above piece of the palimpsest codex shows two layers of script. Both scripts are of the Hijazi type:
- Firstly, a dark brown script is part of surah 20:1-10 (surah Taahaa or al-kamiyl).
- Secondly, with some patience you will realize that under the darkbrown script traces of a light brown script are recognizable. This latter original script was washed off from the parchment so that it might be used again. The chess-boardlike pattern of the substrate is an artifact of the scanning procedure.

Without applying special technical means the older script is not readable, but it is undoubtedly a Qur'anic text, too. This is to be seen easily by a peculiarity of both layers of writing: The washed off script as well as the second writing display verse separators, i.e. some simple geometrical point patterns. Even in the above small piece of the palimpsest one may recognize such separators in both layers of writing. Additionally at least one separator of surahs (two parallel lines crossing the page from right to left, again with some patterns between them) clearly can be recognized in the original script of the palimpsest codex (to be seen in the above piece). Such separators were used only in Qur’ans. There seems to be not any exception in non-Qur’anic texts within other early-Islamic writings.

Why the older layer was wiped out cannot be said definitely untill it can be read in detail. But there is hardly any other explanation for this replacement of a Qur'anic text by another one conceivable than that the older text version might have scandalized theologians or other people in power or charge. This doesn't necessarily imply an alteration of the very text, since the formative period of the Qur'anic text already may have been completed, when the first script was written. Most probably the arrangement of the surahs was altered. And this hypothesis is corroborated by the fact that amongst the findings in Sanaa there are indeed Qur'ans with an arrangement of surahs different from the transmitted Qur'an.

 

¬ L’islamologue Jacqueline Chabbi estime que le Coran a été compilé sous le calife Abd Al-Malik, à Damas, au début du VIIIe siècle (époque d’Hajjâj).
¬ Les plus anciens corans existants sont ceux du Yémen, découvert en 1972, celui de Topkapi (Istanboul), fin du VIIIe ou début du IXe siècle. Un autre exemple se trouve à la British Library à Londres, datant de la fin du VIIIe siècle, soit cent cinquante ans après l’hégire.
¬ J. Wansbrough a étudié les origines samaritaines du Coran, dans Quranic Studies, Oxford, 1977, et The Sectarian Milieu, Oxford, 1978.
Il a montré que le texte définitif du Coran n’était toujours pas achevé au IXe siècle.
Il en déduisit qu’une origine arabe de l’islam était hautement improbable.
Il note aussi l’absence de toute référence au Coran dans le Fiqh Akbar I, document daté du milieu du VIIIe siècle, représentant pourtant l’orthodoxie dogmatique. Il ajoute que le Coran est « le produit d’un développement organique de traditions originellement indépendantes, au cours d’une longue période de transmission. »
¬ Goldziher, dans On the Development of Hadith déclare « qu’un vaste nombre de hadiths, acceptés même dans les recueils musulmans les plus rigoureusement critiques, sont des faux complets de la fin du VIIIe et du IXe siècle, et qu’en conséquence, les chaînes de transmetteurs méticuleux qui les étayent sont totalement fictifs. »

 

 

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