Bonne Année 2005 ! Non à la pénalisation de l'Athéophobie !
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L'ATHÉOPHOBIE, bientôt un crime raciste contre l'humanité ?
Les méthodes crapuleuses de Xavier Ternisien
Xavier Ternisien est à l'objectivité et l'honnêteté journalistique ce
que la Bible et le Coran sont à la liberté de pensée : un corps étranger.
Son militantisme en faveur de l'islam politique s'exprime sans retenue
dans les colonnes du Monde. Il s'y pâme devant un Tariq Ramadan au "profil
de prince oriental" (28 septembre 2002), y compatit à ses déboires
dans son installation aux USA (26 août 2004), relaie les appels de Thomas
Milcent (25 juin et 12 septembre 2004), maquille la FNMF et l'UOIF
en des organisations respectables (31 août et 11 septembre 2004), etc.
C'est pour avoir dénoncé ses méthodes dans la lettre électronique Respublica
et sur atheisme.org ("La
stratégie militante de Xavier Ternisien : terminer ses articles par
des citations antilaïques et favorables à l'islam" et "Xavier
Ternisien, le propagandiste islamophile du quotidien Le Monde")
que le pieu journaliste a répondu par la calomnie dans Le Monde, l'actionnaire
majoritaire des Publications
de la vie catholique. Son article
rancunier du 17 novembre 2004 est un modèle de manipulation de l'opinion,
de retournement de citations et d'insinuations mensongères.
N'hésitez pas à faire connaître et envoyer ce document à vos connaissances et amis
L'association Fabula soutient Jocelyn Bézecourt et se déclare officiellement islamophobe, judéophobe, polythéistophobe, christianophobe, religiophobe, tsunamiophobe, agoraphobe et même, pourquoi pas, athéophobe, aracnophobe et narcissophobe... Tout dépend de l'humeur du moment. |
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__ CRÉATION OU ÉVOLUTION ? Deux statuts de l'homme s'affrontent, celui de la foi et celui de la science or le concept scientifique de l'Homme se trouve aujourd'hui, en contradiction avec le concept dogmatique, immuable par définition, d'où conflit... L'enseignement catholique traditionnel sur l'homme est d'abord rappelé. Une attention particulière est portée au dogme du péché originel et au problème du mal qui lui est lié.
Chapitre I: L'enseignement traditionnel Juger de la création implique de connaître le créateur. Chapitre II : La théorie de l'évolution face à la doctrine créationniste La Doctrine créationniste est fixiste, or la science est évolutionniste! Il est donné un aperçu de la théorie de l'évolution avec insistance sur la contingence qui s'oppose au finalisme religieux. Chapitre III : L'Eglise face à la théorie de l'évolution Il est d'abord donné un bref aperçu historique des rapports de l'Eglise avec la science jusqu'à la survenue du darwinisme. Ce dernier fut dans un premier temps rejeté par l'Eglise qui s'est crispée sur ses positions dogmatiques. Elle est allée jusqu'à opposer une science catholique, la "vraie science", à la "fausse science" profane. Il en est résulté, au début du 20 ème siècle, la "crise moderniste" dont l'Eglise a eu du mal à sortir après avoir excommunié ou écarté les artisans du renouveau. . Teilhard de Chardin, qui remet en cause la Genèse, est mis sur la touche et au milieu du 20ème siècle, Pie XII, bien que libéralisant l'exégèse, maintient encore un Adam personnel seul responsable du péché originel. Chapitre IV : La tentative moderne de conciliation ou le revirement dogmatique Sous la pression des évidences, l'exégèse se libéralise enfin et de nombreux théologiens tentent d'accorder la Genèse et le dogme du péché originel avec les données de la science de l'évolution. Pour cela ils sont obligés de tourner le dos au dogme établi. Ainsi, Adam n'est plus le premier homme , mais symbolise tous les hommes. Il n'a pas été créé parfait dans un paradis avant de pécher. L'évolution en ce qui concerne les transformations corporelles est acceptée par Jean Paul II. Seule l'intervention de Dieu à un moment donné de l'évolution a immédiatement humanisé l'animal. L'aggiornamento a conduit à un total revirement dogmatique, or le dogme, par définition, ne peut changer Chapitre V : Dieu le mal et la morale La nouvelle conception modifie profondément le problème du mal. Dieu n'est plus en effet le créateur d'un homme parfait seul responsable du péché. Dieu devient complice du mal puisque ce dernier est intrinsèquement lié à un monde en évolution dont la perfection est à venir. Conclusion La science infirme l'inspiration infaillible de l'Eglise sur le plan dogmatique et atteint le concept même de Dieu. Il paraît impossible de concilier la raison, la morale et la foi.
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